LE THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR ou le Christ régnant sur la France ( Livraison V )

     je dois ce texte « annonciateur »- dont ce blog poursuivra la publication en plusieurs livraisons- à Alain Guillon , Secrétaire Général adjoint de la Charte de Fontevrault .

Déjà mis en ligne :

(I) https://wordpress.com/post/chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/39233

(II) https://wordpress.com/post/chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/39276

III. https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2021/03/31/le-theoglyphe-annonciateur-ou-le-christ-regnant-sur-la-france-livraison-iii/

IV. https://wordpress.com/post/chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/39474

 Retrouvez l’intégralité de l’article grâce au lien suivant.

https://docplayer.fr/44342592-Le-theoglyphe-un-dessin-a-dessein-description-et-decryptage.html

Et encore :

http://9efeae529e3b1b0d59fecf6a34bd55bd.wizart.co.il/by-michel-christian-soulier-le-christ-sur-la-france-geometrie-sacree.pdf

LE THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR

Concernant la scène de la Crucifixion du Christ les Évangiles nous apprennent qu’au pied de sa Croix étaient présentes Marie sa mère ainsi que Marie-Madeleine. Sur le sol de la France deux sites incarnent ces femmes à la perfection, l’un est lié à la grotte de Lourdes pour Marie et l’autre est lié à la grotte de la Sainte-Baume pour Marie-Madeleine. Ces deux sites sont disposés miraculeusement comme ils se doivent, au pied et de chaque côté de la Croix tracée, ils sont de surcroît, sur les cartes géographiques, à distances égales du Sacré-Cœur de Jésus sis au sommet de la butte Montmartre à Paris. Le dessin de la Crucifixion est présent sur le sol de la France et il est parfaitement conforme aux Écritures évangéliques :

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Il est à constater, et cela a une importance pour ceux qui souhaiteront ultérieurement approfondir le tracé, ceci: le site de la grotte de Lourdes incarnant Marie, tout en étant à la même distance du Sacré- Cœur de Jésus à Paris que le site de la grotte de la Sainte-Baume incarnant Marie-Madeleine, est plus proche de l’extrémité basse de la Croix, de là où le Sang atteint en fin de chute la coupe d’Arimathie.

Cette miraculeuse égalité prouve indéniablement que les distances ont une importance significative dans cet extraordinaire tracé de la scène de la Crucifixion présente sur le sol de France dessinée par Jésus-Christ en personne. « Afin que tout soit fait par moi. » J.C à M-M Alcoque.

Quatre sur cinq des sites directement liés aux éléments de la représentation miraculeuse montrée à Marguerite-Marie Alacoque transposés sur le sol de France, pays dont le Christ a affirmé vouloir se servir, remontent au Moyen-âge. Pour rappel ces sites sont ceux de la cathédrale d’Amiens, de la Sainte-Chapelle de Paris, de l’église de Tournemire et du village de Montsalvy, village où serait le Saint Graal, selon diverses sources, dont celle d’un des académiciens français, Monsieur Pierre Benoit, lire son roman Montsalvat.

N’omettons pas que le Moyen-âge était une époque où les boussoles et la notion indispensable de déviation magnétique liée à leurs usages, ainsi

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qu’une cartographie triangulée donc suffisamment précise, n’existaient pas.

L’alignement nord-sud des sites remarquables liés à la Crucifixion du Fils du Créateur de l’Univers, nécéssaire à l’apparition du dessin de sa Croix sur le pays, ne peut relever d’une réalisation humaine. Ce tracé émane d’une intervention divine, cette réalisation est manifeste et indélébile.

Concernant l’éventualité d’une coïncidence fortuite, la probabilité mathématique est d’une possibilité sur plusieurs dizaines de milliards. Cette disposition topographique extraordinaire est donc assurément une réalisation de Dieu et de son Fils unique : Jésus-Christ.

UNE CHRONOLOGIE CONFIRMÉE

La Croix du Fils unique du Créateur de l’Univers dessinée sur le sol de la France est une croix dite : Latine.

Ce type de croix d’extermination humaine à des proportions géométriques parfaitement définies. Les croix latines ont la particularité d’être inscrites dans deux cercles égaux superposés. Le cercle supérieur, inscrit une croix Grecque, définissant la partie haute du montant ainsi que sa traverse perpendiculaire. Quant au cercle inférieur il inscrit uniquement a partie basse du montant.

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Le cercle lorsque son appartenance est définie est un symbole d’union (bague) ainsi que de protection (couronne). Un cercle est défini par son centre dont il est issu. Dans le cas de la Croix apparue sur le sol de la France seul le cercle supérieur est défini, son centre est le Cœur sacré de Jésus-Christ. Le cercle supérieur symbolise donc à la perfection son union avec les habitants du pays dont il veut se servir. Hors les limites parfaitement définies par ce cercle supérieur cette union divine et la protection qui en découle sont rompues.

1793, est l’an 1 des révolutionnaires, celui de l’avènement au pouvoir des ennemis du Christ et de la fille aînée de l’Église qu’est la France, 1793 marque la fin de l’alliance et la fin de sa protectiondivine sur l’échelle dont l’origine est datée 1673.

LE THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR

HORS DES LIMITES DU CERCLE SUPÉRIEUR L’UNION AVEC DIEU ET SON FILS UNIQUE FUT EFFECTIVEMENT ROMPUE.

La partie inférieure du montant de la Croix du Christ, présente sur le sol de France, est graduée par différents sites remarquables qui déterminent la date de l’année de son retour en gloire : 2033. Surcette partie inférieure le cercle supérieur prend fin

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au premier tiers de sa longueur. Connaissant la durée relative à cette partie inférieure, qui est de 1673 ôté de 2033 = 360 ans, nous pouvons affirmer qu’un tiers de cette durée vaut 360 : 3 = 120 ans. Ce qui détermine comme fin de l’union divine avec les français, l’année 1673 + 120 = 1793.

1793 est l’année où furent décapités le roi et la royauté, 1793 est l’année où fut institutionnalisé la déchristianisation de la France. L’année où fut en public brisée, devant le parvis de la cathédrale de Reims, l’ampoule contenant l’indispensable huile nécéssaire aux sacres royaux. L’année où l’alliance de la France avec Dieu et son Fils, remontant à Clovis, suite à de très fallacieuses circonstances paupérisantes orchestrées par de vils et puissants suppôts de Satan (affaire des farines entre autres) fourvoyant tout un Peuple volontairement affamé, devenu ivre de rage, fut unilatéralement rompue.

1793 : cathédrale d’Amiens, année où elle fut vandalisée par les révolutionnaires. Année où fut dérobée par des individus iconoclastes la relique du crâne de Jean-Baptiste, relique qui fut restituée bien des années plus tard. Source : histoire de la Révolution française en la ville d’Amiens.

1793 : Abbaye royale de Montmartre, elle était située en lieu et place du Sacré-Cœur de Paris, bien avant qu’il ne soit édifié. Année où elle fut pillée, souillée et délabrée par les révolutionnaires.

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Année précédant celle de la vente de ses ruines calcinées en vue de la faire disparaître du sommet de la butte. Source : histoire de Montmartre sous la révolution française.

1793 : Sainte-Chapelle de Paris. Année où elle fut totalement pillée par les révolutionnaires, ils fondirent l’or de ses nombreux trésors et vendirent leurs pierres précieuses, année où fut dérobée la Couronne d’épines restituée bien des années plus tard. Source : histoire de la Sainte-Chapelle.

1793 : Tournemire, année où les représentants des autorités révolutionnaires vinrent en ce village afin d’y saisir l’Épine de la Couronne du Christ. Ils ne purent parvenir à leur fin, miraculeusement elle se refusa à eux et les habitants voyant le prodige s’opposèrent et les chassèrent. Cette histoire est décrite sur l’un des murs de l’ancestrale église, elle est également narrée dans des écrits concernant la Révolution française en ce village du Cantal.

1793 : Montsalvy, année où les hautes autorités révolutionnaires, le 20 décembre très précisément, venues de la proche cité d’Aurillac vinrent saisir tout particulièrement : calices, coupes et vases sacrés de l’église, comme s’ils cherchaient en ce lieu précis le Saint Graal. Source : Montsalvy sous la Révolution française.

Le Sang du Fils du Créateur de l’Univers issu de son Cœur est en chute. La dernière de ses gouttes

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est sortie du cercle de protection divine au cours de l’année 1793. Cette ultime goutte poursuit en ce moment son inexorable chute, elle se trouve en partie inférieure et finale du montant de la Croix virtuelle présente sur le sol du pays, elle est sur le point d’atteindre son extrémité basse. Là où l’attend le Saint-Graal, mystique, virtuel, donc insaisissable, même par les très puissants ennemis de Jésus- Christ, eux qui disparaîtront définitivement en 2033.

« Je veux me servir de la France pour réparer les amertumes et les outrages qui me sont prodigués. » J.C à Paray-le-Monial.

 

 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

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