Tenants, à défaut d’aboutissants, de la rencontre Maximin Giraud / Comte de Chambord

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maximin_Giraud#/media/Fichier:Chapelle_Notre-Dame_de_la_Salette_de_Létra_-_Statue_Maximin_Giraud_(mai_2021).jpg

  D’autres bienfaiteurs s’occupaient de lui ( NDLRB. Maximin Giraud) le comte espagnol de Penalver, la marquise de Pignerolles ; celle-ci lui offrit un jour une grosse somme afin qu’il se rende à Frohsdorf en Autriche pour y rencontrer le comte de Chambord, prétendant légitime au trône de France.

     Les historiens passent généralement vite sur cette entrevue mystérieuse qui eut lieu fin avril 1865. (…) Cependant, « Maximin adhérait loyalement au comte de Chambord. Nous en avons deux preuves. À l’exemple des chartreux et autres religieux qui mettaient leurs armoiries sur leurs produits, il avait lui aussi son blason, ses armoiries. Elles lui furent indiquées par la comtesse de Chambord, puis peintes par M. de Grammont, qui en donna l’explication le 2 février 1869 : trois lys’ ( NDLRB.  de jardin ?), symbole d’attachement à Notre-Dame de La Salette, au Pape et au Roi. Et dans une lettre du 24 juillet 1874, Maximin a écrit ces lignes : “ J’ai toujours confiance que notre Roi viendra… La Chambre manque à sa mission et Mac-Mahon à son devoir, en n’allant pas chercher le roi et lui offrir ce qui lui est dû, au moins pour sauver la France. ” » (Le Hidec, p. 86) (…)

https://crc-resurrection.org/toute-notre-doctrine/contre-reforme-catholique/apparitions-mariales/notre-dame-de-la-salette/la-vie-de-maximin-voyant-de-la-salette.html

4 thoughts on “Tenants, à défaut d’aboutissants, de la rencontre Maximin Giraud / Comte de Chambord

  1. Chouandecoeur

    Il y eut deux visites de Maximin Giraud au comte de Chambord :
    . La première en 1865 à Venise, où il fut éconduit par le prince.
    . La seconde en 1873 à Frohsdorf, où il fut reçu et put délivrer le message qu’il devait donner au prince, à savoir de ne pas monter sur le trône de France puisque son grand-cousin Louis XVII était vivant (87 ans).

    – Maximin à Chambord :
    “Je suis venu vous dire qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir roi de France, que cela ne se peut pas et vous savez pourquoi.”
    -Après l’entretien, Chambord confie à son secrétaire le comte Henri de Vanssay :
    ” Maintenant, j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est Lui-seul qui se réserve de rétablir la Royauté.”

    Huit mois avant la mort du comte de Chambord, quand Mélanie devint sœur Marie de la Croix, elle écrivit le 29 janvier 1883 au chanoine de Brandt :
    ” Dans ce moment, la France ne veut plus de roi… Quand le moment sera venu, Dieu trouvera le roi à donner à la France humiliée…”
    Mélanie complète le 29 avril 1884 :
    ” Dieu nous donnera un roi, et un roi auquel on ne pense pas.”

    Reply
  2. Hervé Joseph VOLTO

    Selon le Marquis de la Franquerie que j’ai rencontré en 1989 à Nice où il était venu faire uen conférence sur l’Ascendance Davidique des Rois de France, le texte -dont il disait d’en avoir une copie- disait :

    -Maintenant, j’ai la certitude que mon (oncle ou) cousin Louis XVII existe.. et qu’il est vivant. Je ne monterai donc pas sur le trône de France ! Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est Lui seul qui se réserve de rétablir à Son heure la Royauté et la véritable descendance Royale.

    On retiendra de cette phrase que le Comte de Chambord sur que :

    1. Louis XVII était vivant à l’époque.

    2. Dieu veut que nous gardions le secret.

    3. Lui-seul qui se réserve de rétablir à Son heure la Royauté et la véritable descendance Royale.

    Mon humble conclusion : ne serait-il pas plus prudent d’attendre patiemment la révélation du Grand Monarque à l’huere de Dieu ? avancer, oui, mais, calmement, patiemment, prudemment, CHACUN A SON POSTE !

    Reply
  3. Hervé Joseph VOLTO

    Pour faire dire des messes traditionnelles pour la France, le Roi et à vos intentions :

    Voici le téléphone du Père Jean-Pierre, responsable du lieu d’apparitions de Tilly-sur-Seulles (sacrements validés par la Rote, tribunal du Vatican, le 21 avril 2021) pour faire célébrer des messes pour le Roi et la France, et à vos intentions :
    06 75 22 56 53

    Reply
  4. Michel WARTELLE

    Louis XVII étant mort à Gleizé au château de Vaurenard, le 10 août 1853, il y a un sérieux problème avec la visite de Maximin à Frosdorff, en 1873 avec le comte de Chambord. De son vivant, Louis XVII-Richemont a tout essayé pour rencontrer le comte de Chambord, un grand ami du vicomte Sosthènes de La Rochefoucauld, qui reconnaissait le baron de Richemont, comme le roi Louis XVII. Ils se brouilla avec Chambord plusieurs années, à cause de l’existence de Louis XVII. La Rochefoucauld en parle dans ses mémoires. Il connut Naundorff et Richemont. Il proposa à Naundorff en 1833 d’aller à Prague, rencontrer la Duchesse d’Angoulême. Refus de Naundorff. À partir de 1837, La Rochefoucauld prend parti ouvertement pour le baron de Richemont et le reconnait comme le roi Louis XVII. Il y a certainement une descendance. J’ai rencontré en 1994 au Québec, un descendant de Louis XVII, par les femmes. Louis XVII a eu des enfants aux États-Unis et les a fait élever par les Jésuites au Québec. J’en parlerai dans mes conférences, lors de mon passage en France en mai 2023.

    Reply

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 2 Mo. You can upload: image, audio, document, spreadsheet, interactive, text. Links to YouTube, Facebook, Twitter and other services inserted in the comment text will be automatically embedded. Drop file here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.