L’Enfant secret de Dieu

      47 commentaires sur L’Enfant secret de Dieu

Politique & mystique – Article de Monsieur Hervé VOLTO :


Promis par N.D. À Fatima, mais secret jamais révélé par le Vatican :
l’Enfant secret de Dieu. C’est un secret d’Amour : sans Amour, il n’y a pas de futur possible. Le don d’Amour promis pour sauver l’humanité : l’Enfant secret de Dieu.

Choisi et décidé par Dieu, le Grand Monarque est un personnage prophétique issu de croyances populaires eschatologiques basées principalement sur des révélations privées Catholiques et sur des prophéties plus précoces comme celle de Saint-Rémy. Bien qu’il ne soit pas reconnu dans l’eschatologie  Chrétienne, l’Église Catholique ne s’est jamais opposée à la publication d’ouvrages vulgarisant l’espérance dans le Grand Monarque. Certains ecclésiastiques l’ont même encouragé.

Le Grand Monarque serait un héritier des Rois de France qui se manifesterait au cours de la période apocalyptique de la fin des temps pour ramener la paix dans un monde déchiré par la guerre et restaurer l’Église Catholique persécutée et réduite presque à néant, ce en rétablissant une Monarchie Catholique dans une France redevenant par elle Fille Aînée de l’Église et Éducatrice des Peuples et réunissant la Chrétienté autour d’elle avant de l’étendre au monde entier.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Monarque

L’ensemble de ces croyances a été compilé par le Marquis de La Franquerie dans son livre Le Grand Monarque et le Saint Pontife selon les prophéties (Editions de Chiré).

Mais il y a du nouveau…

Au cœur de l’Italie, en un temps critique, où l’humanité avait décidément exproprié Dieu de sa propre vie, naissait un enfant destiné à porter l’Amour à de nombreux peuple, nations et Rois. Né le 20 avril 1926, alors que sonnaient les cloches pour le 700° anniversaire de la mort de Saint François d’Assise, Luigi Gaspari grandit, ignorant qu’il serait appelé à accomplir une mission Divine universelle promise à Dieu au chapitre 10 de l’Apocalypse de Saint Jean : cette âme pure devait porter l’ultime message du Sacré-Coeur à l’humanité de ces temps, le Cahier de l’Amour, Testament et Promesses de Graces.

Le Docteur Luigi Gaspari di Pallavicino (1926-1995) vint au monde dans la province de Modène. Il grandit dans une famille nombreuse et étudia la pharmacologie. Il fut envoyé sur Terre pour donner l’ultime don de salut pour l’humanité déchristianisée, privée de l’Amour de Dieu car tombé dans un gouffre athéo-matérialiste-marxiste. Bref, à l’âge de 14 ans, sa mère le porta auprès de Saint Padre Pio, qui voulut qu’il revint souvent auprès de lui durant encore 14 ans. Il lui dit que cet enfant serait spécial car le Sacré-Coeur voulait à travers lui révéler Son Amour au monde. Luigi devint comme un assistant du Saint Prélat.


Et après que Luigi Gaspari ai fait des études pour devenir pharmacien, à l’age de 28 ans, il commença à travailler, à aider et soulager son prochain. Il devient comme une confidant et assistant du Saint Padre Pio. Celui-ci envoya Luigi Gaspari, devenu médecin pharmacien, à Rome auprès de son cousin le Cardinal Gaspari, pour qu’il remette un message au pape Jean XXIII : ne pas dialoguer avec les communistes. Le pape ne croyant pas au message, n’en voulu rien savoir. La mission échoua et le communisme commença à lancer ses réseaux d’influence au sein des milieux ecclésiastiques. Vatican II fut la revanche du Sillon, déjà infiltré.

Puis Luigi Gaspari devint le Fils Spirituel de Saint Padre Pio. Il commença à fréquenter la haute société Romaine. Il fut reçut par de nombreux membre de la Noblesse Romaine et put compter sur l’amitié du Prince François-Xavier de Bourbon-Parme, alors Lieutenant Français de l’Ordre des Chevaliers du saint Sépulcre et camérier Secret du Pape Pie XII, qui l’invita au mariage de son fils, le Prince Charles Hugues, avec la Princesse Irène des Pays-Bas.

En 1957, Luigi Gaspari perdit sa mère. Saint Padre Pio l’envoya en mission à Naples avec deux collègues pharmaciens. Là, dans la chambre d’hôtel, il eu un songe où la Madonne del Carmine (prononcer Carminé), Reine du Royaume de Naples et Sainte patronne de la Maison Royale des Deux-Siciles, lui déclara qu’Elle serait sa nouvelle mère.

Puis début 1968, Saint Padre Pio révéla à Luigi Gaspari sa mission : écrire le Testament Promesse de Grace du Sacré-Coeur. Pour son 42° anniversaire, le 8 avril 1968, pour Mardi Saint, Luigi Gaspari vit le Sacré-Coeur lui apparaître et lui dicter un long message, qui prit toute la semaine Sainte et fut consigné dans un cahier d’écolier : naquit le Cahier de l’Amour, promis à l’humanité de ces derniers temps.

Le Cœur Adorable et Miséricordieux de Dieu est fatigué de Se cacher, il veut sortir de Sa cachette et nous dire qu’Il nous aime tous, qu’Il est mort sur La Croix pour nous sauver. Sa parole promise résonne à nouveau, pour rassembler Son troupeau sous un seul pasteur parce que Dieu n’est pas une religion. Dieu est Amour. Une rencontre providentielle eu lieue entre Luigi Gaspari et Mgr Marcel Sorel, un prélat de Sainte-Foix La Grande. Mgr Marcel Sorel aurait parlé au Dr Gaspari d’un importantissime testament caché au Vatican : le Testament de la Duchesse d’Angoulême. Luigi lui révéla que, selon Padre Pio, le 3ème Secret de Fatima concernait le fait que, sans le soutien du pouvoir Royal de David, l’Église tombe en décadence sous le pouvoir de l’esprit du serpent qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l’Église (Comment ne pas faire un parallèle avec le Message de la Salette disant que les fumées de Satan sont entrées au Vatican et que le clergé moderniste perdrait la Foi ?).

“Le pouvoir Royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits-serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l’empêchant de s’élever vers le Dieu du Ciel et e pape. C’est aujourd’hui le mal de l’Europe sous les régimes des républiques. Dans le monde manque le pouvoir Royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir Royal seulement, celui que Dieu donna au Roi Saint Louis et à sa descendance, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir Royal de France, reconnu et mis à sa juste place sur le Trône de France, la religion Chrétienne n’a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu”… et le pape se retrouve seul, à cheminer dans une cité en ruine, jonchée de cadavres, entraînant de nombreux fidèles derrière lui, ce avant d’entamer un long chemin de croix qui le portera à un calvaire où les ennemis de Dieu tenteront de l’abattre et le laisseront pour mort.

Jésus aurait dit à Luigi Gaspari que le Cahier de l’Amour était le petit cahier que l’Ange du Chapitre 10 de l’Apocalypse tenait dans sa main :

-Et j’ai vu un autre ange, plein de force, descendre du ciel, ayant une nuée pour manteau, et sur la tête un halo de lumière ; son visage était comme le soleil, et ses jambes comme des colonnes de feu. Il tenait à la main un petit livre ouvert. Il posa le pied droit sur la mer, et le gauche sur la terre ; il cria d’une voix forte, comme un lion qui rugit. Et quand il cria, les sept tonnerres parlèrent, faisant résonner leur voix. Et quand les sept tonnerres eurent parlé, j’allais me mettre à écrire ; mais j’entendis une voix venant du ciel qui disait : « Ce que viennent de dire les sept tonnerres, garde-le scellé, ne l’écris pas ! ».

Et l’ange que j’avais vu debout sur la mer et sur la terre leva la main droite vers le ciel ; il fit un serment par celui qui est vivant pour les siècles des siècles, celui qui a créé le ciel et tout ce qu’il contient, la terre et tout ce qu’elle contient, la mer et tout ce qu’elle contient. Il déclara : « Du temps, il n’y en aura plus ! Dans les jours où retentira la voix du septième ange, quand il sonnera de la trompette, alors se trouvera accompli le mystère de Dieu, selon la bonne nouvelle qu’il a annoncée à ses serviteurs les prophètes ».

Et la voix que j’avais entendue, venant du ciel, me parla de nouveau et me dit : « Va prendre le livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre ». Je m’avançai vers l’ange pour lui demander de me donner le petit livre. Il me dit : « Prends, et dévore-le ; il remplira tes entrailles d’amertume, mais dans ta bouche il sera doux comme le miel ». Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je le dévorai. Dans ma bouche il était doux comme le miel, mais, quand je l’eus mangé, il remplit mes entrailles d’amertume. Alors on me dit : « Il te faut de nouveau prophétiser sur un grand nombre de peuples, de nations, de langues et de Rois » (Apocalypse 10:1-11, c’est nous qui soulignons).

Le Cahier de l’Amour n’est pas qu’un petit livre. C’est un message d’Amour et d’amitié. C’est l’Arc en Ciel promis à Noé, le signe que Dieu n’abandonne jamais Sa Création. Et Luigi Gaspari, chez qui j’ai rencontré Antonella et qui sera notre témoin de mariage en 1993, m’appela à traduire certaines de ses conférences en Français.

Ce n’était pas un homme ordinaire : ce fut l’intermédiaire choisi par Dieu pour délivrer le message du Sacré-Coeur qui peut sauver l’entière humanité. Un message pour tous. Un message pour ces temps obscurs. Une message qui nous rappelle que Dieu ne nous a pas oublié (mais que c’est l’homme qui a oublié Dieu). Le message est pour nous. Le message est arrivé. Il concerne l’Amour entre les hommes.

 

Pour le Docteur Luigi Gaspari de Bologne, le Roi est l’expression de l’Amour de Dieu, c’est un langage d’Amour que nous avons perdu et que nous devons retrouver :

Cette clef (de l‘Amour), c’est mon Cœur qui devient votre chaque fois que vous me demandez d’ouvrir la porte fermée d’un cœur. Moi, j’entrerai avec vous, parce que si j’entrais seul, je ne créerais pas de lien entre vous. Au contraire, je veux vous lier tous entre vous par moi, à travers moi. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi l’un d’entre vous, auquel je me suis donné et me donne encore, pour entrer dans le cœur de tout le monde. Le choix fut fait par moi sur le bois de la Croix durant mon agonie. Ce fut alors que le Père m’accorda de choisir parmi vous les plus aptes à s’exprimer pour me faire connaître et faire connaître tout ce que j’ai obtenu du Père en votre faveur et tout ce que vous pouvez encore obtenir par mon intermédiaire. Votre espoir d’un retour à la paix, à la cohabitation heureuse et harmonieuse entre vous, est entièrement fondé sur ce choix que je fis alors (Cahier de l’Amour au Chapitre de Rome).

D’où le nom de l’homme Royal choisi par Dieu: Henri de La Croix, Roi du Sacré-Coeur. INRI annonce HENRI !

Selon le Cahier de l’Amour, dans l’attente du Roi, la mission des Royaliste est claire :

“Votre fidélité envers moi, qui vous a tout donné en même temps que la Vie, consiste à reconnaître que je suis votre tout, que je suis votre vrai Dieu. La fidélité qui s’exprime par votre reconnaissance à mon égard vous unit dans un tout qui est paix, bonheur et harmonie. L’infidélité, c’est ériger en dieu chacun de vous, chacune de vos passions, chacun de vos mensonges. Celui qui veut élever un être humain au rang de Dieu engendre la division entre les hommes (peste marxiste, choléra hitlériste et rage islamiste), les luttes, les guerres, le malheur et la mort. Il n’y a qu’une seule justice: c’est l’Amour pour la vérité de Dieu en tous. Je vous ai appelé pour que vous portiez mon Cœur dans le monde, pour que vous fassiez savoir à tous qu’il n’existe qu’une seule vérité et une seule justice : c’est l’Amour pour mon Cœur Divin” (Cahier de l’Amour, Chapitre de San Giovanni Rotondo, 16 Avril 1968).

Parce que nous croyons avec le Dr Luigi Gaspari de Bologne que le Roi est l’expression de l’Amour de Dieu, nous savons que Dieu donnera au Lieutenant qu’Il aura choisi la victoire sur les ennemis de la France et de l’Église, comme le caractère et la qualité d’une formation politique nécessaire à la construction de la civilisation de l’Amour.

“En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé” (Jean 13:20).

C’est ce que firent les gallo-romains avec Clovis, après que ce dernier ai accepté le Baptême suite au Pacte de Tolbiac. C’est ce que nous sommes appelés à faire de nouveau avec HENRI, Henrich, Chiren, Cyrénéen, le Lys qui aide à porter le poids DE LA CROIX, Prétendant caché, Roi Blanc, Roi du Sacré-Coeur, tenu en réserve dans l’attente de la régénération de la France et de la Chrétienté : l’Enfant secret de Dieu.

A noter que dans la Maison Royale d’Espagne, on désigne encore aujourd’hui les Prince sous le Prédicat d’Infant d’Espagne

Nous, Royalistes, nous devons à présent constituer, selon les enseignements du Cahier de l’Amour du Dr Gaspari, une Sainte Armée d’Amour : l’Amour doit entrer dans nos cœurs et faire de nous de vrais ChevaliersFils d’Amour. Cette Sainte Chevalerie dévouée doit travailler au retour du Roi, nouveau Saint-Jean, sur le Trône de France, par tous les moyens, même légaux : politiques, historico-mondains, spirituels, où parfois les 3 à la fois. Agissant comme si tout dépendait de nous tout en priant comme si tout dépendait de Dieu, toujours sous le signe du CŒUR DE L’AMOUR surmonté de la CROIX DU SACRIFICE, espoir et salut de la France.

Une dernière chose : il est possible de lire le Cahier de l’Amour en ligne :
http://www.fichier-pdf.fr/2016/10/08/cahiersdelamour-dicte-par-jesus-au-fils-spirituelstpio-1/

Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie

47 thoughts on “L’Enfant secret de Dieu

  1. ue

    Très interessant :

    1. INRI annonce HENRI :

    –Cette clef (de l‘Amour), c’est mon Cœur qui devient votre chaque fois que vous me demandez d’ouvrir la porte fermée d’un cœur. Moi, j’entrerai avec vous, parce que si j’entrais seul, je ne créerais pas de lien entre vous. Au contraire, je veux vous lier tous entre vous par moi, à travers moi. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi l’un d’entre vous, auquel je me suis donné et me donne encore, pour entrer dans le cœur de tout le monde. Le choix fut fait par moi sur le bois de la Croix durant mon agonie. Ce fut alors que le Père m’accorda de choisir parmi vous les plus aptes à s’exprimer pour me faire connaître et faire connaître tout ce que j’ai obtenu du Père en votre faveur et tout ce que vous pouvez encore obtenir par mon intermédiaire. Votre espoir d’un retour à la paix, à la cohabitation heureuse et harmonieuse entre vous, est entièrement fondé sur ce choix que je fis alors (Cahier de l’Amour au Chapitre de Rome).

    D’où le nom de l’homme Royal choisi par Dieu: Henri de La Croix…

    2. Selon le Cahier de l’Amour, dans l’attente du Roi, la mission des Royaliste est claire :

    “Votre fidélité envers moi, qui vous a tout donné en même temps que la Vie, consiste à reconnaître que je suis votre tout, que je suis votre vrai Dieu. La fidélité qui s’exprime par votre reconnaissance à mon égard vous unit dans un tout qui est paix, bonheur et harmonie. L’infidélité, c’est ériger en dieu chacun de vous, chacune de vos passions, chacun de vos mensonges. Celui qui veut élever un être humain au rang de Dieu engendre la division entre les hommes (peste marxiste, choléra hitlériste et rage islamiste), les luttes, les guerres, le malheur et la mort. Il n’y a qu’une seule justice: c’est l’Amour pour la vérité de Dieu en tous. Je vous ai appelé pour que vous portiez mon Cœur dans le monde, pour que vous fassiez savoir à tous qu’il n’existe qu’une seule vérité et une seule justice : c’est l’Amour pour mon Cœur Divin” (Cahier de l’Amour, Chapitre de San Giovanni Rotondo, 16 Avril 1968).

    En conclusion :

    Nous, Royalistes, nous devons à présent constituer, selon les enseignements du Cahier de l’Amour du Dr Gaspari, une Sainte Armée d’Amour : l’Amour doit entrer dans nos cœurs et faire de nous de vrais Chevaliers, Fils d’Amour. Cette Sainte Chevalerie dévouée doit travailler au retour du Roi, nouveau Saint-Jean, sur le Trône de France, par tous les moyens, même légaux : politiques, historico-mondains, spirituels, où… parfois les 3 à la fois !

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  2. jgdw

    Il est né le divin enfant mais aucun roi mage pour savoir où et s’il existe. C’est tout le problème…

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  3. ue

    L’œuvre du Christ-Roi ne peut-être faite que par le Roi Très Chrétien -qui pourrait descendre de Louis XVII, ce qui est encore à prouver- que le Sacré-Coeur fera régner sur la France (Mme Royer, après le refus de Napoléon III de consacrer la France au Cœur Adorable de Jésus) pour être le bras temporel de l’Eglise et rechristianiser la France. Peut-on rapprocher sa mission avec celle annoncée par soeur Olive ?

    Sœur Olive, messagère du Christ-Roi

    -consacrer la Fance au sacré-Coeur.
    -reconstruire la basilique du Christ-Roi, Prince de la Paix et Maître des Nations.
    -prier pour l’Action Française, qui a entre autre placé le Sacré-Coeur sur son drapeau. Et par extension, dans l’attente du Roi choisi sur le bois de la Croix, peut-être conduire conduire une action politique dans l’esprit de l’AF MAIS CATHOLIQUE, qu’on pourrait résumer par le tryptique du Bienheureux Marcel Calo : DIEU, FAMILLE, PATRIE !

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  4. Kardaillac

    Un secret de Fatima, celé par le Saint Siège mais révélé par Jésus Himself au pharmacien Gaspari…
    Faut arrêter l’eau ferrugineuse et passer à une boisson d’homme ! A moins que vous n’ayez reçu mission de couler ce site.

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  5. jgdw

    Admettons votre hypothèse pour le nom d’Henri de la Croix, c’en est une parmi d’autres, il en est d’autres possibles. Et après ? Faut-il croire comme vous qu’il sera de naissance légale, issu de mariage légal, c’est-à-dire strictement catholique au sens où vous l’entendez ? Ce n’est pas ce à quoi nous a préparé Nostradamus :
    Centurie IX-84
    Roy exposé parfera l’hécatombe,
    Apres avoir trouvé son origine :
    Torrent ouvrir de marbre & plomb la tombe,
    D’un grand Romain d’enseigne Médusine.
    Croyez-vous qu’un roi de naissance légale, pleinement catholique comme vous le voulez, aurait besoin de trouver son origine; on lui aurait dit. Il serait arrivé à cette conclusion par ses propres recherches historiques.
    Les juifs contemporains du Christ se sont trompés à propos de ce qu’il apportait. Ne peut-il pas en être de même pour l'”enfant secret de Dieu” que vous attendez ? Ne faites-vous pas de l’amour et de la grâce de Dieu des dons très, trop étriqués ? L’ennui de vos propos, c’est qu’ils ferment les lecteurs du blog à d’autres éventualités. Non! non plus, à la lecture de Nostradamus, il y a toutes les chances pour que le Grand Monarque n’ait pas d’enfants, ne fonde pas de dynastie, soit le dernier de sa race comme l’annoncent d’autres prophéties. Alors pourquoi est-il prédestiné à être si important ? Encore une fois, ils risque d’être très déroutant. Serez-vous parmi les premiers à le rejeter comme certains juifs trop conformes à la loi l’ont fait avec le Christ ?
    Je suggère le whisky ou le Bourbon …

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    1. Kardaillac

      J’avais pensé plutôt à la gnôle des Tontons, du brutal qu’il avait fallu retirer du marché depuis que certains clients avaient eu des problèmes de vue.

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  6. ue

    LE ROI EST MORT, VIVE LE ROI !

    Si le Roi n’ a pas d’enfant mâle, c’est son frère Légitime -Salique, de Naissance légale dans la foi Catholique- puis son neveux Légitime qui succède. s’il n’y a pas de frère Légitime, on va chercher un cousin puis un petit-cousin. Peut-être existe-t-il une descendance LEGITIME de Louis XVII arrivée jusqu’à nous. Peut-être que les Bourbon-Siciles et les Bourbon-Parme dscendent-ils de Louis XVII par les femmes.

    S’il n’y plus de descendant Salique de Louis XVII de nos jours, Il reste tout de même de nombreux Bourbons Légitimes aujourd’hui : l’un d’eux pourrait être le Roi à venir.

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    1. jgdw

      Ne rêvez pas ! Même selon les lois fondamentales du royaume, il n’y aura aucun roi ou Bourbon ou autre pour être roi en France. Les Français n’en voudront pas.

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      1. jgdw

        Il faut bien faire enrager ue. Le problème n’est pas tant celui d’une descendance ou d’une parenté que d’être en accord avec une nécessité morale et politique pour le peuple français et cela appartient seulement à Dieu dans son infinie sagesse.

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  7. ConseildanslEspéranceduRoi

    ” Aïe, aïe, aïe ! C’est reparti…” disais-je. Ça se précise. Et la question de Kardaillac est bigrement pertinente : UE (belle analogie), ” a-t-il reçu mission de couler ce site ” ? Et de qui ? Il faudrait sérieusement y réfléchir avant qu’il soit trop tard.
    Petit aveu à l’intention de jgdw : je préfère sans conteste le whisky ! Le vrai, y compris Français.

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  8. ue

    Selon les lois fondamentales du royaume, il n’y aura aucun roi ou Bourbon ou autre pour être roi en France. Pas tout à fait juste : il y a a les Bourbon-Parme, qui sont Français.

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  9. ue

    En fait, toutes les hypothèses restent ouvertes : si pour les Royalistes Providentialistes, il n’est d’autre chemin que de s’en remettre à la providence divine, en l’occurrence à Jésus par Marie par la prière et par l’action, pour le choix du Roi, qu’il descendent de Louis XVII ou d’un membre Légitime de la Maison Royale de Bourbon, il n’en reste pas moins que pour nos esprits humains faibles et corruptibles, une incarnation est souvent souhaitable. Conscient de cette nécessité, d’ailleurs plus biologique que véritablement politique, les Royalistes Régentistes proposent de reconnaître le Prince Louis-alphonse de Bourbon, Duc d’Anjou (et sa descendance) -et pas sous la titulature de Louis XX, il y a là plus qu’une nuance- en tant qu’AINE VISIBLE des Bourbons. Cette régence en l’attente de la survenance de l’AINE SALIQUE, le prince Henri de La Croix, Duc et Prince de Bretagne, ENFANT SECRTE DE DIEU, Fils aîné de Son sacré-Coeur, dont seul Dieu sait si, et quand, elle se produira doit être bien comprise. Elle doit d’abord être distinguée des périodes de Régence telles que l’Ancien régime en a connu quelques unes.

    Peut-être pourrions nous relancer cette action politique dans l’esprit de l’AF MAIS CATHOLIQUE, évoquée plus haut, résumée par le tryptique du Bienheureux Marcel Calo : DIEU, FAMILLE, PATRIE !

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  10. ue

    On lit dans l’article plus haut que ce n’est pas Jésus “himself” qui aurait révélé le III° Secret de Fatima au dr Gaspari mais Saint padre Pio. Jesus a simplement révélé que le choix du Roi à venir aurait été fait sur le bois de la Croix durant son agonie : où INRI annonce HENRI.

    Personne ne veut couler la Charte de Fontevrault.

    En fait les status de la Charte sont parfaitement préservé : toutes les hypothèses restent ouvertes, celle d’une descendance LEGITIME de Louis XVII, encore à démontrer, ou celle d’un Bourbon Siciles ou un Bourbon-Parme, ENFANT SECRET DE DIEU, Fils Aîné de Son Sacré-Coeur.

    On en revient au Royalisme Régentiste évoqué plus haut…

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    1. ConseildanslEspéranceduRoi

      Personne n’a jamais écrit ici que l’on voulait “couler la Charte de Fontevrault” MAIS SON SITE. Et, ce, par le genre de délires qui s’étalent sous telle ou telle plume et ne sont qu’autant d’épouvantails pour ses lecteurs. Avez-vous remarqué la disparition alarmante des commentaires de nombre d’entre eux ? Demandez-vous pourquoi et sachez qu’ils ne sont pas tous morts !

      Reply
  11. ue

    La providence permit qu’il soit montré au Marquis de la Franquerie, le 18 décembre 1978, plusieurs lettres adressées par Luigi Gaspari à un pieux religieux de ses amis, Mgr Marcel Sorel, dont la mère était une Roche, ce qui fait du Prélat un cousin de Xavier de Roche, spécialiste de l’Enfant du Temple- lettres exprimant la pensée de Padre Pio sur la royauté française et publiées dans les Ascendances Davidiques des Rois de France :

    Lettre du 6 novembre 1972
    « Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélerait à l’heure établie (c’est-à-dire : à l’heure de Dieu)… Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n’a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd’hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d’État et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd’hui dans le cœur de peu d’hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables… »

    Lettre du 20 novembre 1972
    « L’amour du cœur de la France royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David, ressort ressuscité en ses héritiers… Le pouvoir de royauté de David doit réveiller dans les cœurs des Français l’amour de la Royauté de Dieu qui a en France son berceau. La vraie grandeur de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette (Allusion au fait que François de Lorraine, père de Marie-Antoinette, descendait des Ducs de Lorraine, issus d’une branche batarde des Carolingiens de Toscane, issus quand à eux de Lothaire, petit-fils de Charlemagne).
    La France fut pardonnée par le grand cœur du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts victimes pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique).
    Le pardon du Roi Louis XVI (depuis la prison du Temple) a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est Amour et Humilité, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l’amour divin…
    Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, … pouvoir divin et humain du Grand Monarque du Sang Royal de France. »

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  12. ue

    J’ai un problême avec mon clavier. Veuillez me pardonner.

    Je disai que le manque de commentaires signale peut-être un désintéret pour des tribunes qui éloignent le Royalisme du providentialisme. Or, nous sommes ici sur un site qui s’appelle CHARTE DE FONTEVRAULT PROVIDENTIALISME. En clair, les Providentialistes fichent le camps si on fige trops nos discourt dans un Légitimiste rigide ou dans un intellectualisme également trops Orléaniste.

    Il faut laisser toutes les hypothèses ouvertes :

    1. celle d’une descendance LEGITIME de Louis XVII, encore à démontrer,

    2. celle d’un Bourbon Siciles ou un Bourbon-Parme, ENFANT SECRET DE DIEU, Fils Aîné de Son Sacré-Coeur.

    3. la présence Orléaniste est certaine.

    On en revient encore au Royalisme Régentiste évoqué plus haut, où le Duc d’Anjou a toute sa place…

    Dans l’attente, rien n’empècherait donc de lancer cette action politique dans l’esprit de l’AF MAIS CATHOLIQUE, résumée par le tryptique du Bienheureux Marcel Calo : DIEU, FAMILLE, PATRIE !

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  13. Dubitatif

    Ce n’est pas faute d’avoir déjà posé la question ici, mais je n’ai toujours pas compris pourquoi ce bon duc d’Anjou passe systématiquement à la trappe. Je n’ai jamais eu de réponse claire et argumentée.
    Quant au régentisme, c’est un non-sens politique total : imaginez-vous sérieusement Louis de Bourbon, ayant par miracle récupéré son trône, dire benoîtement à se sujets : “ben non les gars, en fait, le vrai Roi, ce n’est pas moi. Il ne devrait pas tarder à arriver, enfin, je ne sais pas trop quand… Mais bon, pas de panique, il va nous sortir son arbre généalogique, et vous serez tous convaincus !”
    Ca ira, la république n’a pas trop de cheveux à se faire…

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    1. Avatar photoChouandecoeur Post author

      A Dubitatif,

      Vous posez la question :
      « Ce n’est pas faute d’avoir déjà posé la question ici, mais je n’ai toujours pas compris pourquoi ce bon duc d’Anjou passe systématiquement à la trappe. Je n’ai jamais eu de réponse claire et argumentée. »

      Je ne crois pas que le duc d’Anjou passe systématiquement à la trappe, mais il est considéré ici et pour le moment à sa place de… duc d’Anjou !

      Il est sûrement Bourbon par les femmes (son ancêtre Isabelle II), mais c’est beaucoup moins sûr par les hommes, son ancêtre François de Paul ayant été déclaré non-dynaste par les Cortès de Cadix en 1812, décret confirmé par le roi Ferdinand VII, son « frère aîné ».

      Ce n’est pas un problème pour la couronne espagnole, la loi salique ayant été abolie, mais pour la couronne de France… il y a un doute et un empêchement sérieux !… Et il n’y a pas eu l’équivalent d’une Jeanne la Pucelle pour contredire ce fait.

      Alors, une analyse ADN du noyau sera au moins nécessaire.

      Remarque : Cette dernière affirmation est valable pour tout « prétendant » qui se présentera.

      Chouandecoeur

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      1. Dubitatif

        Vous considérez donc comme valable une accusation de bâtardise enregistrée par des Cortes aux ordres des Napoléonides en 1812, prétexte commode pour exclure de la succession d’Espagne au profit de Joseph Bonaparte un otage alors aux mains des Français… une accusation jamais confirmée ni enregistrée par une autorité compétente française par la suite (quelle arme, pourtant !)… et pour finir annulée par ces mêmes Cortes en 1820, après le retour des Bourbons en Espagne ! Navré mais c’est irrecevable.

        A vous en croire, quelques analyses ADN arrangeraient tout, feraient la lumière sur tout, éteindraient toutes les polémiques… Vraiment ? Alors comment expliquez-vous qu’en dépit des formidables progrès scientifiques en la matière depuis les années 90, aucune des controverses qui agitent ce blog (et d’autres…) ne se soient jamais vraiment éteintes (Naundorff, Richemont, cœur de Louis XVII, tête d’Henri IV et j’en passe) ? On n’accepte le résultat ADN uniquement dans la mesure où il conforte ses propres convictions, JAMAIS en sens inverse (le matériau analysé est de mauvaise qualité ou trop vieux, le matériel d’analyse est défectueux, scientifiques ou historiens commanditaires sont de parti-pris, etc…) Et on exhume, on ré-exhume, on refait des analyses, encore et encore. On n’en sort pas, qu’on laisse donc les morts tranquilles ! Non, l’ADN n’est pas une panacée. Sous le louable prétexte d’y mettre fin, il ne fait que rajouter de la controverse à la controverse. Le refus du duc d’Anjou de tels tests serait un aveu, dites-vous. Admettons. Mais si vous voulez vraiment le fin mot de l’histoire, assignez-le en justice. Auriez-vous, vous, peur du résultat ?

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        1. Avatar photoChouandecoeur Post author

          A Dubitatif,

          Vous dites :
          “Vous considérez donc comme valable une accusation de bâtardise enregistrée par des Cortes aux ordres des Napoléonides en 1812, prétexte commode pour exclure de la succession d’Espagne au profit de Joseph Bonaparte un otage alors aux mains des Français… une accusation jamais confirmée ni enregistrée par une autorité compétente française par la suite (quelle arme, pourtant !)… et pour finir annulée par ces mêmes Cortes en 1820, après le retour des Bourbons en Espagne ! Navré mais c’est irrecevable.”

          Pour la 1ère partie de votre commentaire, je vous réponds :
          Eh non justement !
          les Cortès de Cadix ont été les seuls à toujours reconnaître Ferdinand VII comme seul roi légitime d’Espagne contre Joseph Bonaparte, et à combattre l’invasion napoléonienne. Les Cortès ont choisi de se réunir à Cadix de septembre 1810 à mai 1814 parce que cette ville était, avec une autre, non occupée par les troupes françaises, et que les députés de cette Assemblée Constituante issue de la Junte Générale qui ne reconnaissait pas la nomination de Joseph Bonaparte, avaient là toute liberté et toute latitude.

          C’est en pleine connaissance de cause, librement, et non sous la contrainte de Napoléon, de ses diplomates et de son armée, que les Cortès ont pris cette décision plénière et signé ce décret d’empêchement de succession au trône d’Espagne de François de Paule, au cas où les circonstances l’auraient amener à régner, ce qui était à l’époque très improbable au vu de son rang dynastique (dernier fils de la fratrie et loi salique abolie).
          Il va de soi que Napoléon se fichait comme d’une guigne de ce garçon (18 ans à l’époque) qui n’avait aucune chance de lui faire de l’ombre, ses frères aînés pouvant s’en charger.

          Jusqu’en 1936, cette accusation n’a jamais été reprise par une autorité compétente française et pour de bonnes raisons :
          . Jusqu’en 1883, avant la mort du comte de Chambord, elle ne concernait que l’Espagne. Celle-ci, le décret final abolissant la loi salique ayant été passé, avait couronné Isabelle II fille de Ferdinand VII, et se moquait maintenant « royalement » de cette affaire…
          . De 1883 à 1936, la descendance carliste étant alors la branche aînée, toujours présente, disponible puisque rejetée d’Espagne et revendiquant le trône de France, était la seule branche espagnole légitime pour notre pays.
          . Après 1936 et pendant quelque temps, la branche d’Orléans en la personne d’Henri d’Orléans (1933-2019) a utilisé ce fait dans la querelle dynastique française.

          Mais non, ce décret n’a jamais été annulé en tant que tel. Ferdinand VII qui voulait remettre en place la Monarchie absolue à son retour en Espagne en 1814, avait abolie dès son retour la Constitution de 1812 uniquement parce que celle-ci était libérale. C’était là son unique but. Le décret en question inclus dans cette Constitution est passé en même temps à la trappe, mais le décret en tant que tel n’a jamais formellement été remis en question parce qu’il n’était pas l’objectif intentionnel de cette abolition.
          D’ailleurs, en mars 1820, devant les événements, Ferdinand VII revient sur sa décision et prête serment sur cette même Constitution de Cadix de 1812, et la voilà de nouveau valide et légitime… ce qui montre bien, s’il était encore nécessaire, que l’abolition précédente de 1814 ne concernait que la forme politique du régime et seulement elle.

          A l’époque, tout le monde à la cour d’Espagne et par ouï-dire à l’étranger, savait que la reine Marie-Louise était une fieffée gourgandine et que ses deux derniers enfants, l’infant François de Paule et l’infante Marie-Isabelle, n’étaient pas les enfants du roi Charles IV, mais nés de l’adultère de la reine avec son favori Manuel Godoy, Premier ministre. Le peintre Goya, habitué dans son travail aux visages, aux attitudes et aux ressemblances des personnes qu’il reproduisait, le pensait vraiment notamment quand il peignit la famille royale en 1800, l’Infant ayant alors 6 ans.

          Quelque temps plus tard, avec son mari Lord Holland, Elisabeth Vassal Fox, Lady Holland, habita à Madrid deux fois, d’abord deux ans en 1804 et 1805, puis de nouveau en 1808 (l’Infant avait alors 14 ans). Femme de salon très connue, elle était une habituée de la cour d’Espagne. Dans son « Journal d’Espagne », elle dira plus tard que François de Paule avait une « indécente ressemblance avec son véritable père Manuel Godoy ».

          Vous dites ensuite :
          “A vous en croire, quelques analyses ADN arrangeraient tout, feraient la lumière sur tout, éteindraient toutes les polémiques… Vraiment ? Alors comment expliquez-vous qu’en dépit des formidables progrès scientifiques en la matière depuis les années 90, aucune des controverses qui agitent ce blog (et d’autres…) ne se soient jamais vraiment éteintes (Naundorff, Richemont, cœur de Louis XVII, tête d’Henri IV et j’en passe) ?
          On accepte le résultat ADN uniquement dans la mesure où il conforte ses propres convictions, JAMAIS en sens inverse (le matériau analysé est de mauvaise qualité ou trop vieux, le matériel d’analyse est défectueux, scientifiques ou historiens commanditaires sont de parti-pris, etc…). Et on exhume, on réexhume, on refait des analyses, encore et encore. On n’en sort pas, qu’on laisse donc les morts tranquilles ! Non, l’ADN n’est pas une panacée. Sous le louable prétexte d’y mettre fin, il ne fait que rajouter de la controverse à la controverse. Le refus du duc d’Anjou de tels tests serait un aveu, dites-vous. Admettons. Mais si vous voulez vraiment le fin mot de l’histoire, assignez-le en justice. Auriez-vous, vous, peur du résultat ?”

          Dans cette 2nde partie de votre commentaire, vous me faites dire ce que je n’ai pas dit, et vous vous méprenez de mes intentions réelles.

          Jamais je n’ai pas dit (reprenez mon commentaire) que le refus du duc d’Anjou de tels tests serait un aveu… ça c’est vous qui l’extrapolez, ce qui est curieux et évocateur. De même, la question n’est pas de l’assigner en justice, et pour quelle raison d’ailleurs ?
          Non, ce que j’ai dit : « Alors, une analyse ADN du noyau sera au moins nécessaire. Remarque : Cette dernière affirmation est valable pour tout « prétendant » qui se présentera. », signifie que le doute étant tellement fort, il faudra bien lever ce doute uniquement pour la France, cela n’étant pas utile pour l’Espagne. Et comme indiqué dans la remarque ceci est valable pour tout prétendant.

          Quant aux analyses ADN, je ne parle que de celles du noyau c’est-à-dire concernant la filiation paternelle.
          Pour qu’une analyse ADN soit fiable et significative d’une réalité, il faut en priorité connaître la traçabilité parfaite des échantillons que l’on exploite… et c’est quelque fois cela qui pêche notamment pour des cas historiques très anciens.
          Ensuite il faut que le « matériau » soit exploitable c’est-à-dire à partir duquel on peut tirer de l’ADN exploitable, donc respectant certaines conditions qualitatives.
          Enfin il faut, sous la main, un ADN de référence lui aussi sûr et dont on connaît, là-encore parfaitement la traçabilité, ce qui parfois peut être rendu difficile par l’absence de descendance directe… Cela dépend de ce que l’on veut prouver.

          Voyez-vous, je ne remets jamais en cause les analyses elles-mêmes, qui sont issues d’une technique maintenant éprouvée tous les jours. Ce qui pêche dans certains cas, comme je l’ai dit, c’est la certitude de la traçabilité. Si cela manque à une seule des étapes de la vie du matériau analysé, c’est inutile d’aller plus avant.

          Bien à vous,
          Chouandecoeur

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          1. Dubitatif

            Cher Chouandecoeur,
            il est vrai que dans ma hâte à vous répondre, je vous attribue parfois un peu vite des propos tenus par d’autres sur ce site. Je m’en excuse et je veillerai à éviter de le faire dans nos prochains échanges.
            Pour le sujet présent, reconnaissez que l’on ne peut tirer aucune conclusion définitive de tout cela. Godoy était l’amant de la reine, certes, haï et jalousé pour son élévation et son influence auprès du roi. L’accusation de bâtardise était quasi inévitable mais, encore une fois, impossible à prouver ni dans un sens ni dans l’autre. Quant à la ressemblance physique entre Godoy et François de Paule, c’est un argument beaucoup trop subjectif. Deux personnes peuvent énormément se ressembler, au point d’être confondues, sans partager le moindre lien de parenté. Elle est surtout dans les yeux de ceux qui regardent, déjà persuadées du fait : quand on croit voir, quand on veut voir, on finit toujours par voir ! Mais bon, je veux bien vous laisser le bénéfice du doute.
            Ce qui me surprend davantage, en revanche, c’est que vous appeliez les Cortes de Cadix au secours de votre argumentation. J’avais cru comprendre que vous étiez en train de réhabiliter le droit divin et que sur ce site, d’autres intervenants qualifiaient les fontevristes d’ultra-légitimistes ! Or, ces Cortes professaient des idées aux antipodes de vos convictions : libéralisme, principe de la souveraineté nationale, séparation des pouvoirs… raisons pour lesquelles, d’ailleurs Ferdinand VII a tué tout cela dans l’oeuf en 1814.

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            1. Avatar photoChouandecoeur Post author

              Cher Dubitatif,

              Merci de votre commentaire.
              Vous me dites, dans votre 1er paragraphe :
              « Pour le sujet présent, reconnaissez que l’on ne peut tirer aucune conclusion définitive de tout cela. Godoy était l’amant de la reine, certes, haï et jalousé pour son élévation et son influence auprès du roi. L’accusation de bâtardise était quasi inévitable mais, encore une fois, impossible à prouver ni dans un sens ni dans l’autre. Quant à la ressemblance physique entre Godoy et François de Paule, c’est un argument beaucoup trop subjectif. Deux personnes peuvent énormément se ressembler, au point d’être confondues, sans partager le moindre lien de parenté. Elle est surtout dans les yeux de ceux qui regardent, déjà persuadées du fait : quand on croit voir, quand on veut voir, on finit toujours par voir ! Mais bon, je veux bien vous laisser le bénéfice du doute. »

              Ma réponse est la suivante :
              Et c’est bien cela le drame de cette famille… Il y a un gros doute, rédhibitoire pour la France, qui ne peut être levé que par une analyse de l’ADN du noyau.
              Au sujet de la ressemblance, je prends sérieusement en compte l’avis d’un peintre de portraits comme Goya, qui connaissait bien le famille royale d’Espagne et qui avait, comme je l’ai dit, la finesse d’analyse des traits des personnes au-delà de leurs traits propres. Et à ce sujet, et à notre époque, je peux vous raconter une anecdote vécue d’un fait analogue arrivé dans ma famille.
              J’avais un oncle peintre qui, avant la guerre de 1940, fit le portrait d’un officier. Celui-ci vint plusieurs fois poser, et ne voulait pas voir son portrait en cours de réalisation, mais seulement une fois terminé. Le jour où mon oncle lui annonça après une dernière pose : « c’est fini », l’officier en question vint devant la toile, resta un bon moment totalement muet et figé, puis s’exclama : » Vous avez peint là ma canaille de père… ! », père que mon oncle ne pouvait connaître !
              Inutile de vous préciser que mon oncle fut toujours très fier de cela, et qu’il nous racontait cette histoire à tout bout de champ.

              Puis dans votre 2nd paragraphe :
              « Ce qui me surprend davantage, en revanche, c’est que vous appeliez les Cortes de Cadix au secours de votre argumentation. J’avais cru comprendre que vous étiez en train de réhabiliter le droit divin et que sur ce site, d’autres intervenants qualifiaient les fontevristes d’ultra-légitimistes ! Or, ces Cortes professaient des idées aux antipodes de vos convictions : libéralisme, principe de la souveraineté nationale, séparation des pouvoirs… raisons pour lesquelles, d’ailleurs Ferdinand VII a tué tout cela dans l’œuf en 1814. »

              Et je vous réponds :
              Là encore vous vous méprenez sur mon intention.
              Tel que vous me le dites, vous pensez que je cherche des arguments pour conforter ma conviction à priori, voire mon idéologie sur le sujet. Mais non, c’est totalement l’inverse…
              Sachez d’abord que pendant longtemps (peut-être 20-25 ans) j’étais convaincu de la légitimité du duc d’Anjou ; mon père a d’ailleurs eu une correspondance avec Hervé Pinoteau sur ce sujet à la fin des années 60. Mais c’est parce que j’ai eu connaissance de cette décision des Cortès de Cadix que je n’ai pu continuer [avec certitude] dans cette voie.
              Je suis bien d’accord avec vous que les Cortès de Cadix professaient des thèses révolutionnaires totalement et toujours contraires à mes convictions, mais je suis bien obligé de les prendre tels qu’ils étaient, et non tels que j’aurais voulu qu’ils soient… Et c’est eux seuls qui ont officiellement levé le lièvre, lièvre dont tout le monde, je le répète, parlait déjà, et qui ont pris cette décision de décret.
              On en sait plus quand on sait à qui profite le crime. Mais franchement, à la réflexion, quel intérêt politique les Cortès de Cadix avaient-ils de rejeter ainsi la légitimité d’un enfant tout en bout de chaîne d’une fratrie déjà bien pourvue et ayant une infime chance de régner ?
              Enfin pour répondre à votre dernière phrase :
              « raisons pour lesquelles, d’ailleurs Ferdinand VII a tué tout cela dans l’œuf en 1814. »,
              Exact, mais qui s’est dédit et a tout remis en place 6 ans après, en 1820.

              Bien à vous,

              Chouandecoeur

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              1. Dubitatif

                Cher Chouandecoeur,
                J’ai beau chercher, je ne trouve pas trace de ce décret écartant François de Paule de Bourbon de la succession pour cause de bâtardise. Rassurez-vous, je ne vous soupçonne pas de l’avoir inventé. Si je vous ai bien suivi, il serait en quelque sorte “inclus” dans la Constitution de Cadix ? Auquel cas il aurait été en vigueur entre 1812 et 1814, puis entre 1820 et 1823 (sous la pression révolutionnaire), et aboli par la suite.
                Je ne m’explique pas bien son objet, surtout si vous me dites que François de Paule est loin dans l’ordre de succession et que Napoléon ne s’en soucie guère. Pourquoi s’acharner ainsi sur l’illégitimité d’un cadet s’il est insignifiant ? Vous dites également que Ferdinand VII a confirmé ce décret, mais quel aurait été son intérêt de discréditer à ce point la famille royale, surtout dans ces circonstances ? Enfin, par la suite, rien ne va dans le sens d’une quelconque animosité de Ferdinand VII envers son benjamin. Et s’il s’agissait d’atteindre Godoy à travers lui, il y avait tout de même d’autres moyens plus directs et plus radicaux pour y parvenir.
                L’accusation de bâtardise envers François de Paule a été aggravée par celle de non-paternité de son fils François d’Assise, bien plus ennuyeuse. Cependant, l’homosexualité de celui-ci n’empêche pas qu’il ait pu faire son devoir d’Etat avec son épouse Isabelle II (les enfants peuvent être légitimes). Et si tous ne sont pas du couple, aucun n’a cependant été rejeté officiellement. En l’absence de vérifications ADN bien peu probables (trop de tombeaux à ouvrir, d’identités à vérifier, de vieilles rancoeurs à remuer, refus des descendants des intéressés, problèmes techniques évoqués plus haut), et dont la fiabilité du résultat laissera immanquablement à désirer, le doute doit bénéficier aux deux « accusés », si tant est qu’on puisse les désigner ainsi.
                Quant à la débauche de la reine Isabelle… sans doute eut-elle quelques amants pour compenser un époux décevant, mais elle eut surtout le tort d’être reine, de s’asseoir sur la loi salique en Espagne, bref d’être une femme de pouvoir. Il n’en fallait pas plus pour la transformer en monstre de perversité sexuelle. Tristement classique ! Catherine de Médicis, elle aussi, en passa par là…
                Ces accusations ont été réactivées par l’ancien comte de Paris contre le duc d’Anjou, insultant au passage la famille royale espagnole, concernée elle aussi puisque descendant des mêmes personnes. Mais si la branche alphonsine est plusieurs fois bâtarde, comment expliquez-vous que l’avant-dernier prétendant de la branche carliste, Jacques de Bourbon, ait clairement désigné successeur en France son cousin l’ex-roi Alphonse XIII lorsqu’il l’a fait chevalier de l’Ordre du Saint-Esprit en 1931, quelques mois avant sa mort – après toutefois son oncle Alphonse-Charles, sans descendance, mort en 1936 ? Tous ces soupçons n’ont aucunement joué en cette occasion.
                « Petit fils aîné de Louis XIV, petit-fils aîné de Philippe V je suis chef de la Maison de France, chef de la Maison d’Espagne. Après moi, mes droits saisissent mon oncle Alphonse qui n’a pas d’héritier direct ; après lui, qui est vieux, c’est toi qui es jeune. (…) Tu seras un jour chef de la Maison de France ; après toi ce sera ton fils aîné » (déclaration citée dans une Lettre de Jean de Mayol de Lupé à Jacques de Francqueville d’Abancourt, citée par : Hervé Pinoteau, État de l’ordre du Saint-Esprit en 1830 et la survivance des ordres du roi, Paris, Nouvelles Éditions Latines, coll. « Autour des dynasties françaises » (no II), 1983, 165 p. (ISBN 2-7233-0213-X, lire en ligne [archive]), p. 144.
                Bien à vous,

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                1. ConseildanslEspéranceduRoi

                  Je suis d’accord avec l’argumentaire précis de Dubitatif concernant la bâtardise de François-de-Paule de Bourbon pour avoir eu l’occasion d’en discuter plusieurs fois avec Hervé Pinoteau qui était formel et qui n’aurait pas accepté d’assumer les charges qui furent les siennes dans le cas contraire. La seule véritable bâtardise connue des temps moderne concernant les Bourbon est celle de Jean-Philippe Carpentier, issu nous dit-on d’un fils illégitime du comte d’Artois, coqueluche de certains intrigants et qui fait beaucoup parler de lui.

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                2. Avatar photoChouandecoeur Post author

                  Bonjour Dubitatif,

                  Merci de votre réponse, hélas je n’ai pas le temps actuellement de répondre en détail.
                  Ce que vous me dites est bien sûr vrai. Il n’y a aucune discussion à avoir là-dessus. C’est une des raisons qui font que le doute est sérieux. Mais cela demande à être bien circonstancié pour servir à une instruction correcte de ce dossier que l’on est en droit d’exiger pour la France, et conclure définitivement dans un sens ou dans son contraire.
                  J’ai peut-être trouvé quelques documents concernant ce décret des Cortès de 1812, mais je dois les vérifier avant de les donner sur ce blog.

                  Bien à vous,

                  Chouandecoeur

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  14. Hervé J. VOLTO

    En somme, personne ne croit au message du Cahier de l’Amour.

    Le Sacré-Coeur a dit clairement :

    -Votre espoir d’un retour à la paix, à la cohabitation heureuse et harmonieuse entre vous, est entièrement fondé sur ce choix que JE (c’est Jésus qui parle) fis alors (Cahier de l’Amour au Chapitre de Rome).

    Ici c’est encore Jésus qui parle :

    -En vérité, en vérité, je vous le dis, CELUI QUI RECOIT CELUI QUE J’AURAI ENVOYE ME RECOIT, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé (Jean 13:20, et là c’est dans la bible).

    C’est ce que firent les Gallo-romaian avec Clovis. C’est ce que nous somme appellés à faire avec le Roi à venir, choisi sur le bois de la Croix.

    Reply
  15. Hervé J. VOLTO

    Dans l’attente , nou sommes appelés pour que nous portions Son Cœur dans le monde, pour que nous fassions savoir à tous qu’il n’existe qu’une seule vérité et une seule justice : c’est l’Amour pour Son Cœur Divin (Cahier de l’Amour, Chapitre de San Giovanni Rotondo, 16 Avril 1968).

    Reply
  16. Hervé J. VOLTO

    Et rien n’empèche donc de lancer cette action politique dans l’esprit de l’AF MAIS CATHOLIQUE, résumée par le tryptique du Bienheureux Marcel Calo : DIEU, FAMILLE, PATRIE ! Il y a bien cette CRC
    https://crc-resurrection.org/
    conscrée au Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice, espoir et salut de la France.

    Pour le Prince, nous nous mettrons genoux à terre devant celui qui sera Sacré à Reims, qui qu’il sera.

    Reply
  17. Hervé J. VOLTO

    Excusez-moi Dubitatif

    Vous voulez une réponse claire et argumentée.

    Si on savait où se trouve HENRI, Heinrich, Chiren, Cyrénéen, le Lys qui aide à porter LE POID De LA CROIX, on l’aurait déjà appellé et placé sur le Trône car il serait L’AINE SALIQUE DES CAPETIENS DE NAISSANCE LEGALE DANS LA FOI CATHOLIQUE.

    Ne sachant pas où se trouve L’ENFANT SECRETE DE DIEU, le Régentisme se rabat sur le plus proche parnt LEGITIME, le Duc d’Anjou. Il n’y a aucun “non-sens politique total” : c’est de la logique froide mais pragamatique. Ou vous croyez que le Roi est promis par Dieu et que c’est une langage d’Amour que nous avons perdu et que nous devons retrouver, ou alors vous êtes condamné à continuer à vous demander pourquoi le Prince ne fait pas élevers se enfants mâles en France et pourquoi Emmneuel Macron est pret à appelleé Jean d’Orléans, qui est pourtant un cadet.

    Le Régentisme nous permet de commencer à agir, dans l’attente du Roi, QUI QU’IL SERA.

    Même si c’est le Duc d’Anjou.

    Et maintenant :

    -Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeune fille que l’on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d’Arc (François-Marie Algould) !

    Toujours sous le signe du double-Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice Sacré Coeur , espoir et salut de la France.

    -UN POUR TOUS, ET TOUS POUR UN !

    Quant au régentisme, c’est un non-sens politique total : imaginez-vous sérieusement Louis de Bourbon, ayant par miracle récupéré son trône, dire benoîtement à se sujets : “ben non les gars, en fait, le vrai Roi, ce n’est pas moi. Il ne devrait pas tarder à arriver, enfin, je ne sais pas trop quand… Mais bon, pas de panique, il va nous sortir son arbre généalogique, et vous serez tous convaincus !”
    Ca ira, la république n’a pas trop de cheveux à se faire…

    Reply
  18. Hervé J. VOLTO

    Le Régentisme nous permet de commencer à agir, dans l’attente du Roi, QUI QU’IL SERA.

    Même si c’est le Duc d’Anjou.

    Et maintenant :

    -Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeune fille que l’on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d’Arc (François-Marie Algould) !

    Toujours sous le signe du double-Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice Sacré Coeur , espoir et salut de la France.

    -UN POUR TOUS, ET TOUS POUR UN !

    Reply
  19. Hervé J. VOLTO

    PRESENTATION DEFINITIVE DU CONSEIL DE REGENCE DU ROYAUME DE FRANCE évoqué par ConseildanslEspéranceduRoi en termes ironiques
    https://francechretienne.forumactif.com/t4977-presentation-definitive-du-conseil-de-regence-du-royaume-de-france

    Il existe même deux projets de constitution Royale

    Hervé Volto. PROJET DE CHARTE CONSTITUTIONNELLE POUR LA III° RESTAURATION MONARCHIQUE DU ROI DE FRANCE


    et
    https://francechretienne.forumactif.com/t4739-projet-de-constitution-catholique-et-royale

    Quand au Dr Gaspari, il croyait, excusez-moi, en une survivance de Louis XVII. Le constact avec le cousin de Xavier de Roche, peut-être…

    Dans l’attente de Louis ou d’Henri, on retourne au Régentisme. Si je répète ce que j’ai dit, c’est que je n’ai plus rien à rajouter sauf qu’il nous faut garder la Foi et notre la devise de la Princesse Marie-Christine de Kent (épouse de Mikel Winsor of Kent, cousin de le Reine Elisabeth II d’Angleterre)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Christine_von_Reibnitz :

    -Bien faire et laisser dire !

    Reply
  20. ConseildanslEspéranceduRoi

    Je lance un appel solennel au Connétable de la Charte : nous sommes manifestement chez les fous. Ne commettez pas l’erreur d’Alain Texier qui acceptait tout et n’importe quoi. Il est urgent de sauver le blogue de la Charte des délires, au sens psychiatrique du terme, qui le submergent.
    Quant au Conseil de Régence dont on nous parle, et pour la énième fois, ayez l’honnêteté de donner les noms et attributions de ses membres. Dans le cas contraire nous serons obligés de considérer qu’il ne se résume qu’à un seul mythomane !

    Reply
  21. Hervé J. VOLTO

    Une chose que je n’ai pas dite : quand je rencontrai le Dr Luigi Gaspari, ce fut en 1985, à San Damiano,en Italie.

    Il m’a enseigné un choses : dans la vie il y a les Saints et puis il y a les sancitficateurs.

    Une des Oeuvres de Charité Spirituelles n’est-elle “supporter patiemment les personnes ennuyeuses” ?

    Quand au Roi à venir, c’est notre Foi qui est demandé et… notre patience.

    Reply
  22. ConseildanslEspéranceduRoi

    Il fut un temps où il existait des systèmes informatiques simples qui permettaient aux administrateurs de sites internet de modérer les commentaires en ne retenant que les plus pertinents et en évitant la graphomanie des uns ou des autres. Ce n’est apparemment plus le cas… Attention, danger !

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  23. Hervé J. VOLTO

    Mais, si, comme dit Chouan de Coeur, François de Paul été déclaré non-dynaste par les Cortès de Cadix en 1812, décret confirmé par le roi Ferdinand VII, son « frère aîné », parec qu’enfant, il ressemblait plus physiqueqment au Premier Ministre Godoy, amant de la Reine, plus qu’au Roi Charles IV, fait documenté avec pertinance par notre ami Catoneo qu’il faut remercier pour sa précieuse analyse
    https://royalartillerie.blogspot.com/2005/10/godoy-lnigme.html
    tout notre Régentisme vole en éclat !

    On en revient à une descence de Louis XVII, ARRIVEE JUSQU’A NOS JOURS, comme l’a toujours porté en avant Irène Pincemaille, ou aux Bourbon-Siciles et aux Bourbon-Parme, qui viennent AVANT les Bourbon-Orléans, branche cadette.

    A moins qu’on veuille une nouvelle Monarchie de Juillet… je commence à comprendre le profond malaise des Légitimistes.

    Le Providentialisme nous permet, dans l’attente de prier et d’agir, d’agir et de prier et d’espérer, dans l’attente du Roi, QUI QU’IL SERA.

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    1. ConseildanslEspéranceduRoi

      Attention à ne pas transformer les faits : Catoneo n’a jamais dit (où l’avez-vous lu ?) que Ferdinand VII avait “confirmé (le fameux décret des Cortès de 1812 (que personne n’a jamais vu), parec qu’enfant (sic), il ressemblait plus physiqueqment (sic) au Premier Ministre Godoy, amant de la Reine, plus qu’au Roi Charles IV”. Il dit même le contraire en parlant de la fille de Godoy, Charlotte Louise que la reine voulait marier à son propre fils François de PaulE.
      Mieux vaudrait vous contenter “DE PRIER ET D’AGIR, D’AGIR ET DE PRIER” selon la formule répétée sur ce blogue des centaines de fois…

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    2. Dubitatif

      Pas de profond malaise pour moi, M. Volto. Au contraire, de la logique, rien que de la logique !
      Si l’on ne reconnaît aucune faille dans l’arbre généalogique, le roi est bien Louis de Bourbon (1974-….). Après ses trois fils Louis, Alphonse et Henri, la succession passe à Juan Carlos, Philippe VI d’Espagne et aux descendants suivants de François de Paule de Bourbon.
      Si l’on considère que François de Paule de Bourbon est bien le fils de Charles IV d’Espagne, mais qu’Alphonse XII n’est pas le fils de son fils François d’Assise de Bourbon, le roi de France est, sauf erreur de ma part, François de Paule de Bourbon-Hardenberg (1979-….), 6e dans l’ordre successoral.
      Si l’on considère que François de Paule de Bourbon est le fils de Godoy et non de Charles IV, le roi de France est Pierre de Bourbon-Siciles, duc de Calabre (1968-….), 17e dans l’ordre successoral.
      Tenir compte des éléments en faveur de la bâtardise aboutit donc au paradoxe suivant : d’une part, l’élimination de dizaines de prétendants qui ne rentrent plus dans les clous, d’autre part, l’augmentation du nombre de prétendants dynastes, qui ne sont pas les mêmes selon l’endroit où l’on place le « curseur » de la faille généalogique… endroit sur lequel personne ne s’accorde ! De plus, il n’y a aucune garantie qu’une accusation du même tonneau ne tombera pas sur les nouveaux prétendants, sitôt ceux-ci désignés… accusation qui touche aussi, par les mêmes ancêtres, la famille royale espagnole, détentrice d’un réel pouvoir royal (la raison d’Etat s’en mêle !) C’est pourquoi je refuse par principe l’accusation de bâtardise : elle est galvaudée, invérifiable et malveillante, quels que soient les princes concernés (là je radote quelque peu).
      Les résultats d’analyses ADN ne seraient guère probantes : refus des descendants intéressés, problèmes techniques et scientifiques de matériau et de matériel, blocages juridiques insurmontables quant aux exhumations et aux autopsies nécessaires, innombrables intrications familiales depuis la nuit des temps (mariages entre cousins, oncles et nièces) rendant aléatoires les résultats, parti-pris éventuels des demandeurs et des analystes (je radote encore).
      Je ne pense pas trop m’avancer en disant que la solution Orléans est inenvisageable pour l’immense majorité des intervenants de ce site : ils sont encore plus lointains dans l’ordre de succession, régicides et, si l’on y tient vraiment, touchés eux aussi par des accusations de bâtardise.
      Si je tiens compte de ces données, tout me ramène au duc d’Anjou, effectivement.
      Dans ces conditions, évidemment, l’hypothèse du Grand Monarque, qui permet de rayer d’un trait de plume tous les prétendants existants qui traînent comme un boulet leurs incertitudes lignagères, apparaît séduisante…
      Sauf je n’y crois pas, pas plus qu’à la survivance de Louis XVII et au régentisme. J’aurai certainement à développer cela.
      Bien à vous,

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  24. Hervé J. VOLTO

    Il a tellement été reproché aux royalistes providentialistes de sacrifier l’action à la prière qu’il n’est pas inutile de rappeler ce que pourrait -être selon- eux la ligne de conduite du roi restauré . Il suffirait simplement au monarque d’appliquer dans ses actions les commandements du Christ pour que la face de notre pays en soit changé. Le roi traiterait ses Sujets en enfants de Dieu et non en personnes qu’il faut dresser les unes contre les autres de façon à avoir une majorité qui vous permette d’avoir le pouvoir et tout ce qui va avec, prébendes décorations et places pour ses amis. Car la mise en oeuvre de la doctrine sociale de l’Eglise fait avant tout partie des lignes de force de l’action royale.

    Pour approfondir : Royalisme Providntialiste
    https://www.sylmpedia.fr/index.php/Royalisme_providentialiste

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    1. jgdw

      Assurément, si l’on en croit Nostradamus qui a écrit ses lettres d’introduction aux Centuries à l’intention du Grand Monarque, ce sera un roi chrétien même si le chemin de son arrivée se révèle inattendu.

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    1. Avatar photoChouandecoeur Post author

      ATTENTION… ATTENTION… Dans le titre, erreur à corriger :
      Le vrai titre ne comporte pas les termes Henri “V” qui pourrait faire croire que Nostradamus connaissait le vocable de “Henri V” de la Croix.
      NON !
      Le vrai titre de sa lettre est le suivant :

      A L’INVICTISSIME, TRES-PUISSANT ET TRES-CHRESTIEN HENRY ROY DE FRANCE SECOND :
      MICHEL NOSTRADAMUS TRES-HUMBLE, ET TRES-OBEYSSANT SERUITEUR ET SUBJECT,
      VICTOIRE ET FELICITÈ.

      Il s’adresse sans aucun doute au Grand Monarque, un futur grand roi pour lui, et le contenu et le sens de sa lettre ne fait aucun doute là-dessus, mais astucieusement et pour ne pas prêter le flanc à toute critique de l’Église et éventuellement de l’Inquisition, il s’adresse au roi Henri II, roi régnant quand il écrit cette lettre, et emploie au lieu de “deux” le terme de “second”, venant du latin “secundus” c’est-à-dire “secourable”.
      Ainsi en un seul mot, il parle du futur roi Henri le secourable, Grand Monarque, en s’adressant à Henri II roi de France de son époque… et personne ne peut l’attaquer.
      Malin non ?

      Par contre, mais ce n’est que supposition de ma part, on peut aussi comprendre que Nostradamus, sachant que ce Grand Monarque aura pour nom Henri, il le nomme aussi “second” pour dire qu’il y aura deux rois qui auront le même rang :
      * Le premier Henri V, le comte de Chambord qui ne régnera pas, mais sera ainsi nommé,
      * Le second Henri V de la Croix, Grand Monarque…
      L’avenir, je crois proche maintenant, nous le dira !

      Chouandecoeur

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  25. Hervé J. VOLTO

    La renonciation du Comte de Chambord, pourrait laisser le titre d’Henri “V”, de nouveau disponible, pour un éventuel Roi à venir, sacré à Reims, qui qu’il serait.

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