Courageuse déclaration de “Louis XX” au soutien de l’oeuvre de son arrière-grand père Francisco Franco.

   

Nécropole de Los Caïdos ( Espagne).


“Cette immense Croix représente la réconciliation des deux Espagnes. Il n’y avait qu’une Espagne qui a progressé avec bonheur, fière de son passé et pleine d’espoir pour son avenir.

Mais le ressentiment nous conduit encore une fois à éveiller les haines rances.
L’histoire condamnera celui qui profanera ce grand Temple, non pas à cause de la taille de la croix, mais à cause de l’étreinte fraternelle qu’elle représente, accueillant sous ses bras un seul peuple réconcilié.

Il n’y a pas d’autre chemin et nos parents le savaient”.

Louis XX

https://confrerieroyale.blogspot.com/2018/07/18-de-julio.html

et aussi :

https://fsspx.news/fr/espagne-les-benedictins-de-los-caidos-defendent-la-sepulture-des-morts-36592

https://fr.wikipedia.org/wiki/Valle_de_los_Ca%C3%ADdos

0 thoughts on “Courageuse déclaration de “Louis XX” au soutien de l’oeuvre de son arrière-grand père Francisco Franco.

  1. Irène Pincemaille

    Un grand BRAVO pour ce prince ! Les gauchistes : on leur botte le c… et on les envoie paître !
    Amitiés à tous.

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  2. MA Guillermont

    Merci de tout mon coeur au Duc d’Anjou , cette déclaration publique est une belle justification au sens général pour la présence de la Croix …
    Ce prince espagnol se ralliera au Grand-Roi et lui apportera l’appui et l’amitié de la Terre et du Peuple de la grande Espagne chrétienne !
    Quel signe fort et beau du temps présent !

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  3. Charte de Fontevrault

    ‎Louis Mertens‎ à Louis de Bourbon et la famille Royale de France .Duché de Bourbonnais.

    La famille maternelle du Prince Louis de Bourbon, Duc d’Anjou, entre résignation et opposition à l’exhumation du Général Franco.

    La famille maternelle du Prince Louis-Alphonse de Bourbon, Duc d’Anjou, annonce par l’entremise de Francisco Franco y Martínez-Bordiú, Marquis de Villaverde et Seigneur de Meirás, “qu’elle prendra en charge la dépouille du Caudillo que le gouvernement espagnol veut exhumer d’ici la fin de l’année du mausolée” comme le confirme également une dépêche de l’AFP.

    “Je pense qu’ils vont l’exhumer de force et nous verrons alors si cela a été fait légalement” a déclaré l’oncle du Duc d’Anjou qui s’est lui-même contenté de publier sur son compte instagram un message, marquant ses regrets et condamnant l’action du gouvernement. “Aujourd’hui plus que jamais, l’Espagne a besoin d’unité, de Grandeur et de Liberté” a écrit le prétendant au Trône de France à l’annonce de la décision du gouvernement.

    Le frère de la Duchesse de Franco a toutefois dénoncé «le caractère illégitime d’un gouvernement qui n’a voté aucune loi depuis son accession au pouvoir» et “qui ne représente personne”, n’excluant pas d’entreprendre encore quelques recours juridiques mis à la disposition de la famille maternelle du Prince Louis-Alphonse de Bourbon, Duc d’Anjou, face au délai de 15 jours imposé par le décret. Le Marquis de Villaverde a précisé que “sa famille n’avait pas l’intention de contester la mesure car dépenser de l’argent contre un gouvernement est une perte de temps”…s’étonnant du caractère urgent décrété par le Premier ministre Pedro Sanchez. “Justifier l’urgence en disant qu’ils ont 43 ans de retard est un non-sens” a déclaré lors de son interview à “La Razon” Francisco Franco y Martínez-Bordiú.
    Un temps évoqué, la famille a d’ores et déjà démenti que le corps de l’ancien Chef d’État ne serait pas enterré au cimetière d’El Pardo pour le manque de sécurité qu’il représente.

    La Maison Royale d’Espagne n’a, à ce jour, fait aucun commentaire sur cette affaire, préférant faire profil bas alors que l’ancien souverain Juan-Carlos est malmené par des récentes révélations concernant de possibles affaires de malversations financières auxquelles il serait lié.

    Face aux déclarations de l’oncle du Chef de la Maison de Bourbon, la Famille Franco a toutefois souhaité nuancer les propos de Francisco Franco y Martínez-Bordiú, “réitérant son opposition ferme et unanime à tout transfert et exhumation du Général Franco”, s’indignant des procédés du gouvernement qui tente d’enlever d’un lieu chrétien un corps sous la garde de l’église, estimant que “le décret n’était ni plus ni moins qu’un viol de ses droits”, refusant de coopérer avec le gouvernement et “réaffirmant leur confiance dans les tribunaux et dans la législation en vigueur”.

    La Fondation nationale Francisco Franco (FNFF) a annoncé qu’elle allait également porter l’affaire devant les tribunaux.

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  4. Charte de Fontevrault

    Louis Mertens
    28 août, 13:40

    Franco est de retour

    La figure de Franco est, finalement, ce qui importe le moins dans l’affaire de la dépouille du Caudillo qu’un certain Sánchez (socialiste ayant le pouvoir grâce aux voix des communistes et des séparatistes) veut exhumer de son tombeau au Valle de los Caídos. Ce qui importe par-dessus tout, ce n’est même pas la mise en accusation du régime franquiste. Ou si celle-ci importe, c’est pour une autre raison : pour laver le péché originel du régime actuel et pour consacrer l’une des plus grandes falsifications historiques.

    Le péché originel du régime consiste en ceci : le Caudillo est mort dans son lit, personne ne l’a renversé et c’est bien le franquisme qui a lui-même enfanté, tout compte fait, le nouveau régime libéral, aucun des opposants à Franco – réduits à une insignifiante minorité sociale – n’y ayant joué le moindre rôle. Les gens de gauche ne s’en sont pas encore remis. L’amertume et le ressentiment, voire la haine, envers « l’autre Espagne » ont rempli leurs cœurs (tandis que la droite libérale, craignant d’être accusée de franquiste, se faisait toute petite) et ils ont fini par rompre le pacte tacite signé en 1977 entre les deux Espagne : on tourne la page, on enterre la guerre civile, on oublie les massacres commis de part et autre, les uns pardonnent l’assassinat de Lorca ; les autres, celui de Ramiro de Maeztu et de Pedro Muñoz Seca.

    Ah, ne savez-vous pas qui sont ces deux derniers (et grands) auteurs ? Peut-être ne saviez-vous pas, non plus, que des massacres épouvantables ont été commis par les blanches ouailles d’une République dite démocratique et prise d’assaut par les méchants « fascistes » ? C’est normal : depuis quatre-vingts ans, c’est la seule voix des vaincus de la guerre qui a été répandue partout en Europe. Seule leur version des faits a été offerte.

    C’est cette version – cette falsification historique – que la profanation de la tombe de Franco prétend ratifier. En faisant fi du pacte de réconciliation entre les deux Espagne, cette falsification est aujourd’hui, depuis les médias jusqu’à l’enseignement, constamment répandue partout. En Espagne, mais à l’étranger également. C’est ainsi que, le 24 août dernier, l’essayiste Thierry Wolton écrivait, par exemple, dans les colonnes du Figaro : « Que Franco soit responsable de la guerre civile de 1936-1939 pour s’être levé contre un gouvernement républicain démocratiquement élu est une vérité. »

    Non, ce n’est aucune vérité. D’abord, parce que le gouvernement « démocratiquement élu » lors des élections de février 1936 avait vaincu grâce à un truquage électoral suffisamment prouvé par les historiens. Ensuite, et plus essentiellement, parce que l’enjeu, lors du soulèvement de Franco et des autres militaires, ce n’était pas du tout de contrer la démocratie. C’était de barrer la route à la révolution communiste que les socialistes et leurs alliés au pouvoir – leurs proclamations sont explicites – allaient entreprendre après leur premier coup d’essai échoué deux ans auparavant.

    Quoi qu’il en soit, comment justifier, dira-t-on, la présence de la tombe du chef d’un État nullement démocratique dans un haut lieu comme le monastère du Valle de los Caídos (l’un des rares chefs-d’œuvre, d’ailleurs, d’une modernité dont l’architecture n’en connaît presque pas) ? À ce compte-là, si les monuments ne pouvaient accueillir que les tombes de dirigeants démocratiques, ce sont d’innombrables exhumations qu’il faudrait entreprendre d’urgence. À commencer par la tombe, aux Invalides, d’un certain empereur et en poursuivant, à l’Escurial, par celles des rois d’Espagne, les révolutionnaires français ayant depuis longtemps devancé monsieur Sánchez et s’étant chargés de la besogne pour ce qui est des tombes des rois de France à Saint-Denis.

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