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Car vous l’avez appris, il a osé s’auto-féliciter d’une prétendue baisse du nombre de véhicules incendiés au cours de la dernière nuit de la Saint-Sylvestre.
Le ministre de l’Intérieur a évoqué “une nuit calme malgré des événements à Nantes, Strasbourg ou Toulouse“.
Hélas, cette habitude a la vie dure, en particulier depuis que la société est contaminée par des crimes et des violences venus d’ailleurs . Et c’est ainsi que, chaque année, des centaines de voitures sont incendiées pendant la soirée du Nouvel An. Mais pourtant, dimanche 1er janvier, Gérald Darmanin s’est réjoui d’avoir limité le phénomène. “L’année 2022 devient celle où le réveillon de la Saint-Sylvestre connaît le moins de véhicules incendiés et le plus d’interpellations“, a précisé avec le culot qu’on lui connaît, le ministre de l’Intérieur dans son communiqué. Voyons la réalité de plus près.
Au 1er janvier 2023, on aurait dénombré 690 véhicules brûlés contre 874 en 2022, soit une diminution de 21%. Des chiffres qui ont provoqué l’étonnement des internautes et, surtout, de certains élus, qui ont relayé à l’appui de leurs réserves les articles de la presse locale évoquant les innombrables troubles de la nuit.
Il faut d’abord que vous sachiez que les chiffres du ministère de l’intérieur sont loin d’être exhaustifs et manquent suffisamment de précision pour permettre de comparer un année sur l’autre : comment et à quelle heure les remontées sont-elles faites ? Tout le territoire est-il concerné ? Les voitures partiellement brûlées sont-elles prises en compte ?
Il est pourtant vrai que les incendies de voiture ne sont pas rares à la Saint-Sylvestre, comme le confirme à TF1info Sebastian Roché. Directeur de recherche au CNRS, https://fr.wikipedia.org/wiki/Sebastian_Roché_(criminologue) ce spécialiste en criminologie explique que “c’est un problème structurel en France“. Mais tout particulièrement dans la France des banlieues malfamées où règne la pègre venue essentiellement de la rive sud de la Méditerranée. En 2002 déjà (souvenez-vous que le “regroupement familial” que nous devons à Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac date de 1976), on dénombrait 388 voitures brûlées et 79 interpellations. Après une augmentation régulière de ces chiffres pendant plus de dix ans, on a constaté une baisse en 2021 (au moment du second confinement de la population en relation avec la pandémie de Covid-19), avec 861 voitures incendiées contre 1541 l’année précédente.
Mais beaucoup de ces chiffres restent confidentiels. Ainsi, durant plusieurs années, la doctrine du gouvernement consistait à ne pas les publier par peur d’encourager et d’inciter à la violence urbaine. En réalité… par peur de “STIGMATISER” les populations impliquées dans ces délits voire ces crimes . En 2021, par exemple, les seuls décomptes provenaient de la presse.
“Le détail des chiffres manque de précision, il est difficile d’y observer une baisse de la criminalité”, précise Sebastian Roché. “Il est impossible de prouver qu’il y a une tendance à la baisse d’une année sur l’autre, cela est beaucoup trop court, les tendances sont faites d’une succession de variations”, argue le chercheur. Par ailleurs, il relève que ces incendies ne sont pas toujours liés à de la délinquance. Certains individus (qui sont d’ailleurs souvent les mêmes) peuvent profiter de l’occasion pour réaliser des fraudes à l’assurance. Les victimes deviennent alors également coupables. En résumé, compte tenu du flou autour de la méthodologie, du caractère parcellaire de certains chiffres et d’une délinquance qui prend plusieurs formes, tirer des conclusions fiables se révèle hasardeux.
Autre affirmation du ministère : le nombre croissant d’interpellations dans la nuit aurait réduit la criminalité. Pour le réveillon 2022-2023, 90 000 policiers et gendarmes (excusez du peu avec ce nombre qui pourtant n’émeut personne) étaient mobilisés et on dénombrerait selon le ministère de l’Intérieur 490 interpellations, soit 11% de plus que 2022. Mais ces chiffres ne prouvent en aucun cas une corrélation entre l’augmentation des interpellations et une prétendue diminution de la criminalité. Au contraire. “L’utilisation des chiffres fait partie de la politique, lorsque cela fonctionne, c’est grâce au ministère, et quand ce n’est pas le cas ce n’est pas de sa faute”, conclut Sebastian Roché avec humour.
En résumé, sachez que nos responsables politiques sont tous, à des degrés divers, des imposteurs tandis qu’une majorité de citoyens s’avère d’une crédulité coupable qui fait le succès des premiers. La meilleure preuve en est d’ailleurs la réélection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, au printemps 2022.
Alors, un conseil : abandonnez l’écoute des informations gouvernementales comme de la presse mainstream. Choisissez plutôt… le CER et ses amis !
Ce n’est pas l’insécurité dans laquelle sombre ce pays du fait d’une immigration non maîtrisée mais plus encore du refus d’employer la force et d’imposer les lois de la République sur tout le territoire le vrail problême : c’est de ne pas laisser se constituer des ghettos qui sont des zones de non droit. Et de renvoyer chez eux les délinquants et leurs familles. En faisant pression sur les pays d’origine.
En réservant les aides publiques aux seuls Français de souche (de race blancs, de culture gréco-romains et de religion Chrétiens). Et en n’hésitant à supprimer la double nationalité. Bref, un grand nettoyage qui devrait rapidement calmer les esprits. Mais surtout la rue.
A ce dossier, on peut ajouter celui de la justice qui est dans un état lamentable : manque de moyens, certes, mais aussi des juges irresponsables qui remettent en liberté les délinquants… souvent faute de place dans les prisons !
Le 5 janvier 2023, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a enfin dévoilé le plan d’action issu des États Généraux de la Justice.
https://www.actu-juridique.fr/justice/flash-eric-dupond-moretti-devoile-sa-reforme-issue-des-etats-generaux/
Un programme ambitieux aux échéances diverses qui touche tous les pans de l’institution judiciaire. Et qui repose sur un budget porté à la fin du quinquennat à 11 milliards d’euros. Le plan a été assez bien accuillit : il faut voir à l’usage…
Quand on connait les origines coloniales du darmaninlope et son mensonge selon lequel son grand-père se serait battu pour la franchiasse — aucun noir arabe musulman asiatique etc ne sait battu pour GALLIA — on ne l’arrêtera jamais surtout que personne ne veut l’annuler.
Attachez vos ceintures car d’autres vont arriver !!!
« L’Algérie s’effondre et risque d’entraîner la France dans sa chute »
Xavier Driencourt est diplomate. Ancien directeur général de l’administration du Quai d’Orsay, chef de l’Inspection générale des affaires étrangères, il a été ambassadeur de France à Alger à deux reprises, entre 2008 et 2012, puis entre 2017 et 2020. Il a publié un livre retraçant son expérience: L’Énigme algérienne. Chroniques d’une ambassade à Alger (Éditions de l’Observatoire, 2022). Il a répondu à quelques questions de nos confrères du Figaro. Extraits.
Notre aveuglement est une erreur historique: croire à Paris qu’en allant à Alger, en cédant aux Algériens sur les dossiers qui leur sont chers, mémoire et visas, nous les gagnerons à notre cause et les amènerons vers plus de coopération est un leurre. Les militaires qui dirigent le pays n’ont pour leur part ni état d’âme ni scrupules quand il s’agit de la France : là où nous voyons un discours rationnel et des arguments cartésiens, eux voient inconsistance, naïveté, méconnaissance du système, et pour tout dire angélisme. J’imagine les regards échangés lorsque, après le départ de nos dirigeants, conférence de presse expédiée et communiqué signé, ils reviennent à leurs occupations avec le sentiment d’avoir, une nouvelle fois, embobiné leur partenaire par un discours culpabilisateur.
(…)
Tout ceci serait simplement triste si les conséquences de cette sinuosité politique n’impactaient pas la France : l’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent ; 45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession : partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille ? On ne compte plus aujourd’hui ceux qui demandent un visa dans le seul but de ne faire qu’un aller simple, c’est-à-dire de rester d’une façon ou d’une autre en France avec l’espoir d’être un jour régularisé. Les choix désastreux de 1962, la crise économique, la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes du Nord, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde, découragement stimulé par la générosité de la France, font qu’à ce rythme-là peu de gens resteront en Algérie. Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions s’appellera donc immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle.
La France fait face à un double paradoxe : d’une part celui de l’alliance, autrefois contre nature, entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent, les deux ayant en commun la haine de la France et la ferme volonté d’éradiquer les survivances linguistiques ou culturelles de la colonisation tout en nous faisant payer, par l’émigration et les excuses, le prix de notre passé colonial ; le second paradoxe est celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin. L’Algérie, en ce sens, a gagné le combat contre l’ancien colonisateur : elle reste un problème pour la France, elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute.
45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession : partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille ?
De Gaulle a raté sa sortie… d’Algérie. D’autant plus que le motif de l’abandon du territoire était précisément le refus de l’émigration des indigènes musulmans vers la métropole. Il est vrai cependant que ce cuisant échec a été très largement favorisé puis aggravé par TOUS ses successeurs.
Et “Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions”, pour reprendre l’expression ci-dessus, ne sera bientôt plus une simple immigration massive mais carrément la réalisation de ce que nous ne cessons d’appeler “LE GRAND REMPLACEMENT” de notre population par d’autres. Ne pas le comprendre et ne pas lutter contre cela les armes à la main est un crime dont l’Histoire se souviendra comme elle se souvient de la chute de l’Empire Romain, de ses causes et de ses acteurs.
Le bricolage des données statistiques est une vieille pratique policière qui permet de cacher la misère. Cela se fait depuis des lustres concernant le taux d’élucidation des infractions où on y intègre les infractions routières : Une infraction, un auteur, un PV. Cela permet de baisser le taux des infractions non élucidées. Le régime macronien renoue avec ses illustres prédécesseurs totalitaires. Pour ce faire, il faut mettre les organismes dits « indépendants » sous contrôle. Ce fut le cas de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) devenu en 2020 le Centre des hautes études du ministère de l’Intérieur (CHEMI). La falsification des données COVID nous a montré que la méthode a été élargie à tous les domaines. Un principe simple : tout ce qui sort de la pourriture de cette république agonisante est à fuir. La statistique est aussi gangrenée que le reste.
Mais, Français, dormez tranquilles. Gérald Darmanin veille sur votre sécurité avec le plus grand soin : le terroriste qui, ce matin, a poignardé six personnes (dont une très gravement) à la gare du Nord, à Paris… n’est pas un terroriste ! C’est simplement un migrant libyen, arrivé dans notre pays il y a trois ans grâce à l’un des navires négriers qui traversent régulièrement la Méditerranée, au déjà lourd casier judiciaire pour de multiples délits, frappé par l’une de ces hilarantes OQTF (obligation de quitter le territoire français) depuis l’été dernier mais… jamais expulsé et désormais criminel. Mais CE N’EST PAS UN TERRORISTE ! Car, comme vous le saurez avant longtemps, ce n’est qu’un malade mental irresponsable selon la méthode d’information bien rodée (sur le modèle allemand) du gouvernement d’Emmanuel Macron.
Il doit pourtant bien y avoir un responsable dans cette cascade d’échecs. Ne serait-ce pas Gérald Darmanin lui-même ou l’un de ses compères ? Que pensez-vous ?
C’est vrai qu’il est assez fascinant de voir les Pouvoirs publics se précipiter à chaque ‘incident” pour dire ‘il ne s’agit pas d’une attaque terroriste… Ouf on respire m^me si ce “déséquilibré” d’origine Lybienne était sous le coup d’une OQTF.
Et, cerise sur le gâteau, voici la réponse du ministère de l’intérieur de la République française (président Emmanuel Macron et ministre Gérald Darmanin) à l’absence d’expulsion en réponse à l’OQTF dont nous venons de parler :
“LA FRANCE NE POUVAIT PAS L’EXPULSER VERS SON PAYS EN RAISON DE L’INSTABILITÉ QUI Y RÈGNE” !!!
En d’autres termes, le gouvernement français préfère sacrifier la vie de ses citoyens à la sécurité de leurs assassins.
Pour nous, c’est clair, un tel comportement… EST JUSTICIABLE DES SANCTIONS LES PLUS GRAVES. Qu’on se le dise.
Rappelez-vous! Il y a peu, deux SDF dont un Libyen, ont été arrêtés à la Gare Montparnasse parce qu’ils disaient vouloir tout faire sauter avec des bouteilles de gaz dont on a dit qu’elles étaient sans danger mais ce n’était pas grave, ce n’était que des esprits dérangés. Libyens… l’histoire semble se répéter et s’il fallait prendre cela comme signe d’un mal profond et menaçant, certains en voudraient à la France à cause de qui est arrivé à Kadhafi. Il ne faudrait pas que cette Libye devienne la sous-traitante de la Russie (un député, un général au moins qui veulent une frappe préventive contre la France, ce ne serait pas grave si elle disparaissait… à cause de l’engagement de Macron qui fait n’importe quoi dans le conflit russo-ukrainien). Ceci étant dit parce que la prophétie de Nostradamus met en cause la Libye dans le Paris “désolé” ou disparu? qui vaut à l’empire français de se réfugier à Avignon (III-93), ce qui ne s’est jamais produit dans l’histoire…
Lola, Laura, Mauranne, Nadine, Vincent, Simone, Olivier, Chantal… Tous sont Français. Tous sont tombés sous les coups d’étrangers qui n’auraient pas dû se trouver en France. Tous sont les victimes du laxisme migratoire.
Face à ces drames, des médias et une partie de la classe politique choisissent le silence. Mais si rien ne change, si la politique migratoire n’est pas reprise en main, alors le sang de Français innocents continuera de couler.