Bonjour à tous,
Juste pour vous faire patienter pendant ce samedi et éventuellement ce dimanche, mais en sollicitant votre sagacité :
A la fin des années 2000, c’est à la suite d’une réflexion nocturne sur l’Être Divin et Sa Sainte Trinité qu’une curieuse équation m’est venue à l’esprit. Assez stupéfait de ma découverte, j’ai voulu la divulguer, mais en la voilant quelque peu, au sein d’un énoncé facilement mémorisable. C’est donc sous forme d’un court poème que cette vérité est formulée dans une énigme.
Il se peut que certains des lecteurs connaissent la réponse parce que je leur aurait déjà donné la solution. Pour ceux qui découvrent, ils doivent trouver la clé de l’énigme… Cette clé est très précise.
Énigmatique insomnie
C’est en songeant par une nuit,
Au Père, au Fils, au Saint-Esprit,
Que, soudain, la ténèbre a fui ;
Et tout mon être alors compris
Ce que le Fils a dit de Lui :
” C’est en Mon Nom que tout s’écrit ;
Je Suis Sagesse : Jésus Je Suis ! “
Allez, bonne réflexion, ce n’est pas très compliqué…
Chouandecoeur
Centurie V-31
Par terre Attique chef de la sapience,
Qui de présent est la rose du monde :
Pont ruiné, & sa grande preeminence
Sera subdite & naufrage des ondes.
La voix de la sagesse ne serait pas entendue et le naufrage se produirait. Il y a tout lieu de croire que cette voix serait chrétienne, Nostradamus s’adressant au roi Henri second de France.
Contairement à ce qu’a dit Jean-Charles de Fontbrune avec son best seller “Nostradamus Historien et Prophète”, la rose n’est celle de François Mitterrand.
Centurie V-96
Sur le milieu du grand monde la rose,
Pour nouveaux faicts sang public espandu ;
A dire vray on aura bouche close,
Lors au besoing viendra tard l’attendu.
La venue de l’attendu (qui n’est pas Rudi Cambier (philologue et médiéviste, soutenant que Nostradamus, trop ignorant, a en fait volé ses Centuries à Jean de Lessine de l’abbaye de Cambron) serait liée à des faits de violence politique (de l’extrême-gauche et de l’ultra-gauche) rappelant les violences exercées contre Louis XVI et sa famille, comme il y en a eu une aux Etats-Unis, avec l’eassassinat de Charlie Kirk, mais comme elle sera tardive, on ne peut pas en être sûr donc possiblement plus tard encore, après le naufrage… comme le laisse entendre le chapitre “Le lys et l’archange”, chapitre de Cris du ciel sur le temps qui vient (Editions Résiac), autres prophéties de Marie-Julie Jahenny.
J’ai bien peur, Chouandecoeur, que dans un demi-sommeil, vous ayez été “inspiré”.
Entrent dans votre vision la lumière qui chasse les ténèbres et le verbe (la parole) sous la forme congelée de l’écrit.
Vous naviguez entre les deux parce qu’il y a les deux (au seuil de l’hérésie).
Il faut dès lors se précipiter sur l’évangile de Jean, le seul vraiment inspiré lui-aussi, et comprendre que la sapience ne se lit qu’à la lampe à huile pour favoriser la méditation.
1 – Au principe (il n’y a pas de commencement car le temps est aboli) était le verbe (logos), le verbe était chez Dieu et le verbe était Dieu (consubstantialité principielle).
2 – Il était au principe chez Dieu (il peut se dédoubler pour émaner).
3 – Tout a existé par lui et rien de ce qui existe n’a existé sans lui (il est immanent et affranchi de tous les temps).
4 – En lui était la vie et la vie était la lumière des hommes (sans lui, rien ne peut être compris mais la lumière est passive comme le serait un état).
5 – La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas trouvée (dualisme des états en lutte).
En résumé, le verbe n’est audible ou lisible que sous la lumière principielle et cette conjonction est apportée par l’Esprit saint, source émanente de sapience.
Donc vous avez été “touché”.
Tout ceci pour jouer le jeu.
Merci Catoneo de votre commentaire, mais n’exagérons rien tout de même.
Cependant vous avez bien raison d’évoquer le Prologue de saint Jean car c’est la base de la base. J’apprécie particulièrement votre utilisation de “principe” c’est -à-dire “fondement” et non “temps” qui comme vous le dites si bien n’existe pas encore.
Attention encore de ne pas donner une importance trop grande à cette curiosité j’avoue un peu singulière.
Mais, mais, mais, vous ne me donnez pas la clé de l’énigme, qui pourtant est sous vos yeux.
Chouandecoeur
Il y a des pointures sur ce site pour les énigmes. Je ne me risquerais pas à tuer le match.😇
J
E
J E S U S
U
I
S
Bonjour UE,
Les lettres ne se disposent pas comme on le voudrait dans un commentaire.
J’ai compris que vous voulez faire apparaître une croix, avec :
J E S U S en horizontal,
J E S U I S en vertical,
Les deux se croisant sur le premier S.
Fort bien, c’est une réflexion intéressante, mais qui ne donne aucune solution et surtout pas la clé qui fait tout comprendre.
Mais c’est déjà pas mal…
Peut mieux faire !
Chouandecoeur
YHWH JESUIS, augmenté du S de SAGESSE ou SOPHIA donne HieShouA, le nom de Jésus en araméen.
Tout se croise dans la SAGESSE éternelle.
Dans son livre ” La Signature du Dieu trine “, Jean-Gaston Bardet nous explique que le Nom de Dieu n’est pas imprononçable mais qu’au contraire il est dicible par tous les hommes et dans toutes les langues, car il est formé uniquement des sons de voyelles :
I E OU A.
Si l’on y inclut le D, le daleth, symbole et représentation du Pouvoir, on obtient :
I E OU D A (Judas).
Effectivement, si on y inclut le SH (et non le S seul ), le Shin (prononcé Chine), symbole et représentation de la chair, on obtient :
I E SH OU A (Jésus).
Malheureusement, votre dernière réponse à l’énigme n’est pas la bonne.
Vous faites une erreur d’appréciation… cependant vous chauffez.
Encore un effort !
Chouandecoeur
Après l’ésotérisme nous voici venu aux rébus ! C’en est à faire disparaître les derniers soutiens de la Charte…
Jean-Yves… c’est uniquement une curiosité mise sous forme de jeu d’esprit, un peu comme les jeux de réflexion qui se pratiquaient au XVIII ème siècle pendant les repas.
Ici, c’est pour faire passer le temps d’un week-end en usant de sa matière grise dans un autre domaine que ceux habituellement traités sur le blog.
Ce n’est ni de l’ésotérisme, ni un rébus (il n’y a pas de dessins).
C’est plutôt un jeu de piste avec… disons une équation non numérique à résoudre.
UE n’a pas trouvé la solution.
Elle est pourtant très simple si on lit bien l’énoncé où l’on peut trouver plusieurs indices pour aider.
Et il y a un indice flagrant qui saute immédiatement au visage.
Chouandecoeur
Bonjours à tous,
Pour ceux que l’énigme intéresserait encore, voici quelques informations à prendre en compte :
Indice n° 1 (le plus évident) : Le titre du poème et tous les vers ont une terminaison en ” i “,
Indice n° 2 : L’avant-dernier vers indique que l’énigme concerne le Nom de Dieu.
Indice n° 3 : L’équation non-numérique est le dernier vers.
Il faut donc traiter cette équation en considérant qu’étant non numérique, le signe ” = ” est ici remplacé par ” : “.
Les deux membres d’une équation sont toujours égaux.
Alors là, je vous ai tout donné…
A vous de trouver la clé pour ” prononcer ” l’égalité !
Et là, je vous ai soufflé pratiquement la réponse.
Chouandecoeur
YHWH, I E OU A , JE SUIS,
YHSWH, HieShouA, le nom de Jésus en araméen.
JESUS JE SUIS EST BIEN DIEU.
Mais si le S de Sagesse corrrespond au Shin hébreux, symbole et représentation de la chair comme vous dites, alors vous avez raison FX : YHSWH, JESUS JE SUIS, EST BIEN DIEU INCARNE !
Non, non UE vous n’y êtes pas du tout !
” il faut prendre le problème par le bon bout de la raison ” (Rouletabille).
Avec ce que j’ai donné précédemment comme indices, il faut comprendre la solution comme ce qui suit :
. Indice n° 1 : Toutes les rimes sont en ” i ” (même le titre).
Cela signifie que la solution porte sur la lettre et le son ” i “.
. Indice n° 2 : Le sujet de l’énigme est le Nom de Dieu.
Dans l’Ancien Testament, le Nom de Dieu est ” JE SUIS “, donné à Moïse au Buisson Ardent,
Dans le Nouveau Testament, le Nom de Dieu est ” JESUS “.
La finalité de la réflexion est donc de montrer l’égalité de ” JE SUIS ” et de ” JESUS ” (que Jésus EST Je Suis).
On voit alors immédiatement que la différence entre les deux noms est seulement la lettre ” i “.
Il faut énoncer cette égalité en une seule phrase… C’est le dernier vers, l’équation non numérique, l’indice n° 3 !
. La Solution : Résolution de l’équation non numérique :
JE SUIS SAGESSE : JESUS JE SUIS !
Les deux membres de l’équation sont égaux.
Si on change un des termes par un terme équivalent (de même signification), l’équation ne change pas.
La clé de l’énigme est SAGESSE qui se dit en grec ” SOPHIA “, qui donne ” SOPHIE ” en français.
On obtient donc :
JE SUIS SOPHIE : JESUS JE SUIS !
Or ” SOPHIE ” se prononce de la même manière en s’écrivant ” sauf i “, ce qui donne :
JE SUIS sauf i : JESUS JE SUIS !
On passe donc de JE SUIS à JESUS par SAGESSE.
Autrement dit, JE SUIS, JESUS et SAGESSE sont identiques.
CQFD !
En français seulement, mais ne dit-on pas que la langue du Paradis est le français ?
Curieux n’est-il pas ?
Chouandecoeur
Inutile. Je n’ai pas étudié l’Hébreu, ni l’Araméen.
Je dois humblement avouer de grandes lacunes en ce domaine.
Excusez-moi UE, mais je ne comprends pas votre dernier commentaire, car la solution ne fait appel ni à l’hébreu ni à l’araméen.
Chouandecoeur
Hou hou de la crypte !
Y a quelqu’un en bas ? Faudrait pas qu’ils soient tous morts enfumés par les cierges !
La partie 4 est partie en quenouille ?
Cher Catoneo,
Tout vient à point à qui sait attendre !
Soyez encore un peu patient, la partie 4 arrive, mais je ne fais pas qu’écrire ni m’occuper du blog à chaque instant.
De plus (mais je vous dit tout), lorsque j’écris, j’applique ce que l’on m’a appris dès mon plus jeune âge, à savoir me glisser dans la peau de mon futur lecteur pour expérimenter moi-même ce qu’il va recevoir de mon texte et comment il va le comprendre… Cela impose de vous exprimer avec attention et précision des termes et nécessite du temps…
Et je crois que c’est particulièrement crucial pour ces sujets qui nous occupent actuellement.
Bien à vous,
Chouandecoeur
Donc, si j’ai bien compris, rien avant le 30 septembre… au moins.