La révolution française violait le principe de fraternité permettant aujourd’hui ( Conseil constitutionnel) de donner licitement asile à un proscrit.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_Bouquey

Pour la première fois, le Conseil constitutionnel a , le vendredi  6 juillet 2016, consacré la valeur constitutionnelle du principe de fraternité. Dans cette décision , les gardiens de la loi suprême ont donné une force juridique à cette devise républicaine et considéré qu’il en découlait « la liberté d’aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national ».

https://www.lemonde.fr/immigration-et-diversite/article/2018/07/06/aide-aux-migrants-le-conseil-constitutionnel-consacre-le-principe-de-fraternite_5326929_1654200.html

Marie-Thérèse Marinette Dupeyrat, dite Madame Bouquey, est une Révolutionnaire française, née en 1756 à Saint-Émilion et suppliciée le 20 juillet  1794 à Bordeaux.

 Biographie

Elle naît en 1756 à Saint-Émilion. Elle se marie avec Robert Bouquey de la famille d’anciens maires de Saint-Émilion (dont fait partie Pierre Bouquey, maire en 1726). Elle est la belle-sœur d’Elie Guadet, le représentant Girondin à la Convention. Elle héberge les fugitifs proscrits et meurt à Bordeaux sur l’échafaud

Voir aussi : https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2017/02/10/de-la-vallee-de-la-roya-a-bordeaux-qui-se-souvient-de-therese-bouquey-condamnee-a-mort-sous-la-revolution-dite-francaise-pour-crime-dhumanite/