L’expression, les « valeurs de la République » est le paravent de la vacuité intellectuelle, morale et politique de la gauche et de toute la classe politique. On se demande d’ailleurs ce que recouvre cette expression continûment assénée. Assurément, elle repose sur la devise républicaine Liberté-Égalité-Fraternité, dont on connaît la vanité.
Ajoutons que tous les pays occidentaux se réclament de la liberté, de l’égalité et de la fraternité sans être nécessairement républicains, sans avoir connu l’équivalent de notre Révolution, sans rien nous devoir, et en entendant ces mots d’une façon différente de la nôtre. Il est vrai que nos vaillants républicains, socialistes et autres se sont trouvés une autre valeur cardinale : la laïcité. Mauvaise pioche : la laïcité, quand elle n’est pas le pur et simple alibi de l’offensive anti-chrétienne, est une notion juridique qui ne fonde en rien une civilisation. Mais nos gens de gauche ne sont jamais à court d’imagination.
Depuis trois bonnes décennies, ils ont élargi le champ des « valeurs de leur République ». Ainsi, de nos jours, nos hommes et femmes politiques de tous bords estiment que les « valeurs de la République » imposent la reconnaissance du droit constitutionnel et illimité à l’interruption volontaire de grossesse, du mariage homosexuel, de la procréation médicale assistée (PMA, en attendant celle de la gestation pour autrui, GPA), de la plus large tolérance en matière d’immigration et, par ailleurs, légitiment une propagande aussi matraqueuse qu’insidieuse, diffusée par les médias, l’enseignement d’État et l’intelligentsia, destinée à étayer un conformisme intellectuel et moral totalitaire à base d’une conception sommaire, spécieuse et perverse des droits de l’homme, et impliquant la persécution des rebelles à l’orthodoxie instituée de ce fait. Bref, les « valeurs républicaines » sont celles du gauchisme le plus débridé et de la décadence de notre civilisation.
Yves Morel
Voir : https://www.actionfrancaise.net/2023/06/16/en-finir-avec-les-valeurs-de-la-republique/
et aussi : https://politiquemagazine.fr/france/dissolutions-la-republique-terroriste/
Merci surtout à Yves Morel, l’auteur de ce texte et à notre ami Catoneo qui en a fait un élément important de son dernier post sur Royal-Artillerie : https://royalartillerie.blogspot.com/2023/10/du-blasph-la-damnation.html
Pour l’illustration, on dirait une caricature blasphématoire (oui, oui) de Notre Dame de Pontmain ! Nul doute que le Promoteur de la Suplique aura à cœur de faire réparation le prochain 17 du mois.
Mon Pére… Je ne me permettrai pas de vous dire que votre imagination est débordante. Pour autant , sachez que je suis le seul responsable du choix de cette illustration..
IMPORTANT
L’esprit de Dieu soufflant là où il veut , je dois à la mise en ligne de cette illustration dont je comprends – tardivement- qu’elle ait pu choquer basclergeensabots l’explication qui m’a été donnée par Chouan de coeur .
M’étant ouvert auprés de lui de la protestation du digne ecclésistique basclergeensabots c’est lui qui m’a expliqué que le posture de Marianne serrant contre elle la Croix du Sauveur n’était pas sans ressemblance avec l’image traditionnelle de Notre Dame de Pontmain.
je prie donc basclergeensabots, Chouan de coeur et tout ceux que ce post aurait pû choquer de bien vouloir accepter mes excuses.
Merci, en quelque sorte, à M.Yves Morel pour l’illustration de sa totale incapacité – malheureusement largement partagée par un grand nombre de nos contemporains – à saisir la réalité de la menace véritablement ontologique qui pèse sur nous.
Ce monsieur n’a en effet rien compris quand il conclut : « Bref, les « valeurs républicaines » sont celles du gauchisme le plus débridé et de la décadence de notre civilisation. » alors que là ne sont pas les causes de cette « décadence ». Or, « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » comme l’a écrit un prix Nobel de littérature français…
Ce que M.Morel dénonce est en fait le produit structurel de cette anti-société mondialisée, abominablement matérialiste et idolâtre, mensongèrement fondée sur le déni de Dieu, le déni de toute transcendance autre que marchandisée, frelatée, franc-maçonnisée, « droitdel’hommisée » ; le mensonge étant l’une – si ce n’est la principale – des « marques de fabrique » du malin ; une anti-société où chacun est structurellement fait l’ennemi de son frère, une anti-société qui corrompt le monde et avili les âmes, une anti-société où l’homme est structurellement sacrifié, humilié, exploité, fait esclave sur l’autel de dévorantes et impitoyables idoles : l’argent, le pouvoir, l’exaltation égotique…
Passer à côté de cette compréhension comme semble le faire M. Morel dans cet extrait, c’est se faire, par aveuglement, le complice de fait de cette barbarie qui a désormais été intériorisée par quasiment tous nos contemporains ; résultat d’un conditionnement si puissant qu’il dépasse en efficacité tous les totalitarismes du passé, ainsi qu’on ne manquera de le constater au fait qu’il n’y a pas une seule armée du monde qui la combat, à la différence de ce qui était advenu au cours des précédentes guerres mondiales ! Par comparaison cette autre fiction mensongère qu’était « la dictature du prolétariat » en pays soviétique n’a jamais atteint là bas un tel taux d’adhésion. Qu’on y songe !!
Dés lors, c’est ce moquer du monde que d’accuser la gauche ou le gauchisme car ce sont bel et bien des libéraux et des hommes de droite qui servent à mettre en oeuvre ces politiques de dévoration cannibale à laquelle elles méritent d’être comparée, participant de cet autre déni qui lui est consubstantiel : celui de la dignité divino-humaine de l’homme.
A ce titre, la gauche, souvent instrumentalisée, est parfois réduite au rôle « d’idiot utile » pour présenter comme des avancées des dispositions toujours plus, liberticides et esclavagistes qui aboutiraient bientôt au transhumanisme si le plan de Dieu n’était autre, qui passe par la figure de ce dernier roi de France…
Il ne faut pas se tromper d’ennemis : le danger, ce n’est pas la gauche (laquelle s’est historiquement affirmée sur l’expression d’une contestation de cette barbarie mais une contestation évidemment vaine et mal fondée en l’absence d’adossement à la moindre transcendance) ; le danger c’est ce système mondialisé et parfaitement intégré : économique, financier, médiatique, sociologique, scientifique, scolaire…. et aussi évidemment politique caractérisé par une vision de l’homme émasculé de sa composante divine, réduit à n’être qu’une machine biologique sans Dieu
En ce sens, je définirai, quant à moi, ces « valeurs républicaines » comme étant en France le leurre de moins en moins seyant, de plus en plus creux, servant à perpétuer l’abominable « business as usual » de cette dévoration cannibalesque, véritable régression anthropologique et civilisationnelle qui sert aussi à masquer l’incapacité conceptuelle – aux conséquences terriblement destructives à tant de point de vues (humain, environnemental…) – à identifier cette idéologie matérialiste et idolâtre comme étant la cause du problème et ce, en raison de la perte abyssale, structurelle de tout lien authentique avec la transcendance, avec Dieu, dont la simple évocation – très significativement – est presque devenue inconvenante, quand elle n’est pas motif à internement psychiatrique ou plus nouvellement à interpellation policière !
Mais rien d’étonnant à cet enténèbrement des consciences puisque, pour sa part, l’Église – qui a « jeté le bébé avec le bain » – devenue une « ONG de bons sentiments » œuvre de tout son saoul à cette déconnection des réalités fondamentales, divino-humaine de l’Homme, à cette débilitation généralisée horizontalisante (telle la croix bleue horizontalisée, très significativement, figurée dans le stade lors de la messe papale à Marseille) !
Tout rapport au sacré, toute dimension verticalisante est devenue étrangère à cette Église au point même de constituer un véritable repoussoir pour elle !
Pardonnez-moi, mais à titre d’édifiante illustration, je vous livre ce récit, navrant pour cette institution, véritablement devenue « collaborationniste avec cette occupation idolâtre du monde », tel qu’il ma été donné de le constater, quant à moi qui, un 7éme jour du 7ème mois, ait reçu sous mon sein droit le dernier des stigmates de la Passion du Christ, en un jour que l’Esprit saint (ainsi qu’Il a fait en sorte de me le faire savoir ultérieurement et non par la voie de l’Église, même locale, qui l’ignorait de toute évidence) m’a signalé comme correspondant à la date anniversaire (considérée comme parfaitement crédible par les historiens) de l’élection, en 418, du grand saint de cette ville, Germain d’Auxerre (378-448), à la dignité d’évêque par la population de la ville. Quelle belle intercession – gage d’authenticité –ne dirait-on pas ?
Or, bien que j’ai demandé à consulter le prêtre et moine catholique exorciste du diocèse – après avoir fait dument constater par écrit ce phénomène par un médecin, médusé, qui n’en revenait pas, incapable d’expliquer le prodige – et que ce religieux n’a pas trouvé la moindre raison de suspecter l’authenticité de cette grâce, que croyez-vous qu’il arriva ? L’Église ou bien plutôt cette caricature, ce lambeau d’Église « collaborationniste » « en phase terminale » – tel le malade affublé du même qualificatif – n’a en lamentablement rien fait !
Pourtant cette grâce, alors même qu’elle était par ailleurs assorties d’autres grâces de compréhension de très grande profondeur – dont ce n’est pas le propos ici – avait évidemment été donnée – comme il en va des “dons de l’esprit” – c’est-à-dire pour “l’utilité commune” (1 Corinthiens 12.7) et non pour ma seule personne, pécheresse !
Ainsi, ne faut-il pas s’étonner que « quand le sel le sale plus, il ne mérite que d’être jeté dehors et piétiné par les hommes » (Matthieu 5.13)
Mais le Seigneur ne s’en est pas laissé compter et c’est bien pourquoi, Il a continué de me dessiller les yeux et de m’instruire. Et c’est évidemment ce qu’il est disposé à faire avec chacun d’entre nous pour peu que nous consentions à nous ouvrir à sa grâce et à consentir à faire Sa volonté et non la nôtre, si facilement gauchie par les passions du monde et la fascination des idoles !
Ou – pour résumer ce commentaire – comment à partir d’un total manque de lucidité visant à s’en prendre à la gauche (un leurre bien commode et qui sert le jeu des démons mondialistes) alors qu’elle n’est pas la cause du problème (laquelle réside dans ce postulat mensonger et bassement intéressé participant de la conception d’un monde sans Dieu où l’Homme est structurellement fait esclave des idoles ; un postulat porté par toutes les puissances d‘argent et dés lors complaisamment relayé par la droite, son allié de toujours), on en est arrivé à comprendre – je l’espère – que le Salut ne peut venir que de l’intimité d’une authentique relation avec le Seigneur (à ne pas confondre avec l’observance de rituels qui peuvent toutefois en être le support).
Que l’on veuille donc bien me croire lorsque j’affirme, d’expérience, que ce dernier roi de France, tant attendu, ne sera évidemment pas en reste à ce titre…
Effectivement, ne nous trompons pas d’ennemi et plongeons-nous davantage dans la philosophie de Theodore Kaczynski, le premier à avoir identifié le véritable responsable de nos malheurs.
Je présume, « Conseil dans l’Espérance du Roi », que vous avez tenté un douteux trait d’humour noir et/ou de dérision à la suite de mon commentaire en faisant, pour votre part, assez inexplicablement référence à la « philosophie » d’un poseur de bombes qui a été condamné à la prison à perpétuité et que n’animait pas la moindre recherche de transcendance. https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodore_Kaczynski
Je ne sais ce qui vous a pris mais ce « terroriste hirsute et illuminé » ne mérite en rien de retenir l’attention de nos lecteurs et certainement pas la mienne.
“… et certainement pas la mienne.”, dites-vous. Dommage. Mais cela en dit long sur l’intérêt que nous devons porter à vos propos… Sortez un peu le dimanche (pour reprendre l’expression bien connue) et lisez vraiment l’auteur en question. Vous avez d’ailleurs, désormais, un excellent ouvrage pour vous y aider, celui de Remi Tell : La société industrielle et son avenir. Théodore Kaczynski. Il vous éclairera sur la réalité de ce “terroriste hirsute et illuminé”. Vous en avez besoin…
Prions le Ciel en général , et les “saints” de la Charte de Fontevrault en particulier, pour que l’on ne retrouve pas sur son blog ces attaques à fleurets même mouchetés, et même les miennes s’il.m’arrivait de m’y lasser aller.
Là, il faut éclairer nos lecteurs, « conseil de l’espérance du roi » !
En effet, l’avènement d’un dernier roi de France annoncé par les prophéties participe intrinsèquement pour les royalistes du plan de Salut de Dieu. Et, bien sûr, il ne fait pas de doute que cette « science sans conscience » techniciste est effectivement terriblement instrumentalisée au service de cette « anti-société » matérialiste et idolâtre mais proposer comme vous le faites de « se plonger dans la philosophie de Theodore Kaczynski, le premier à avoir identifié le véritable responsable de nos malheurs. » alors que rien dans son approche n’inclut la moindre composante transcendante n’en est rien compatible avec un idéal royaliste !
Le « véritable responsable de nos malheurs. » n’est pas cette dérive techniciste (il ne faut pas confondre le but et les moyens !), c’est la prétention contemporaine désormais mondialisée de fonder un projet de société (en réalité « d’anti société ») sur le déni de la réalité la plus fondamentale (synonyme de folie !) : le déni de cette présence de Dieu dans le monde comme dans chacune de non vies, de sorte que chacun est structurellement exposé – conditionné, en vérité – à devenir l’esclave de cette multitude d’idoles impitoyables et dévorantes qui ont été substituées au vrai Dieu (l’argent, le pouvoir, l’exaltation égotique …) et cette dérive techniciste fait malheureusement partie des redoutables instruments au service de cette logique diabolique, visant à diviser toujours davantage.
Mais, expliquez nous, s’il vous plait. Peut-être existe t-il des royalistes dont « l’espérance du roi » serait totalement déconnectée de la moindre transcendance, ne participerait en aucune manière de l’accomplissement du plan de Salut de Dieu et qui, dés lors, gagneraient donc selon vous à lire les écrits d’un poseurs de bombes qui a fait plusieurs morts. Je ne connais pas de tels « royalistes » mais peut-être est-ce votre cas….
Expliquez- nous ; ça va beaucoup intéresser nos lecteurs.
Il est trop tard, cher Beauregard ! Car que savez-vous du “plan de Salut de Dieu” aujourd’hui ? Auriez-vous la faiblesse de croire encore en ces balivernes que vous appelez “les prophéties” mais qui ne sont plus que des rêves aidant à survivre pour tenter de durer encore un peu face à ce que, par ailleurs, vous appelez fort justement ” la prétention contemporaine désormais mondialisée de fonder un projet de société (en réalité « d’anti société ») sur le déni de la réalité la plus fondamentale (synonyme de folie !) : le déni de cette présence de Dieu dans le monde comme dans chacune de non vies, de sorte que chacun est structurellement exposé – conditionné, en vérité – à devenir l’esclave de cette multitude d’idoles impitoyables et dévorantes qui ont été substituées au vrai Dieu (l’argent, le pouvoir, l’exaltation égotique …) “. Et oui !
Et si, justment, Dieu en avait assez de ses créatures devenues folles et qu’il ait décidé de s’en débarrasser ? Ça pourrait bien commencer par… la Fille aînée de l’Eglise ! Les autres viendront après.
Avec de tels propos de votre part, je ne vois vraiment pas ce que vous faites sur ce site d’échanges royalistes si ce n’est pour y répandre votre fiel, votre pessimisme, votre manque de foi, votre incapacité à identifier ces signaux fins qui, à bas bruit, témoignent de l’actualité de ce plan de Dieu.
Votre pseudo lui-même – beaucoup d’entre nous ont fait le choix de ne pas en avoir parce qu’ils assument leurs engagements – : « conseil en l’espérance du roi » apparaît dés lors pour ce qu’il est : une imposture, un leurre et un véritable « foutage de gueule » car où est donc l’espérance dans vos propos, où est donc le moindre lien avec le roi ?
Je tourne mon regard vers Alain Texier car clairement vos propos sont hors sujet et aucunement constructifs…
Vous n’avez manifestement rien connu ni rien lu du blogue du CER. Alors… R I P ! Reposez en paix.
Eppure si Muove, aurait dit Galileo Galilei.
NDLRB. ” Conseil dans l’espérance du roi” n’est pas un pesudonyme voir : “https://www.sylmpedia.fr/index.php/Le_Conseil_de_l%27espérance_du_Roi”
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HALTE AU FEU. !
Chers amis,
j’entends que ce blog puisse continuer à être un espace de libre discussion et qu’il ne devienne jamais un forum où les malédictions réciproques tiennent lieu d’arguments. Dit autrement , ce blog n ‘est pas un blog républicain et il ne le deviendra jamais. Comptez sur notre Gouverneur Chouan de coeur et sur moi pour y veiller…
S’agissant ce que le blog du CER a été et de ce qu’il demeure -en partie- grâce à nous, ( Charte) je ne peux pas faire mieux que de vous donner le lien qui y conduit toujours ; https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/ et de revenir sur son épopée dans les posts à venir sur le blog de la Charte de Fontevrault.
https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/
Le blogue du CER n’est hélas plus actif depuis un an et dem maintenant, victime de la pensée commune et obligatoire et de ses sbires. Et pourtant, tout, absolument tout ce qui nous arrive aujourd’hui et nous entraine droit à l’abîme et à la disparition y a été annoncé et des solutions proposées sans succès. L’irrémédiabilité de cette descente aux enfers est le mécanisme parfaitement explicite de la disparition d’une civilisation.
Quant à son adresse sur Internet elle ne conduit plus qu’à quelques post résiduels, les plus importants et significatifs ayant été supprimés.
LA PAIX DU CHRIST
L’avenir est-il dans les valeurs de la république? L’idéal de la république universelle qui dit que le brassage de toutes les cultures peut se faire dans la paix est-il possible? Le tonus, faible, de la laïcité face au fanatisme islamiste qui nous menace est-il suffisant pour nous faire résister aux assauts? Les valeurs matérialistes que la franc-maçonnerie nous force d’hériter nous expose à notre disparition. Oserons-nous, comme les premiers chrétiens, affirmer la force de l’AMOUR en la proclamant jusqu’au martyre? Si oui, notre feuille de route est déjà écrite.
Le conflit du Proche Orient nous interpelle et nous rappelle nos faiblesses françaises. Entre un judaïsme et un islam qui se combattent et nient notre espérance, nous devons nous nous interposer, en France et là-bas. Ce ne sont pas les Américains, aussi chrétiens soient-ils, qui le feront, ils ont pris parti même s’ils peuvent servir d’appoint. Entre deux états temporairement établis jusqu’à la conversion, nous devons nous imposer, comme Saint Louis aurait pu le souhaiter, comme administrateurs chrétiens de Jérusalem, d’un Jérusalem tampon entre les ennemis. Les chrétiens sont divisés, ils ne le doivent pas, cela nécessite de tous les rappeler à l’ordre du commandement premier, l’AMOUR dont la royauté française est l’incarnation initiatrice. Il n’est pas tolérable que les orthodoxes russes de Poutine soutiennent les islamistes, ils seraient apostats, au contraire ils doivent en définitive être associés au projet. La guerre en Ukraine doit s’arrêter, la vision de son impasse devrait y contribuer. Dans ce monde divisé qui s’égare et perd de vue de justes objectifs, il peut rester la France chrétienne, fût-elle, en fait, aussi peu nombreuse que les royalistes fidèles, pour relancer une bonne dynamique. Les prophéties disent que c’est la partie faible qui gagnerait quand l’immense autre partie se battrait entre elle. Il faut croire à cette issue, c’est la seule fiable. Nous avons plus que de l’espoir pour entreprendre. La noble ambition de la PAIX DU CHRIST et les VALEURS EVANGELIQUES doivent triompher!