AROM. A la découverte de l’Union des royalistes Français (URF)

    Alors  que la république ne cesse de se débattre dans des spasmes  qui laissent présager une agonie  future, le moment  semble propice pour réactualiser l’ AROM.

AROM. Annuaire Royaliste des Organisations et Mouvements

http://www.chire.fr/A-159874-arom-du-xveme-entenaire-de-la-vocation-chretienne-de-la-france.aspx

URF .Union des Royalistes Français

 Mouvement et non  parti politique visant à unifier* les Royalistes, qu’ils soient Légitimistes, Orléanistes, survivantistes etc.. puis d’unir tous les français dans le but d’instaurer une Monarchie à démocratie directe.

  • et non à proposer  des actions communes 

Présentation

    L ’Union des Royalistes Français (URF), est un mouvement (et non pas un parti) politique visant à unifier les Royalistes, qu’ils soient Légitimistes, Orléanistes, survivantistes etc.. puis d’unir tous les français dans le but d’instaurer une Monarchie à démocratie directe. L

L’URF est à la base légitimiste, mais il propose d’agir et non pas d’attendre que le trône vienne à Louis de Bourbon. Ce mouvement n’est pas un mouvement radical d’extrême gauche ou d’extrême droite, c’est un mouvement sans étiquette, car le Roy (NDLRB. Avec un Y …)  est au dessus des partis politiques car il représente la France entière, sans distinction entre les sexes et les classes sociales. Nous proposons donc un projet démocratique puisque la République n’en n’est pas une, c’est une oligarchie (parlement). Nous voulons que nos artisans locaux soient respectés afin que notre artisanat nationale soit à son apogée. Nous voulons que les français soient fiers de la France. Pour se faire, nous proposons que l’agriculture Française soit le cœur de notre alimentation. Nous ne voulons plus d’exportation, puisque cela nuit d’ailleurs à l’environnement. Nous pouvons être indépendants parce que notre sol permet de cultiver, c’est ce que nous vous proposons donc. L’URF, c’est le mouvement qui a de l’audace et qui voit en grand, qui a de l’ambition pour chaque français. Nous proposons une plus forte égalité à travers la démocratie comme dit plus haut : le Parlement est supprimé, car la représentation nationale s’avère être une injustice et une inégalité, c’est une oligarchie. Nous proposons de mettre en place un cahier de doléance aux échelles nationales, régionales et locales. Nous voulons plus de référendum, nous voulons que chaque français ayant la majorité puisse proposer des lois. Nous voulons plus d’égalité dans les salaires entre les femmes et les homme, il est inadmissible que cette égalité ne soit pas respectée au 21ème siècle. Plus d’égalité entre les adultes et les enfants. L’enfance est en danger, que se soit à cause de la PMA et GPA ou bien en danger avec les parents maltraitants face à une justice laxiste, beaucoup trop laxiste. Nous voulons et proposons le bien être commun, une union, une réelle fraternité. À ce titre, et concernant la justice, nous sommes contre la peine de mort. En effet, l’URF a des valeurs catholiques, nous voulons appliquer les enseignements de Jésus, c’est donc pour cela que nous serons contre la peine de mort.

      Pour conclure, l’Union des Royalistes Français est un mouvement ambitieux qui veut une union française (non pas seulement de la gauche ou de la droite) construit sur une Monarchie à démocratie directe, l’objectif étant de placer le christianisme comme religion d’État en respectant tout de même les autres religions (égalité). Le but est donc d’appliquer les bons enseignements de Jésus, c’est pour ça qu’il ne suffit pas forcément d’être croyant et royaliste pour vouloir cette Monarchie que nous vous proposons.

https://arthur-as-urf.wixsite.com/website

5 thoughts on “AROM. A la découverte de l’Union des royalistes Français (URF)

  1. Hervé J. VOLTO

    14 juillet 1790 : Fête de la Fédération au Champ-de-Mars en présence du roi, acclamé par les 100 000 personnes réunies dans un climat d’union nationale !

    En 2008, lors de son audition à l’Assemblée nationale dans le cadre de la mission d’information sur les questions mémorielles, Jean Favier, historien, membre de l’Institut, président du Haut comité des célébrations nationales déclara : “Le 14 juillet, qui n’est pas la date de la prise de la Bastille mais celle de la fête de la Fédération et donc de la monarchie constitutionnelle. L’identification du 14 juillet et de la fête nationale républicaine est néanmoins acquise. D’un autre côté, il est notable que deux dates fondamentales de la République ne sont jamais fêtées : les 4 et 21 septembre, dates respectives de la création de la Troisième République et de la fondation de la République. Une date ou une fête deviennent ce que les peuples en font”.

    Ce n’est qu’en 1880 suite à une proposition de loi déposée par le député d’extrême gauche Benjamin Raspail que le Parlement a fixé la date de la fête nationale au 14 juillet mais sans pour autant mentionner l’événement commémoré : « La République adopte le 14 Juillet comme jour de fête nationale annuelle » (article unique), le clivage parlementaire étant alors entre républicains et monarchistes. Pour ces derniers le 14 juillet 1789, “la prise de la Bastille” est jugée comme une journée sanguinaire marquant les prémices de la Terreur. Le malheureux gouverneur est effectivement entré dans l’Histoire et au Ciel après avoir été décapité par un boucher, sa tête porté au bout d’un pic alors qu’il avait livré la forteresse aux forcenés venus libérer les 7 prisonniers victimes de la “monarchie absolue” selon la mythologie révolutionnaire à savoir : 4 faux monnayeurs, 2 aristocrates embastillés à la demande de leur famille, l’un pour des “actes monstrueux” et l’autre pour “démence”, quant au dernier captif, il purgeait sa peine pour avoir tenté d’assassiner Louis XV.

    Un an plus tard, le 14 juillet 1790, la fête de la Fédération est organisée en présence de Louis XVI et du Président de l’Assemblée nationale assis côte à côte sur des sièges identiques et fleurdelysés. Le diable boiteux Talleyrand célèbre la messe assisté de 300 prêtres. Puis, en premier, La Fayette, au nom des gardes nationales fédérés, prête serment : “Nous jurons de rester à jamais fidèles à la nation, à la loi et au roi, de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l’Assemblée nationale et acceptée par le roi…” Après cela, Marie-Antoinette se lève et présente le Dauphin : “Voilà mon fils, il s’unit, ainsi que moi, aux mêmes sentiments”, la foule lui répond spontanément dans un enthousiasme communicatif : “Vive le roi ! Vive la reine ! Vive Monsieur le Dauphin !”…

    14 juillet : “Dies irae, dies illa !”…

    Je me permets de vous rappeler les raisons profondes qui font que l’on ne peut en conscience, si l’on est un catholique cohérent avec sa foi, considérer le jour du 14 juillet comme une “fête nationale”
    http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/07/09/2013-57-des-reparations-et-expiations-quil-convient-de-faire-monter-vers-le-ciel-au-jour-du-14-juillet/

    Et un petit bonus pour entretenir la flamme de l’espérance : la magistrale orchestration de Tchaïkovski de l’hymne officieux de la Restauration

    ­La France attend qui la délivre,
    Et cherche à qui donner sa foi.
    Nous n’avons qu’un espoir pour vivre,
    C’est le retour de notre Roi.

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