1. La dévotion, en général, est un acte de la vertu de religion. Avec la prière, il s’agit de l’un des actes intérieurs de cette vertu. La dévotion est un acte de la volonté par lequel l’homme s’offre à Dieu, se donne promptement à son service.
Les actes extérieurs de la vertu de religion sont, par exemple, tout ce qui se rapporte au culte. En principe, la dévotion ne peut être dirigée que vers Dieu seul. Or, il est parfois question de dévotion mariale, ou à tel ou tel saint…
Saint Thomas d’Aquin explique que la dévotion qui s’adresse aux saints ne s’arrête pas à eux, mais elle s’adresse à Dieu en dernière instance, dans la mesure où, en ses saints, nous vénérons Dieu qui les a comblés de grâce et de sainteté.
La dévotion à Dieu, à la Vierge et aux saints se manifeste au moyen d’actes de dévotion. Aussi, d’ordinaire établit-on une distinction entre chaque dévotion.
2. Pour ce qui est du culte, il faut garder à l’esprit qu’il ne s’adresse qu’à Dieu, puisque c’est là une façon de manifester que nous dépendons de Lui, et que nous L’adorons. C’est pour cela que le culte que nous rendons à Dieu se distingue du culte rendu aux martyrs et aux saints, ou du culte rendu à la Très Sainte Vierge.
Le culte rendu à Dieu est un culte d’adoration, de latrie. Le culte rendu aux saints et aux martyrs est un culte de vénération, de dulie. Dans le cas de la Vierge, on parle de culte d’hyperdulie. Ces points ont été étudiés en détail lors du second Concile de Nicée (787), qui a ratifié la légitimité du culte des images et distingué entre le culte de latrie, propre à Dieu que le chrétien adore, et le culte de dulie, propre aux saints, à leurs reliques et images, que l’on vénère, alors qu’il réservait à la Très Sainte Vierge le culte dit d’hyperdulie.
3. Le culte et la dévotion envers la Vierge sont très anciens dans l’Église. Ils découlent de la réalité de sa maternité divine et du rôle que le Christ lui a réservé dans l’économie du Salut. La Vierge est Mère de Dieu, Théotokos, et notre Mère. En ce sens, le culte marial a toujours eu une claire connotation christologique.
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Aujourd’hui, c’est la fête « nationale » du Saint Royaume de France, aujourd’hui encore provisoirement aux mains d’une Régence diabolique : mais rien n’empèche d’espére que le Roi ne remonte un jour sur le Trône de ses ancêtres, c’est bien l’espérence Royalistes !
La maison capétienne de Bourbon est une branche de la dynastie Capétienne issue de Robert de France (né en 1256, mort le 7 février 1317), Comte de Clermont, par mariage seigneur de Bourbon, seigneur de Charolais, de Saint-Just et de Creil, chambrier de France, dernier fils du roi de France Saint Louis et de Marguerite de Provence. Louis, fils de Roberte de France et de Beatrice de Bourbon, était Comte de Clermont-en-Beauvaisis et fut donc le fondateur de la Maison Capétienne de Bourbon.
Les Capétiens Ducs de Bourbons, Princes Souverains des Dombes, créèent un Ordre de Chevalerie sous le vocable de N.D. DE L’ESPERENCE. Leur cri de guerre était BOURBON NOTRE DAME ! outre leur fameuse devise ESPERENCE…
Car ce qu’on oublie toujours de rappeller, c’est que les Bourbons furent de Chevaliers de Notre Dame !
Le Bon Roi Henri IV, premier Bourbon à monter sur le Trône de France, voulu pour montrer la sincérité de sa conversion, fonder un Ordre de Chevalerie sous le vacable de ORDRE ROYAL DE NOTRE-DAME DU MONT CARMEL, auquel il rattachera le moribond Ordre de Saint-Lazarre. MAIS C’EST SON FILS LOUIS XIII QUI FERA DE LA TRES SAINTE VIERGE MARIE REINE DE LA FRANCE !
Louis XIV renouvellera le Voeux de Louis XIII.
Malgré le scandale de sa vie privée, le Roi Soleil reste «Lieutenant du Roi du Ciel» dans sa politique. Ne se montre-t-il pas le Défenseur de la Chrétienté en envoyant Coligny et six mille hommes à l’Empereur contre les Turcs et le Duc de Beaufort bombarder les pirates à Alger et à Tunis, et aider Venise à défendre Candie ? Au Laus, la Très Sainte Vierge Marie demendera de prier pour le Roi Soleil, même s’il n’a pas répondu aux demendes du Sacré-Coeur, car s’il venait à disparaître, il en serait fini de la France.
Louis XV renouvella à son tour le voeu de Louis XIII et de Louis XIV, par le Pacte des Familles de 1865 passé entre les Bourbons de France, d’Espagne, de Naples et de Parme pour renverser l’alliance des pays protestants du Nord -Angleterre, Hollande, Prusse- demenda à se cousins espagnols, napolitains et parmesans de bien vouloir consacrer leurs Etats à la Mère de Dieu, ce qu’ils firent volontier : le Roi d’Espagne à la Modonne du Pilar, le Roi des Deux-Siciles à la Madonne du Carmmine (prononcer Carminé) et le Duc de Parme à la Madonne de la Steccata.
Malgré le scandale de la vie privée du Bienaimé, la Cour de Versailles voyait alors tous les arts baroques tournés vers Dieu. C’était l’époque de L’AVE MARIA, du MESSIA de Hendel. De la Grande Musique. La Mère de Dieu ne pouvait rester insensible aux prières de la fille religieuse de Louis XV, Mme Louise, entrée dans les ordres et le Roi demendera pardon à la Reine et se convertira sur le tard.
Après la Révolution, Charles X renouvellera à son tour le Voeux de Louis XIII et malgrès la chute de Roi en 1830, N.D. s donnera aux Royalistes et aux vrais Catholiques LA MEDAILLE MIRACULEUSE, remède contre les maux d’aujourd’hui…
Peut-être devrions-nous intercéder auprès de la Mère de Dieu pour obtenir du Ciel le retour de la Monarchie en France. TOUS A PONTMAINT !
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Que notre Sainte Mère intercède auprès de son fils, elle nous présente sa Sainte Couronne dont émerge le Lys de David surgissant d’un Lys coupé, promesse de résurrection du royaume de France. Sainte fête de l’Assomption à toutes et tous.