Attaques terroristes, cette fois à Marseille le 6 septembre 2019 . Les pouvoirs publics continuent à nier l’évidence.

« l’agresseur aurait proféré +Allahou Akbar+, … mais cela reste à confirmer »,

le parquet antiterroriste,  n’est pas saisi à ce stade

Et pourtant , nous avions été prévenus,  voici ce  que disait le blog de la Charte de Fontevrault le 19 juillet 2016 :

      Et le terroriste fournit de nombreuses précisions sur les différentes « méthodes » à employer: « Si vous ne pouvez pas faire sauter une bombe ou tirer une balle, leur dit-il, débrouillez vous pour vous retrouver seul avec un infidèle français ou américain et fracassez-lui le crâne avec une pierre, tuez-le à coups de couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le d’une falaise, étranglez-le, empoisonnez-le ».

https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2016/07/19/deux-attaques-a-larme-blanche-en-moins-de-24-heures/

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AFP, publié le vendredi 06 septembre 2019 à 10h30

      Un adolescent de 17 ans, « torse nu et très excité« , a agressé à l’arme blanche une cantinière d’une école élémentaire de Marseille vendredi vers 06H30, et frappé deux autres personnes avant d’être arrêté, moins de deux heures plus tard, a-t-on appris de source policière.

    Selon la cantinière blessée, dont le pronostic vital n’est pas engagé, « l’agresseur aurait proféré +Allahou Akbar+, dans le cadre de propos qui restent confus, mais cela reste à confirmer », a déclaré dans la matinée le procureur de la République de Marseille Xavier Tarabeux, venu sur les lieux de l’attaque.

    « L’enquête a été confiée à la police judiciaire et je suis en contact avec le parquet antiterroriste, mais celui-ci n’est pas saisi à ce stade« , a ajouté le magistrat.

   Présent à ses côtés, le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (LR), a lui parlé d' »un événement extrêmement gravissime« .

    L’agression a eu lieu vers 06H30, quand le jeune homme a pénétré dans l’école La Pauline, dans le 9e arrondissement, dans les quartiers Sud de la cité phocéenne, et frappé avec une arme blanche une des « tatas » de l’établissement, ces personnels municipaux chargés de s’occuper des enfants à la cantine ou dans les classes.

    Présentée au départ comme un couteau, cette arme pourrait en fait être une paire de ciseaux, a précisé le procureur de Marseille: « Nous ignorons s’il s’agit d’un couteau ou d’une paire de ciseaux, mais deux lames de ciseaux ont été retrouvées dans un local à proximité des faits », a expliqué M. Tarabeux.

   Cette première victime a été atteinte au thorax, et non à l’abdomen, comme annoncé initialement, a également souligné le magistrat.

Après avoir blessé cette première femme, l’agresseur a ensuite frappé d’un coup de poing une autre « tata » de l’école qui s’était interposée, avant de frapper, toujours d’un coup de poing, un passant dans la rue, un homme, en prenant la fuite, a-t-on appris de source policière.

Si le mineur interpellé a donné son identité, celle-ci reste à confirmer, a déclaré M. Tarabeux.

« J’ai beaucoup de haine, beaucoup de peine, c’est choquant« , a témoigné auprès de l’AFP Séverine, une assistante de vie scolaire de l’établissement, devant l’école, expliquant avoir appris la nouvelle par les réseaux sociaux.

« Ce sont deux amies, elles habitent le quartier, elles connaissent tous les parents ici », a déclaré de son côté Alexandra Nicaise, élue CFTC au CHSCT de la ville de Marseille, affirmant qu’il y avait « de plus en plus d’agressions. Mais en même temps on ne peut pas mettre un policier devant l’entrée de chaque école ! ».

Totalement bouclée pour permettre aux enquêteurs de travailler, l’école n’a pas accueilli les enfants vendredi matin, et une dizaine de parents discutaient encore devant l’établissement trois heures après les faits.

Des policiers municipaux seront présents devant l’école lundi pour l’entrée et la sortie des enfants, a précisé vendredi M. Gaudin, en apportant tout son soutien au personnel municipal et aux enseignants qui travaillent dans cet établissement.

https://actu.orange.fr/france/marseille-une-cantiniere-agressee-a-l-arme-blanche-dans-une-ecole-elementaire-CNT000001iCYdI.html

Sultan Marmed Niazi, l’assassin afghan, est peut-être fou, au sens strict du terme, mais ce genre de fous ne tombe pas du ciel. Ces fous sont des pions utilisés dans une guerre voulue et pensée par d’autres, une guerre de religion, une guerre de civilisation, qui ne cessera que lorsqu’ils seront détruits ou que nous serons soumis.
Tout le monde l’a bien compris, on va nous refaire le coup du « déséquilibré » à propos du demandeur d’asile afghan qui a assassiné un jeune homme et poignardé huit autres personnes à Lyon, samedi. Le scénario est tellement rodé, le procédé tellement usé que désormais on entend partout, sur le ton du sarcasme, avant même que la presse et les autorités n’en ait parlé : « Bin tiens, c’est sûrement encore un déséquilibré… »

Dans le fond personne n’est dupe mais l’excuse continue néanmoins à nous être resservie avec une régularité aussi métronomique (NDLRB. Qualifie un mouvement  ou un rythme régulier) qu’offensante pour notre intelligence. Il est temps de déchirer définitivement ce voile sous lequel nos gouvernants et une bonne partie de la presse prétendent nous cacher la réalité, la réalité tragique d’un pays autrefois grand qui se refuse à appeler les choses par leur nom pour ne pas avoir à s’avouer à quel point il s’est mis en danger.

Lyon-Villeurbanne : dire la vérité  Par Aristide Reno

« Politique magazine / Revue universelle » <presse@politiquemagazine.fr>

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