Des violences d’une gravité encore peu égalée, opposant la communauté maghrébine à celle des gens du voyage, ont éclaté à Montpellier, dans le quartier de la Mosson après la mort d’un gamin de 14 ans, écrasé par un chauffard à la suite du fameux match de football entre la France et le Maroc, mercredi dernier.
Ce soir-là, un groupe d’une vingtaine de supporteurs maghrébins du Maroc a encerclé une voiture et tenté d’arracher un drapeau français se trouvant à la fenêtre du véhicule. Première boulette… Le conducteur a alors démarré précipitamment avant de faire demi-tour et d’écraser mortellement ce mineur de 14 habitant du quartier. Deuxième boulette… Le conducteur a ensuite pris la fuite. Troisième boulette… Résultat : un mort et une nuit d’émeute ! Pour un match de foot.
«La voiture n’était pas volée donc le conducteur a rapidement été identifié», a précisé une source policière. Ce qu’a confirmé vendredi soir le préfet de l’Hérault. Cet individu, en fuite et recherché par la police, serait issu de la communauté des gens du voyage. L’origine ethnique de la victime et celle du suspect ont déclenché de vives tensions au point que, dans la nuit de jeudi à vendredi, quatre sections de CRS ont été déployées dans le quartier de la Mosson, au nord-ouest de Montpellier, «afin de prévenir tout affrontement entre la communauté des gens du voyage et la communauté maghrébine», a précisé sans rire la même source.
Mais, plus grave encore, l’appartement du passager du véhicule impliqué dans l’accident mortel et reconnu par les assaillants a été forcé et saccagé durant la même nuit. Cet homme, passé à tabac juste après les faits, est hospitalisé depuis. Preuve de la tension qui règne dans le quartier de la Mosson, une vidéo diffusée jeudi 15 décembre sur les réseaux sociaux montre un groupe d’une vingtaine d’individus courir dans la rue en criant «Allah Akbar» ou encore «on va vous n***** vos mères les gitans», signant clairement la source des violences. La guerre civile raciale, que nous dénonçons depuis si longtemps, n’est plus à nos portes, elle est déjà chez nous.
Et en voici la preuve : une première expédition punitive maghrébine a eu lieu dès vendredi matin. Un homme appartenant à la communauté gitane a été retrouvé égorgé, mais en vie, indique une source policière. Cet individu aurait ensuite été transporté au CHU de Montpellier escorté par la BRI (brigade de recherche et d’intervention), poursuit cette source.
Les enquêteurs recherchent toujours activement le chauffard. «L’enquête progresse rapidement sous la direction du parquet», tentait de faire croire vendredi le préfet de l’Hérault dans un communiqué. De son côté, le parquet de Montpellier ne souhaitait pas faire de commentaire supplémentaire «dans cette phase active d’enquête».
Vous l’aurez remarqué, tout va décidément de mieux en mieux dans notre beau pays. Et ce n’est que le début de sa longue descente aux enfers.
Dire que les Français, sourd et aveugles ou complètement décérébrés, ont réélu Emmanuel Macron à la tête de l’Etat !
Pour le CER et la Charte de Fontevrault, Jean-Yves Pons, CJA.
Il est vrai que lorsque l’on assiste à ce désolant spectacle on ne peut pas être très optimiste sur l’amélioration de notre situation : https://mobile.twitter.com/Poulin2012/status/1604948401996472321
Nous ne le répèterons jamais assez : “Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice” (George Orwell)
Sur tout le littoral (et la basse vallée du Rhône) la tension est permanente entre les communautés maghrébines et les clans gitans depuis au moins cinquante ans.
Les clans sont égrenés tout le long de l’ancienne voie domitienne, d’Arles à Perpignan en passant par Nîmes, Montpellier et Béziers. Ils sont sédentarisés car les destinations festives (Lourdes, Les Saintes) leur sont accessibles dans la journée.
Après le retrait de la France d’Afrique du Nord sont arrivés les pieds-noirs pour lesquels furent construites des cités, qui accueillirent ensuite les laissés-pour-compte de l’incurie arabe indépendante, et à Montpellier, La Paillade (Mosson) a fait office d’abcès de fixation (au plan électoral aussi). Puis virent les répliques dans d’autres quartiers qui motivent l’ire de M. Pons. Ces communautés sont maintenant incrustées dans le tissu social montpelliérain.
Quand je vivais il y a trente ans au faubourg Figuerolles, il n’y avait absolument aucune interpénétration communautaire et tout le monde avait un couteau dans la poche. Les gitans se sentent chez eux au principe du premier arrivé (et il y a longtemps). Donc en connaissance de causes, je trouve la gestion de la préfecture plutôt avisée.
Ce soir-là, un groupe d’une vingtaine de supporteurs maghrébins du Maroc a encerclé une voiture et tenté d’arracher un drapeau français se trouvant à la fenêtre du véhicule. Le conducteur, appartenant à la communauté des gens du Voyage, a alors démarré précipitamment avant de faire demi-tour et d’écraser mortellement ce mineur de 14 habitant du quartier. Le conducteur a ensuite pris la fuite.
Une première expédition punitive maghrébine a eu lieu dès vendredi matin. Un homme appartenant à la communauté gitane a été retrouvé égorgé, mais en vie, indique une source policière. Cet individu aurait ensuite été transporté au CHU de Montpellier escorté par la BRI (brigade de recherche et d’intervention), poursuit cette source.
Résultat : un mort et une nuit d’émeute ! Pour un match de foot…
Euh… tout ça est déjà écrit dans le billet de M. Pons, non ?
La guerre civile raciale, que le CER dénonce depuis si longtemps, n’est plus à nos portes, elle est déjà chez nous.
Est-ce qu’on réalise vraiment ce qui se passe, par qui et par quoi la France est dirigée ? Une France en pulls à col roulé et qui achète des bougies et des réchauds à gaz pour passer l’hiver et… qui doit se soumettre aux diktats de Bruxelles ! Les Français, eux, sont derrière leur téléviseur, espérant que le réseau tienne : VIOLENCES URBAINES, Coupe du Monde au Qatar et Qatargate auront produit, ces dernières semaines, plus de commentaires que nos réacteurs nucléaires à l’arrêt et que la sanction Bruxelloise contre une France qui ne sait plus comment défendre sa Souveraineté !
PERMETTEZ MOI UN RESUME DE LA SITIATION FRANCAISE.
Le château de Grignon avait une histoire glorieuse, du mobilier de prix, était témoin du passé. Le voici vide, bradé, abandonné et refilé en sous-main par le pouvoir politique, sans demander l’avis de personne, à une association qui va héberger des migrants. Cette histoire n’est pas une histoire comme toutes les autres : Grignon est une allégorie de la France.
Thiverval-Grignon se situe entre Plaisir et Poissy. C’est un de ces villages miraculeusement épargnés par la bétonnisation de la Grande Couronne, qui semblent dans un autre espace-temps que Mantes-la-Jolie ou Trappes, pourtant terriblement proches. On peut y songer sans difficulté à ce que devait être la vie du temps du jeune Louis XIV, lorsque les Yvelines n’étaient qu’une forêt, et Versailles, un marécage giboyeux surmonté par un relais de chasse. Dans ce petit village, comme dans beaucoup de villages des Yvelines, il y a un château du XVIIe, admirable mélange de rigueur et de raffinement : un plan classique, une cour en U, brique et ardoise. On dirait un peu le château d’Athos, en Touraine, au début de Vingt ans après.
Le château de Grignon (puisque c’est son nom) a une histoire qui se confond avec celle de la France. Il a été construit par un membre de la Noblesse de Robe (entendez un roturier méritant anobli après vingt ans de service), président du Parlement de Paris, à la fin du XVIe siècle. Selon une patiente stratégie sociale, qui existait déjà à Rome, son fils, seigneur de Neauphle, fait la même chose en mieux : il obtient que Grignon soit érigé en Marquisat. Le domaine passe ensuite, de main en main, jusqu’à la Révolution où un certain Auguie s’en rend acquéreur. Il marie sa fille au Maréchal Ney puis vend au Maréchal Bessières. Enfin, en 1826, Charles X acquiert le domaine et y fonde une école d’agriculture, qui deviendra, de nos jours, Agro Paris Tech, la plus vieille école d’agriculture de France.
Évidemment, tout ça est très -trops ?- vieille France : il avait donc été prévu de déménager l’école sur le plateau de Saclay en 2021. D’anciens élèves s’y sont opposés. L’État a voulu gagner du temps et a suspendu l’attribution à un promoteur en promettant de lancer une nouvelle procédure avant fin 2022. Tu parles ! Au mois de juin, le mobilier du château a été bradé par l’État dans des conditions abracadabrantes : pendant une vente aux enchères confidentielle, chaises, tables et canapés sont partis à des prix qui feraient presque rougir Ikea.
Et là, cerise sur le gâteau, ou dernier clou sur le cercueil : attribué au cours du mois de novembre à Emmaüs, LE CHATEAU VA DEVENIR UN CENTRE D’ACCUEIL NON PAS POUR DES FRANCAIS NECESSITEUX MAIS… POUR DES MIGRANTS ! En attendant, la France entière est déjà gelée devant la perspective d’un hiver des plus austères, entre inflation galopante sur tous les secteurs et coupures électriques possibles partout et à tout moment. Un peuple frigorifié, atomisé, autrement dit devenu incapable de la moindre réaction, de la moindre révolte. Comme si le coronavirus de 2019 et les confinements que celui-ci a provoqués, en France comme ailleurs, avaient atteint un objectif latent : la zombification des esprits. Des esprits grégarisés qui ne réagissent plus à l’invasion du wokisme dans les écoles ou à la propoagande LGBT à nos plus petits. Ni encore moins au multiculturalisme dénnoncé das cette présente tribune et ses effets délétaires…
Face aux dérives “woke” dans l’enseignement supérieur, une alternative existe par exemple https://www.youtube.com/watch?v=WSnNI-7vm0s
Et, en France, un sursaut s’était exprimée pour beaucoup moins que cela : une hausse significative du prix de l’essence sur fond, déjà, de baisse du pouvoir d’achat.
Au bout d’un an de mandat macronien, des hommes et des femmes s’étaient mobilisés sur des ronds-points d’abord, et plus massivement encore dans les grandes villes, jour après jour, puis, in fine, chaque samedi durant des semaines, principalement entre septembre et décembre 2018. Les médias les appelaient « les Gilets Jaunes ». C’était la France périphérique du géographe Christophe Guilluy, la France des « gens ordinaires », la France qui se lève tôt pour travailler dur mais pour gagner de moins en moins. Alors, le mépris social était devenu normal. Le porte-parole du gouvernement de l’époque, Benjamin Griveaux, avait ironisé en parlant de « gars qui fument des clopes et roulent en diézel ».
Puis ce mouvement social, rapidement noyauté par des islamo-gauchistes en sus voulant faire des rues un terrain de jeu, un défouloir, un « fight club », contre la police. Et comme toujours, l’État Français est fort avec les faibles et faible avec les forts : la répression policière visa essentiellement les vrais gilets jaunes, ceux des origines.
Seulement, aucun impact de ce mouvement, tant sur le plan sociologique qu’électoral, l’abstention progressant durablement. OU UQAND LA POLITIQUE N’EST PLUS “L’ADMINITRATION DES CHOSES”. Car depuis la crise sanitaire, l’ubérisation s’est intensifiée, affectant même les services publics. Du reste, il ne s’agit plus qu’éluder les vrais problèmes en inventant de faux problèmes, Covid-19, guerre en ukraine, fermeture des récateurs nucléaires. Clairement, il n’y a plus de courage de la vérité. Plus rien ne doit être dit ni écrit contre les super-États que sont, entre autres, l’Union européenne, l’Organisation des Nations unies et l’Organisation mondiale de la santé. Plus rien ne peut être évoqué contre la mainmise des lobbies, de LGBT aux pétromonarchies corrupteurs, sur l’éducation, la culture et la recherche. OU SUR L’IMMIGRATION INVASION que nous subissons.
-Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux, avait affirmé La Boétie.
C’est la destruction totale de la France que veulent nos dirigeants politiques ripoux-blicains apatrides et ploutocrates. Si l’on ne fait rien, si on se relève pas, ils y parviendront, surtout qu’ils bénéficient de la complicité d’une masse de beaufs passifs uniquement préoccuppés par leurs verres de patis, leur RTT et les 4 sous qu’ils peuvent exiber dans des SUV plus gros les uns que les autres :
-Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice (George Orwell).
Ainsi va mal la France sous la houlette d’un Emmanuel Macron réélu “à la surprise générale !”. Entre déconstruction, sécession, restrictions, manifestations et déprédations, précarité et insécurité, les Français subissent. Et au moment où la France entière va être confrontée à la “TRANSITION DEMOGRAPHIQUE” voulue par Emmanuel Macron, le petit village breton de CALLAC (22) a été choisi pour être le “LABORATOIRE” de cette opération. Mais ses habitants sont heureusement opposés à ce grand remplacement que l’on veut leur imposer, PRELUDE A UNE SAINE REACTION !
-Une réaction est aujourd’hui plus que jamais nécessaire. Car la décadance des insitutions républicaines (on le vérifie avec la “Charlicité”), entraine celle des moeurs, qui est la mort de la Nation. la civilisation elle-même ne survivrait pas longtemps à la décompsition spirituelle de la France (François-Marie Algould) !
Français, c’est le moment de se lever. A l’image d’un NICOALS BAY
Français, c’est le moment de se lever. A l’image d’un NICOLAS BAY
ou d’une Marion Maréchal éclairée
Pas moins de 227 interpellations en France, soit 700 en trois jours ! Tels sont les chiffres avancés par le ministère de l’Intérieur. 227 individus ont donc été interpellés après la défaite de l’équipe de France face à l’Argentine, en finale de l’édition qatarie de la Coupe du monde de football. Car Paris, Grenoble, Nice, Lyon et Bordeaux ont été le théâtre de débordements.
Précisément 32 policiers et gendarmes ont été blessés, malgré les quelque 14.000 représentants des forces de l’ordre déployés sur le territoire, dont plus de 2.500 à Paris. À Lyon, sur la place Bellecour mais également dans le quartier « sensible » de la Guillotière, des casseurs s’en sont pris à une automobiliste et ont caillassé d’autres véhicules pendant une course-poursuite avec les forces de l’ordre. À Grenoble, des vidéos de jeunes s’en prenant à des véhicules circulent sur les réseaux sociaux. À Mantes-la-Jolie (Yvelines), en avance de ce qui constitue désormais une tradition de la Saint-Sylvestre, des véhicules ont été incendiés.
Mais les violences ? Matthieu Valet affirme qu’« elles ont commencé de manière significative avec la victoire du Maroc contre l’Espagne ». Dans les faits, si la Coupe du monde n’a pas été source de massacres et de bains de sang, elle reste tout de même révélatrice de l’évolution de la société française. Mobiliser 14.000 policiers en France pour un match de football qui a lieu à des milliers de kilomètres est assez inquiétant : Matthieu Valet souligne que « c’est autant que pour le G7 de Biarritz ». À l’image des Champs-Élysées mis sous cloche le soir de la demi-finale, la France se tétanise face à cette violence chaque année plus saillante.
Il est probable que Macron n’en ait cure : ce qui l’intéresse, ce n’est pas le succès des Bleus, NI LES VIOLENCES URBAINES, ni les performances du Charles-de-Gaulle ni même l’avenir des armées. Ce qui l’intéresse, ce sont les images, ces images tellement importantes aux yeux de ceux qui l’ont réélu : Macron au téléphone, Macron en pilote, Macron en chef de chantier, Macron en sweat-shirt des commandos de l’air, Macron en mini-série (Le Candidat, souvenez-vous…). De telles images lui permettront peut-être d’atteindre l’un de ses prochains objectifs : prix Nobel de la paix, président de l’Union européenne… On devine que, pour lui, le rôle de chef de l’État n’est qu’un passage, une ligne sur un CV. Cette fuite en avant gesticulatoire montre assez bien que L’ETAT REEEL DU PAYS (tout comme l’état du pays réel) LUI IMPORTE ASSEZ PEU. Non, IL N’EST PAS VENU RENDRE HOMMAGE A LA MOBILISATION DES POLICIERS CONTRES LES SUPPORTERS MAROCAINS, ni présenter ses condoléances à la veuve de Bezons dont le mari a été massacré par des racailles, la semaine dernière. Ni d’ailleurs aux parents de la petites Lola Daviet. Il est bien au-dessus de ça, y compris littéralement, puisqu’il est en avion.
Et il peut se permette de virevolter de ci, de là, il a une Elisabeth Borne qui fait tout le travail à sa place.
Samedi soir, alors que les fans fourbissaient leurs pétards en prévision de la finale France-Argentine, les Miss concouraient pour un autre trophée : celui de la plus belle fille de France. Parmi les candidates représentant nos régions, la ravissante Miss Normandie, satisfaisant à l’obligation de se présenter devant le public, a « osé » dire qu’elle souhaitait intégrer la police française. Cela lui vaut aujourd’hui d’être traînée dans la boue des réseaux sociaux, car accusée de… racisme, bien sûr.
Voici quelques extraits des amabilités la concernant relevées sur Twitter par Fdesouche :
« Miss Normandie, c’est une raciste mdr comment ça devenir flic parce que t’as kiffé le film Police » ;
« Miss Normandie elle commencé bien son discours jusqu’à qu’elle dit qu’elle vx devenir keuf une raciste » ;
« Miss Normandie est raciste me faites pas jurer » ; « Miss Normandie est tellement raciste » ;
« Miss Normandie dis nous direct si t’es raciste » ;
« Mdrrrr Miss Normandie ma main à couper qu’elle est raciste » ; « Miss Normandie qui dit à la télé qu’elle veut casser du nègre »…
Perrine Prunier – Miss Normandie, donc – a 22 ans. Elle est titulaire d’un master 2 en justice, procès et procédures de l’université de Caen, ce qui, à l’évidence, n’est pas le cas de ses détracteurs.
Voilà où nous en sommes, dans ce monde où les réseaux sont un déversoir où mitonnent la haine et la bêtise, déresponsabilisant toute UNE JEUNESSE VENUE DE LA-BAS qui y distille son venin avant d’aller lâcher sa violence dans la rue comme elle le fait derrière ses écrans.
Si Perrine veut intégrer la Police, nous ne pouvons que l’encourager.
Bravo ! et… merci.
Nos pensées vont bien sûr aussi à nos policiers et gendarmes qui travaiellent dans des conditions de plus en plus difficles et à nos soldats qui servent la France loin de leur famille, certains d’entre eux allant parfois jusqu’au sacrifice suprême.
Une dernière choses.
L’affaire des violences intercommunautaires à Montpellier doit enfin tirer la sonnette d’alarme et briser nos illusions quant au grand récit progressiste du vivre-ensemble. Les tensions entre différentes communautés issues de l’immigration restent fortes et même s’exacerbent
L’analyse parfaite de Marion Maréchal sur la violence de certains supporters marocains après le match France-Maroc (Vidéo complète)
https://zemmour.com/lanalyse-parfaite-de-marion-marechal-sur-la-violence-de-certains-supporters-marocains-apres-le-match-france-maroc-video-complete/
Damien Rieu dénonce avec force la chasse aux gitans menée à Montpellier suite à la mort d’un adolescent et dans le silence total des médias!
https://zemmour.com/damien-rieu-denonce-avec-force-la-chasse-aux-gitans-menee-a-montpellier-suite-a-la-mort-dun-adolescent-et-dans-le-silence-total-des-medias/
Et, pendant ce temps-là, les négriers font le “forcing” auprès des pouvoirs publics et les médias immigrationnistes leur font la courte-échelle : https://www.francetvinfo.fr/societe/immigration/temoignages-projet-de-loi-immigration-ces-patrons-de-pme-obliges-de-recruter-des-sans-papiers-faute-de-main-d-uvre_5544045.html
Continuons comme cela et le “Grand Remplacement” trouvera rapidement son accomplissement.
Voici à présent la suite logique de ce que nous affirmons envers et contre tout : “La guerre civile raciale, que nous dénonçons depuis si longtemps, n’est plus à nos portes, elle est déjà chez nous.” Fruit inéluctable du multiculturalisme évoqué dans notre article ci-dessus.
C’est ainsi que, cet après-midi, une fusillade a éclaté en plein centre de Paris, visant la communauté Kurde (mais cela aurait très bien pu en être une autre… Un forcené, que l’on nous dit de droite extrême et à peine sorti de prison, a fait feu sur quelques individus de cette communauté à proximité du “Centre culturel kurde” (sic), d’un restaurant où les médias nous disent complaisamment que “c’est bon comme là-bas, dis !” et même un salon de coiffure tenu par ces étrangers. Résultat : trois morts et trois blessés graverais aussi de violentes échauffourées ayant éclaté dès l’arrivée du ministre de l’intérieur, venu éteindre l’incendie et assurer ladite communauté de sa sympathie (il en fait beaucoup moins lorsqu’une église est attaquée ou incendiée…).
Rappelez-vous que les guerres civiles raciales que connaît le monde ici ou là commencent toujours comme cela avant de se terminer TOUJOURS très mal. Merci , une fois encore, à nos élites bien pensantes mais manifestement calamiteuses et mortifères.
D’ailleurs, à propos du peu d’intérêt de Gérald Darmanin pour les chrétiens et leurs lieux de culte, voilà les dernières nouvelles, peu réjouissantes :
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/tags-antichretiens-vandalisme-avant-noel-une-vague-de-profanations-sur-des-eglises-de-france-20221222
Ce type est”ignoble”.
Et voici comment les médias “collabos” de notre pays relatent les violences importées sur notre territoire et infligées à nos compatriotes par ces gens venus d’ailleurs mais qui n’ont à nous offrir que leur haine et leur volonté de destruction. Qu’ils ne s’étonnent pas de ce qu’il en résulte et en résultera.