Le drame, il suffit d'”ouvrir” un média, c’est que la France se délecte dans la fiction, il ne faut pas s’étonner qu’elle n’est plus dirigée que par des personnes qui valent moins que des personnages de fiction d’autant que sur le “marché”, les personnages de fiction ont plus la cote. Pour qui est un peu attentif, une saturation, un écoeurement se fait nécessairement sentir; l’inversion des valeurs devient insupportable. En définitive, les Français ont les gouvernants qu’ils veulent ou qu’on leur impose avec leur consentement…. Le pouvoir est sacré, il faut le savoir et si l’on veut qu’il ne le soit pas, il faut savoir quelles sont les conséquences: la décadence.
j’applaudis des deux mains votre analyse:” Le pouvoir est sacré, il faut le savoir et si l’on veut qu’il ne le soit pas, il faut savoir quelles sont les conséquences: la décadence“.
Bravo, alain! toujours très fin…
Hervé
Le drame, il suffit d'”ouvrir” un média, c’est que la France se délecte dans la fiction, il ne faut pas s’étonner qu’elle n’est plus dirigée que par des personnes qui valent moins que des personnages de fiction d’autant que sur le “marché”, les personnages de fiction ont plus la cote. Pour qui est un peu attentif, une saturation, un écoeurement se fait nécessairement sentir; l’inversion des valeurs devient insupportable. En définitive, les Français ont les gouvernants qu’ils veulent ou qu’on leur impose avec leur consentement…. Le pouvoir est sacré, il faut le savoir et si l’on veut qu’il ne le soit pas, il faut savoir quelles sont les conséquences: la décadence.
j’applaudis des deux mains votre analyse:” Le pouvoir est sacré, il faut le savoir et si l’on veut qu’il ne le soit pas, il faut savoir quelles sont les conséquences: la décadence“.