Mohamed Amra, surnommé la Mouche, Yanis, ou Schtroumpf1, né le à Rouen (Seine-Maritime), est un présumé criminel français impliqué dans de nombreux délits. Il fait parler de lui à la suite de son évasion le au péage d’Incarville, lors de laquelle deux agents pénitentiaires, Fabrice Moello et Arnaud Garcia, sont tués par arme à feu par les assaillants2,3. Suite à son évasion filmée par les caméras de surveillancedu péage, il est considéré comme « l’homme le plus recherché de France »4,5.
Biographie
Naissance et jeunesse
Mohamed Amra naît le à Rouen6.
Parcours criminel
Poursuites judiciaires classées sans suite et première condamnation
De ses 11 à ses 14 ans, il est mis en cause à 19 reprises pour des faits de « port d’arme prohibée, vol par ruse, extorsion, violences, trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs… ». Systématiquement, les affaires sont classées sans suite et il n’échoie de sa première condamnation qu’à l’âge de 15 ans, en 7,8.
Condamnation pour rodéo urbain
Le , le tribunal correctionnel d’Évreux le condamne à 3 mois de prison pour « rodéos motorisés »9.
Condamnation pour association de malfaiteurs, vol par effraction et extorsion
Le , la cour d’appel de Rouen le condamne à 3 ans de prison pour « vol par effraction, association de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime, extorsion par personne dissimulant son visage, destruction par moyen dangereux, vol en bande organisée, vol par effraction aggravé par une autre circonstance et violence avec arme n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail »9.
Mise en examen pour tentative d’extorsion, tentative d’assassinat et détention d’arme
Le , le tribunal judiciaire de Rouen le met en examen pour « tentative d’extorsion avec arme, tentative d’assassinat et détention d’arme de catégorie B »10,11. En outre, il est suspecté d’avoir tiré sur le domicile de la victime de l’extorsion de fonds à Saint-Étienne-du-Rouvray en 12.
Mise en examen pour enlèvement et séquestration ayant entraîné la mort
Le , la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille le met en examen pour « complicité d’arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, commis en bande organisée, en état de récidive légale ; complicité de meurtre avec préméditation en bande organisée en état de récidive légale ; complicité de destruction en bande organisée du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, en état de récidive légale ; recel en bande organisée de bien provenant de vols, en état de récidive légale ; participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes, en état de récidive légale »13. En clair, il est suspecté d’avoir commandité, depuis sa cellule de la prison de la Santé, l’assassinat d’Ugur T., un habitant de Dreux retrouvé dans une voiture calcinée à Aubagne le 14,15.
Nouvelle condamnation pour vol par effraction
Le , le tribunal correctionnel d’Évreux le condamne à 18 mois de prison ferme pour « vol par effraction dans un local d’habitation, aggravé par une autre circonstance »9. Concrètement, il est accusé d’avoir commis 7 vols entre le et le dans le département de l’Eure, notamment dans des supermarchés et commerces de la banlieue d’Évreux16,17.
Au moment de son évasion, Mohamed Amra totalise 13 condamnations et 2 mises en examen18,19. Par ailleurs, l’office anti-stupéfiants le considère comme un baron de la drogue capable d’acheminer de la drogue depuis les Antilles jusqu’à Marseille7,20.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Amra
Beau parcours de racaille ! Mais après lequel nous sommes en droit de poser la question suivante : QUE FAIT-IL ENCORE EN FRANCE ? Rappelons en effet qu’aucun individu d’origine maghrébine, même né en France, ne perd la nationalité de ses parents ou de ses aïeux. Ils ont donc toujours la double nationalité et relèvent donc de la déchéance de la nationalité française lorsqu’ils s’en montrent indignes. Encore faut-il une réelle volonté politique de régler ainsi le problème…
Précisons à ce propos que si les pays d’origine de ces délinquants ne délivrent pas de visa de remigration (et on les comprend) la solution est simple et nous l’avons énoncée à de multiples reprises : RETABLISSONS LA PEINE DE RELÉGATION ET RÉHABILITONS LA NOTION DE BAGNE OÙ CES CRAPULES POURRONT COULER LEURS DERNIERS JOURS HEUREUX ! Les lieux pour les accueillir sont nombreux, depuis la traditionnelle Guyane jusqu’à nos Terres Australes ou nos Iles Eparses de l’Océan Indien sans oublier l’incontournable Nouvelle-Calédonie qui ne va pas tarder à retrouver de l’intérêt pour cette situation… N’en déplaise à Marine Le Pen, nouvellement chiraquisée, il n’y a pas d’alternative à ce qui vient d’être énoncé. Et à bon entendeur, SALUT .
Une remarque complémentaire à propos de ce qui précède : l’Algérie et le Maroc se déchirent depuis quelques jours à son propos. Non pas pour revendiquer l’origine historique du délinquant en question mais, au contraire, pour le déclarer originaire de l’autre pays ! Dans les deux cas… aucun n’en veut bien qu’ils admettent son appartenance à une souche maghrébine. Voilà qui donne tout son poids à notre proposition d’élimination par le chemin des oubliettes. En tout cas tant que la peine de mort n’aura pas été rétablie dans notre pays et effectivement appliquée, en particulier à ces nuisibles.