In cauda venenum. “A la fin de l’envoi, je touche”.

   “Mais la raison la plus décisive pour laquelle un sourire apitoyé est ce que mérite le discours de Gabriel Attal, c’est ce dernier qui l’a énoncé lui-même.

   A la fin de sa péroraison, Attal a déclaré : « Être Français en 2024, c’est, dans un pays qui il y a 10 ans seulement se déchirait encore sur le mariage pour tous, pouvoir être Premier ministre en assumant ouvertement son homosexualité. »

      Gabriel Attal considère donc qu’il est très important, qu’il est entièrement légitime « d’assumer ouvertement son homosexualité ». C’est-à-dire qu’il considère qu’il est très important, qu’il est entièrement légitime pour un individu d’exposer publiquement ce qui est ordinairement considéré comme le plus privé : l’usage qu’il fait de ses parties génitales”.

https://www.jesuisfrancais.blog/2024/02/01/un-sourire-apitoye-est-ce-que-merite-le-discours-de-gabriel-attal/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=jsf-matin-dernieres-publications-1996

1 thought on “In cauda venenum. “A la fin de l’envoi, je touche”.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 2 Mo. You can upload: image, audio, document, spreadsheet, interactive, text. Links to YouTube, Facebook, Twitter and other services inserted in the comment text will be automatically embedded. Drop file here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.