Le mot du Gouverneur : Mélanie Calvat avant la Salette

Chers amis de la Charte,

Quel dommage que vous ne fussiez pas tous présents ce 17 janvier à Pontmain !
Juste au début de la Supplique à Dieu pour le retour du Roi, un pèlerin habitué et fidèle m’a demandé s’il était possible de faire la lecture d’une vision de Mélanie Calvat, la voyante de La Salette, qu’elle eut dans son tout jeune âge. Mélanie a vécu de 1831 à 1904, et c’est dans sa 12ème ou 13ème année que cela lui arriva.
Je remercie vivement ce pèlerin de cette information si peu connue mais si importante.

Ce témoignage est rapporté dans le livre ” L’Enfance de Mélanie “ écrit par elle-même, avec les commentaires de MM. les abbés Combe et Hannibal Marie di Francia.
Je cite :

De temps à autre, sa mère lui permettait de sortir pour aller à l’église. Au cours d’une de ces visites au Saint-Sacrement, elle a une vision particulièrement affligeante dont elle nous a laissé le récit.

 …Tout d’un coup, mon esprit se trouva dans une grande salle à demi obscure. Il y avait un grand nombre de messieurs dont la plupart écrivaient dans des cahiers ou sur des feuilles volantes rouges. Ceux qui paraissaient chefs dans cette assemblée semblaient être obsédés par le démon ; ils parlaient et gesticulaient frénétiquement et donnaient des ordres : une croix fut décrochée d’un mur de la salle et jetée sous leurs pieds et brisée ; on clama : bravo !
Puis les dépêches arrivèrent, des colis postaux (vous dites mon très Révérend Père que les colis postaux n’existent que depuis vingt-cinq ans environ ! Mais je ne sais pas s’il y avait aussi des dépêches en ce temps-là et des chemins de fer que je voyais aussi) ; ces colis furent remis à des pharmaciens (désignés).
Dans cette diabolique assemblée il y avait trois prêtres, dont un étranger. On lui montra ce qu’on avait écrit dans les cahiers. Oh ! horreur… Les feuilles rouges volantes aussi furent lues, puis signées par un des chefs et données en paquets à cinq d’entre eux pour être affichée à l’heure indiquée et tout cela disparut.

Mon Seigneur et mon Dieu qu’est-ce donc que j’ai vu ? Mon cher Jésus, par toute votre passion, par les mérites de votre précieux sang, ôtez de ma vue tant d’iniquités !

De la lumière de la grande présence du Très-Haut, j’entendis dans mon intérieur sa douce voix :
« Ma fille, l’assemblée que vous avez vue est composée de sectaires ennemis de Dieu et de l’Église ; leur nombre augmentera d’autant plus que les fidèles perdront la foi et négligeront la prière. Les hommes qui écrivaient dans les cahiers préparaient de nouvelles lois et de nouveaux codes qui étoufferont, suffoqueront toute justice et couronneront l’iniquité. Les feuilles volantes sont des arrêts, des ordonnances qui seront affichés dans les rues et sur les places publiques. Les paquets postaux sont des médicaments : les pharmaciens (choisis) mettront les doses nécessaires (poison lent ou expéditif) selon le cas. »

Quoi dire de plus, à ceux qui ont des oreilles pour entendre ?
Ceci :

Le Christ explique à Mélanie que les paquets postaux sont des médicaments, puis Il évoque des pharmaciens “choisis”. Le sujet et les termes employés sont bien étranges en 1840 pour un message christique. Il n’est question ici ni de prière, ni de pénitence, ni de vie spirituelle, mais bien d’une prophétie concernant la vie très physique et temporelle, et je dirais même très physiologique.
Quant aux “pharmaciens choisis”, ne faut-il pas entendre “laboratoires pharmaceutiques sélectionnés parmi d’autres”, et à même de fabriquer ce qu’on leur demande d’une manière organisée et systématique, et j’oserais dire automatique.
Après, il est question de “doses nécessaires” (au pluriel, j’insiste)… bizarre !
Il y a encore la notion très claire de “poison”… à deux vitesses !
Et enfin, le Christ use de cette expression très énigmatique de “selon le cas”…
Selon le cas de quoi ? Et quand ?
C’est très simple : selon le but recherché et le protocole à suivre impérativement !

Alors, tous ces termes employés par le Christ ne vous rappellent-ils pas un discours que vous connaissez parfaitement depuis peu ? Et ce message, émis il y a 180 ans, ne vous semble-t-il pas particulièrement approprié à notre aujourd’hui, notre pauvre aujourd’hui ?

J’explicite :

Premièrement, les ci-devant vaccins actuels (à ARN), ou dénommés et rabâchés comme tels, ne sont en fait que des traitements géniques en cours d’expérimentation, dont l’échantillonnage d’étude est l’espèce humaine dans sa globalité répartie sur le monde entier. Autrement dit, l’étude statistique des effets, quels qu’ils soient, ne se fait pas ici sur un échantillon restreint, représentant la population comme c’est habituellement la règle normale et prudente, mais sur la population entière, ce mot étant employé au sens propre comme au sens statistique du terme.

Deuxièmement, dans une expérimentation médicamenteuse (sans jeu de mot), il y a nécessité de placebo, de centralisation et vérification du comptage, de méthode et de confidentialité (autrement dit de secret)
C’est exactement ce que nous voyons :

. Placebo : “selon le cas”,
. Centralisation du comptage : uniquement par et dans les hôpitaux,
. Secret : Il est dans la méthode qui est perverse et vicieuse, mensongère et criminelle !

Selon la phrase attribuée à Lincoln : « On peut tromper quelques personnes tout le temps ; tromper tout le monde un certain temps ; mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps.», il y a forcément des fuites, et quelques laborantins, des techniciens, ou autres médecins, bref des employés des laboratoires ont parlé et leur dires sont très intéressants :

70% des fioles des ci-devant vaccins sont des placebo (poison lent ?), et 30% sont des produits actifs (poison expéditifs ?).

Dans un échantillon classique normal et honnête, la règle est d’avoir la proportion 50%-50%.
La proportion 70%-30% a l’avantage de noyer le poisson (encore sans jeu de mot)… Le poison et ses effets secondaires sont ainsi non seulement dilués, mais moindres en fréquence dans la population ; personne ne sait exactement ce qui est injecté ou reçu (sauf les laboratoires qui tracent les produits). Pour chaque dose reçue, si des effets secondaires se font jour, ils ne concerneront que moins de 30% de la population au grand maximum, alors que 70% des piqués pourront témoigner de la non nocivité secondaire du produit. Si en plus les médias ne parlent que peu de ces effets, alors celui qui en présentera sera toujours considéré comme un cas marginal et peu représentatif.

Pervers, vicieux, mensongers, criminels !

Nous étions avertis par le Ciel depuis 180 ans.

Chouandecoeur