Article de Monsieur Jean-Yves PONS :
Ceux qui nous lisaient régulièrement depuis la fondation du Conseil dans l’Espérance du Roi savent combien nous avons alerté sur le déclin de notre pays, son délabrement économique et financier, son effondrement culturel mais aussi l’anéantissement progressif de tout ce qui faisait la richesse de son tissu social, sous les coups répétés et complices de ses ennemis de l’intérieur comme de hordes barbares venues de l’étranger et leur conséquence fatale :
LA GUERRE CIVILE ET SON CORTÈGE DE MALHEURS.
Ces alertes datent déjà de mars 2012 et n’ont jamais cessé. Croyez-vous pourtant qu’elles ont donné lieu à une salutaire prise de conscience de nos compatriotes, des dirigeants politiques ou même de nos élites intellectuelles ?
À AUCUN MOMENT.
Et voilà qu’un nouveau signal nous arrive d’Outre-Manche par la voix du professeur David Betz, professeur en études militaires au King’s College de Londres, dans le Military Strategy Magazine.
Cet universitaire renommé classe la France et le Royaume-Uni parmi les pays particulièrement exposés à un risque de conflit intérieur, identifiant plusieurs signaux faibles, tels que les attentats terroristes, les émeutes dans les banlieues et les soulèvements anti-immigration et adressant aux deux pays un avertissement amer : la principale menace pour la sécurité de l’Occident « n’est plus extérieure, mais intérieure – et plus précisément la guerre civile ».
Selon le spécialiste, le Royaume-Uni et la France sont les deux pays les plus susceptibles de connaître un conflit civil violent, après avoir été le théâtre d’« incidents précurseurs ».
Selon lui, les signaux faibles de fracture y sont déjà visibles. En France, les attentats terroristes et les troubles dans les banlieues « liés aux populations immigrées ont alimenté les craintes de fragmentation culturelle ».
En Grande-Bretagne, le chef de Reform UK, Nigel Farage, a lié les tensions au Royaume-Uni – illustrées par les émeutes de Southport en 2024, après une attaque au couteau meurtrière – aux politiques d’immigration.
David Betz rappelle que l’ancien chef du Parti du Brexit a « soutenu que les divisions culturelles et une “justice à deux vitesses” favorisant les minorités pourraient déstabiliser le Royaume-Uni ».
Pour le chercheur, les conditions propices à une guerre civile en France et au Royaume-Uni sont réunies : fractures culturelles, stagnation économique, perte de confiance dans les institutions et excès d’influence des élites. « Selon les meilleures estimations de la littérature existante, dans un pays où ces conditions sont réunies, le risque d’une véritable guerre civile est de 4 % par an. En partant de cette hypothèse, nous pouvons conclure que ce risque est de 18,5 % sur cinq ans », constate-t-il.
David Betz décrit plusieurs caractéristiques probables d’un tel conflit : grandes villes devenant ingouvernables ; sabotages d’infrastructures énergétiques, de transports ou de communication ; destruction des repères de la conscience collective ; déplacement de populations civiles à grande échelle pour fuir les risques de violences. Face à ce scénario du pire, le professeur d’études militaires appelle à une réorientation stratégique des armées et des gouvernements. Selon lui, il serait impératif de créer des zones sécurisées pour les civils, de sécuriser les infrastructures critiques et les armes stratégiques ou encore de développer des doctrines et plans d’action adaptés aux spécificités des guerres civiles.
Comptez-vous sur Emmanuel Macron et ses sbires pour prendre enfin conscience du danger et proposer les seules solutions qui pourraient encore nous sauver ?
S’ils ne l’ont pas fait depuis nos alarmes de 2012 (à l’époque nous sortions des forfaitures de Nicolas Sarkozy pour entrer dans les supercheries de François Hollande), ils ne le feront évidemment pas demain et la France d’aujourd’hui n’étant pas l’Espagne de 1936, nous disparaitrons. SAUF À PRENDRE NOUS-MÊMES LES ARMES ET À NOUS BATTRE.
C’était déjà ce que nous annoncions et réclamions dans ces deux Concilium-Consultes :
… QUE DE TEMPS PERDU ET QUE DE DANGERS ACCRUS !
Pour le CER et la Charte de Fontevrault, Jean-Yves Pons, CJA.
Merci d’avoir posé les mots de ce qui va devenir de plus en plus probable !
Merci pour votre soutien.
Envoyer notre armée (enfin, ce qu’il en reste) combattre les Russes ??? Non mr macron (sans majuscule) : c’est en Seine St Denis et autres mauvais lieux qu’il faut la déployer ! et avec de vraies armes (comme les kalatchnikov qui encombrent les caves de banlieues), pas avec des “pistolets à bouchons” et avec des ordres précis ! Voilà ce qu’il faut faire messieurs de notre pauvre pseudo-gouvernement ! Là , ça remettrait quelques pendules à l’heure !
Amitiés à tous.
Merci Madame pour votre bon sens et sans doute votre soutien. Et de toute façon, qu’ils le veuillent ou non, cela arrivera. Mais plus nous perdrons de temps et plus ce sera couteux. C’est le prix de la lâcheté.
« Risque de guerre civile » : un professeur du King’s College de Londres alerte sur la menace de conflit intérieur en France
« Risque de guerre civile » : un professeur du King’s College de Londres alerte sur la menace de conflit intérieur en France
https://www.militarystrategymagazine.com/article/civil-war-comes-to-the-west-part-ii-strategic-realities/
A quoi servent ces deux remarques (car ce ne sont pas des commentaires) alors que le lien avec l’article est déjà dans le corps du texte de notre article ? Ici même : Military Strategy Magazine. Ou comment parler pour ne rien dire…
OK : ils ont censuré VA
mais pas Military Strategic magazine
https://www.militarystrategymagazine.com/article/civil-war-comes-to-the-west-part-ii-strategic-realities/
Military Strategy Magazine : https://www.militarystrategymagazine.com/article/civil-war-comes-to-the-west-part-ii-strategic-realities/
On comprend bien que le chaos social, moral et économique de ces deux nations britannique et française est propice à l’explosion de désordres graves comme on en a vu les prémices dans les émeutes de Nahel chez nous et celles de Southport chez eux. Les deux pays ont affronté des insurrections dans le passé et les ont matées. Mais la nouveauté réside dans l’extrême sophistication des nerfs et vaisseaux qui leur permettent de fonctionner. Les flux de transport en site propre (voies ferrées, canaux, pipelines, voix et signaux) sont interruptibles. Les hub de stockage d’énergie, de routage des informations, pareil ! Et l’actualité nous montre que nous n’avons ni les protections, ni les substituts, les bretelles alternatives. Nous avons aménagé le territoire comme des niais. Le premier kosovar venu stoppe le train pour dix mètres de cuivre ; l’épicier de Tarnac fait sauter la caténaire avec une simple barre de fer doux courbée en boomerang ; seules semblent protégées les centrales nucléaires si les gendarmes de garde veulent bien appliquer le tir instinctif sur ombre mobile sans se poser de question. Ce qui ne fut pas le cas dans le passé.
Au chaos général des moeurs pourrait vite s’ajouter le chaos des infrastructures et des réseaux rompus, propice à l’insurrection générale ou confinée selon le plan, s’il y a déjà un plan. Car c’est peut-être à ce niveau que la thèse du Pr Betz est faible : une guerre civile pour faire quoi ? par qui ? comment ? Le désordre n’est jamais mortel car il se réprime, même mal, tant qu’il n’est pas partie d’un plan de subversion. A dire vrai, je vois mal les révolutionnaires en carton-pâte payés au mois et grassement, construire des opérations de subversion en France.
Il fut un temps où s’était diffusé dans la marginalité un esprit carbonaro qui avait ses cercles, ses réseaux affectifs, ses circuits de propagande, couplés à des moyens de subsistance adaptés au milieu et aux capacités des factieux. Les Renseignements généraux cherchaient en permanence par leurs relais de gendarmerie à détecter puis pénétrer ces groupes pour les faire sauter de l’intérieur. Son emploi par le clan Sarkozy a ruiné l’ouvrage de renseignement qui fonctionnait bien. Une certaine sensibilisation a néanmoins survécu au décapage du régalien par un mauvais président de la Vè République, et la DGSI d’aujourd’hui obtient des résultats discrets et reconnus tout à la fois.
La dernière remarque que j’oserais si l’on me posait la question, serait de chercher les protagonistes d’une guerre civile ; parce qu’il faut au moins être deux. Si l’on voit bien que le prof de guerre vise les communautés allogènes non-intégrables ou désintégrées, on imagine plus difficilement qui sortira dans la rue ou sur les chemins pour s’opposer à elles. Il y aura sans doute plus de volontaires qu’on ne le pense, vu le niveau des tensions sociales subies par les autres. Mais la seule opposition efficace ne pourra être en France que les corps constitués pour maintenir et rétablir la paix civile, à qui on donnera les ordres utiles à sa mission. Les milices patriotiques pourraient se former en campagne sous l’autorité (acceptée sinon rien) de chefs de groupe issus des sociétés de chasse ou de la réserve opérationnelle, mais quand on voit le désarroi des sinistrés de l’Aude, on se doute qu’il sera compliqué de lever une milice cantonale efficace pour surveiller le territoire en complément du travail de gendarmerie. Pour les villes, je n’ai rien à proposer. En ces circonstances, on les fuit !
Une cause de guerre civile peut aussi être dans la malveillance de pays hostiles. Certains Etats sont parfaitement outillés pour créer des troubles, les exploiter, en tirer profit. Celui auquel on pense tout de suite c’est la Fédération de Russie. Ses services et ses agents d’influence en France sont en capacité d’appliquer un plan de guerre intérieure mûrement réfléchi et déroulé à Moscou. C’est à mon avis le plus grand danger car il bénéficie du professionnalisme de services entraînés alors que la crise d’urticaire de communautés allogènes risquent de sombrer dans son propre désordre. On étudiera avec profit l’expulsion par la Russie de la France-Afrique de tout le Sahel, du Cap vert au Darfour. Quelles qu’aient été les insuffisances de nos chefs militaires, la preuve fut apportée de l’expertise professionnelle des Russes dans plusieurs domaines dont celui, primordial, de la gestion des foules et de la guerre hybride par réseaux sociaux interposés. En faudrait-il plus contre nous en métropole ? Peut-être que oui, mais ça a marché en Nouvelle Calédonie quand l’Azerbaïdjan a décidé de répliquer à notre soutien fanfaron à l’Arménie vaincue. Existe-t-il d’autres pays qui nous en voudraient au point de fomenter des troubles en métropole ? les citer mettrait en péril ce blog, mais chacun les voit.
En conclusion provisoire, la nation devrait se prémunir des risques associés à l’hyper-sophistication des infrastructures étatiques ou assimilées. Mais dans un pays en banqueroute, trouver les solutions ne débouchera que sur un dossier à classer puisque nous n’aurons pas les moyens de les financer.
L’autre voie de préparation est d’autonomiser le plus possible des fractions du pays afin d’éviter l’effet domino. Même s’il y en a quatre-vingt-quatorze en métropole, le niveau du département présente beaucoup d’avantages car il peut être armé instantanément par le corps préfectoral et dispose de toutes les “directions” commissionnées. Une dernière question : quel service de l’Etat planche actuellement sur ce risque et se prépare ?
Dernière mais question fondamentale : “quel service de l’Etat planche actuellement sur ce risque et se prépare ?” POSER CETTE QUESTION C’EST HÉLAS Y RÉPONDRE.
En tout cas, cher ami, merci pour votre excellente analyse qui, même si le pire n’est pas obligatoire, ne laisse apparaître que peu d’espoir d’en réchapper si la tragédie s’impose à nous.
La guerre civile en occident
D’accordissime avec Kardillac : quel service de l’Etat planche actuellement sur ce risque et se prépare ?
Parce que pour provoquer des attaques informatiques, ils sont forts. Pourquoi à nous et pas à eux ? ou alors sont-il complices ? ou alors il ya a des islamo-gauchistes à la cellule cyber-machin truc qui se reconnaitra ?
Nous invitons les services à controller le travail de leurs agents, et leurs probité. Afin d’éviter que le discrédit ne retrombe sur eux.
Je dois l’avouer, ces répétitions me fatiguent ! Je n’en peux plus… Si encore elles apportaient quelque chose de neuf. Mais à quoi sert de nous infliger ces redites d’un texte qui figure au sommet de cette page ? Il y a tant à faire par ailleurs. Qu’en pense le modérateur ?
Hier Cabinet Noir de Louis XIV, Secret du Roi de Louis XV, Sureté Générale de Charles X… aujourd’hui Deuxième Bureau, SDCE puis DGSE, le Renseignement tient aujourd’hui une place primordiale tant dans tout prise de décision que dans toute façon d’agir !
https://www.youtube.com/watch?v=7P0m7XuM4S8
(votre serviteur, Conseiller en Sécurité de son état, a fait dans sa jeunesse ses classes comme équipier RA, option observateur, et sous-option tireur d’élite et de précision).
Le Renseignement devra tenir compte, oui, de la variété de nouveaux « périls », notamment « dans le spatial (satélites espions), le cyberespace et les fonds sous-marins », où les Services se doivent d’être polyvalents, prêts à intervenir sur tous les fronts.
Mais un nouveau cycle commence pour le Rensegnement, comme pour le reste de l’institution militaire, avec l’émergence des nouveaux périls décrits plus haut, notamment :
-La présence de stocks d’armes, y compris nucléaires, considérables, avec des tensions grandissantes et d’éventuels retournements de situation aux conséquences imprévisibles.
-La monté en puissance des nations islamiques et la pression démographique exercée par les Pays du Sud.
-La migration planétaire des populations dont l’Europe est le principal objectif en raison de sa prospérité et de sa pression démographique.
Ces trois facteurs sont donc à prendre en compte à égalité pour reconsidérer notre outil de Renseignement.
Avant qu’on nous dise que la critique est aisèe mais l’art est difficile, nous proposons l’institution d’un organisme de contrôle des frontière et de contrôle de populations étrangères : à l’image du service des douannes, à renforcer, regrouper certaines compétances aujourd’hui Police de l’Air et les Frontières, les Renseignements Teritoriaux (ex-Renseignements Généraux), la DGSI et les Douannes volantes, peut-être également la SDAT, avec mission de rendre les fontières étanches à l’immigration clandestine et de controler les étrangers présents sur le territoire national. Cette mission est prioritaire : elle implique le déploiement d’un « maximum de moyens de police et de gendarmerie » , ces derniers devant être associés à la remontée des information depuis les zones tactiques vers les aires stratégiques. Des dispositifs d’obbservation -policiers/gendarmes en civil- et des contrôles aléatoires -policiers/gendarmes en uniformes- devront être déployés dans les gares et les principaux points de passage, gares, ports, aéroports, centres commerciaux. Ne doivent pas êtres concernés les habitants des bassins de vie frontaliers, les travailleurs frontaliers et les routiers.
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
Premièrement. Faire passer les questions de lutte anti-terrorisme sous la tutelle des services de renseignement.
Deuxièmement. Sur le questions de terrorisme, tous les voyants sont au rouge, la propagande est contre la France, nous sommes dans un contexte de menaces qui es troujours très élevée. La menace terroriste en France est multiple. L’une d’entre elle est de loin la plus dangereuse : c’est le terrorisme islamiste. Puis il ya le terrorisme de l’ultra gauche : ces deux dernières même si elle sont à un niveau de dangerosité moindre, inquiètent.
Le fait que l’ultra-gauche ait rejoint les rangs islamistes inquiète par sa capacitè à prendre les armes et par sa formation para-militaire. Celle qui fait couler beaucoups d’encre est la menace survivaliste, avec des idéologies mêlées, pas très claires, avec des idées parfois de proches de l’ultra-droite avec la pandémie covid 19 qui a pu renforcer des craintes, et a pu nourrir un mouvement anti-élite, anti-système avec des menaces très claires contre des personnalités ayant voté le passe sanitaire.
Troisièmenent. Il est urgent de renforcer les moyens du suivi et la conaissance du phénomène de radicalité politique islamo-gauchiste.
A. Renforcer les moyens des services de renseignement.
1°) Un suivi qui ne porte pas tant sur la radicalité des opinions politiques que sur la radicalité des comportements.
2°) Un suivi effectué par différents services, ce qui suppose un effort de coordination et d’échange :
a. Au plan national.
b. Au plan auropéen.
3°) Un suivi qui aurait été, un temps, un peu affaibli par la priorité consacrée au terrorisme islamiste.
4°) Des capacité opértaionnelles qui doivent poursuivre leur montée en puissance.
a. Renforcer les moyens humain et budgétaires.
b. Renforcer les moyens tectniques et juridiques.
(ces mesures pourraient s’appliquer au renseignement Extérieurs autant qu’au renseignement Intérieur ).
B. Améliorer le suivi et la connaissance du phénomène.
1. Crééer un rapport annuel inspiré du rapport de l’office fédéral de protection de la Constitution allemande.
2. Encourager le développepement de la recherche sur les radicalités politiques.
3. Libérer les services de lutte anti-terroriste de la tutelle des magistrats.
OUI, C’EST LE MOMENT D’INVOQUER SAINT MICHEL ARCHANGE, PATRON ET PROTECTEUR DE LA FRANCE !
Bon ! Soit cette prophétie laïque du Pr Betz est intéressante avant d’être inquiétante ; et elle mérite qu’on l’approfondisse dans des voies utiles pour l’avenir ;
soit elle ne l’est pas, et on branche la lance à incendie sur la citerne d’eau bénite pour la noyer.
Hormis toutes contraintes financières dans un Etat en banqueroute, ne serait-il pas avisé d’approfondir les points suivants ?
1. enfouir les lignes de commandes des voies ferrées et leurs aiguilles ; blinder les postes de transformation SNCF, et électrifier les clôtures des sous-stations électriques en 600V au moins.
2. enfouir les lignes moyenne-tension et basse-tension comme en Suisse.
3. enfouir le réseau France Telecom et blinder les armoires à fibre optique.
4. remilitariser la gendarmerie cantonale avec des armes collectives du niveau peloton ou escadron
5. réarmer sérieusement la gendarmerie mobile et former les CRS au contact létal (close combat).
6. … // ici votre idée extraite de votre propre jus de crâne…//
7. ditto
8. idem
Peut-être que la publication du Dr Pons n’aura pas été inutile. Je dis ça, je dis rien.
Les trois derniers post d’Hervé Volto m’interpellent. Mardi 12 août à 19h47, 19h52 (+5mn) et 19h57 (+5mn) ; bref une rafale ! Avec propositions manifestement réfléchies et structurées, peu ou pas fautives en termes de syntaxe et d’orthographe. C’est du bel ouvrage. À moins… qu’elles aient des origines extérieures non communiquées ! Il faut toujours citer ses sources, c’est plus crédible.
Les trois derniers post de votre serviteur sont des analyses du Conseil de Régence.
Donnez-nous enfin des noms de ce “Conseil de Régence”. En d’autres termes, MOUILLEZ-VOUS ! Ça évitera que l’on pense que vous êtes seul (ce qui est probable) et qu’il s’agit d’une imposture.
Il faut d’ailleurs rappeler à cet effet que, lorsque nous avons fondé le Conseil dans l’Espérance du Roi (CER) en mars 2012, nous avons d’emblée “affiché la couleur” en publiant la liste des Conseillers (à quelques rares exceptions près pour des raisons strictes de devoir de réserve). Elle figure ici : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/conseillers-membres-du-conseil-dans-lesperance-du-roi-cer/
Peu après, en février 2013, nous avons obtenu la publication de “l’acte de naissance” du CER par l’encyclopédie Wikipédia sous la forme suivante : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2013/02/11/depuis-aujourdhui/
Un texte que vous vous êtes d’ailleurs attribué in extenso et sans vergogne lorsque vous avez présenté votre Conseil de Régence sur le site de la France chrétienne : https://francechretienne.forumactif.com/t4977-presentation-definitive-du-conseil-de-regence-du-royaume-de-france
Depuis la mise en sommeil contrainte du CER, en juin 2022, notre acte de naissance a évidemment disparu. Mais notre respect pour nos amis et anciens lecteurs de notre blogue perdure et nous oblige. Que tous en fassent autant !…