Nous allons nécessairement entendre reparler du trop fameux procès dit des « viols de Mazan » qui a fait les choux gras de nos médias morbides et faisandés car l’un des acteurs condamnés vient de faire appel des décisions de justice. Alors profitons-en pour revenir sur un aspect de cette horrible affaire passé jusqu’ici sous silence. Nous l’intitulerons « Procès des viols de Mazan : un peu de mathématique ne nuit pas« .
Ils étaient cinquante coaccusés du mari organisateur des innombrables viols perpétrés sur son épouse droguée. Tous ont été reconnus coupables.
A part le monstrueux mari tous ont écopé de peines largement inférieures aux réquisitions des procureurs… Ce qui donne une idée de celle que se font les juges de ces crimes et des souffrances endurées par tant de femmes dans notre pays.
Mais il faut remarquer aussi, car personne bien sûr n’en parle et en tout cas aucun de nos médias officiels, DOUZE D’ENTRE CES CRIMINELS SONT D’ORIGINE MAGHRÉBINE. Soit quasiment 25% d’entre eux, un sur quatre, une proportion très supérieure aux chiffres officiels (Insee) de la population originaire d’Afrique du Nord en France. Or, à notre connaissance, il n’est pas apparu parmi les violeurs de biais de sélection : Dominique Pélicot, le mari sadique ne recrutait pas ses complices sur des critères ethniques. C’était le « tout-venant » des obsédés sexuels et des pervers d’Internet !
Ce qui amène nécessairement à l’alternative suivante :
– soit les chiffres officiels de population sont faux et le nombre de Maghrébins dans notre pays est bien plus considérable qu’on nous le dit,
– soit les agressions sexuelles sont particulièrement fréquentes au sein de cette population.
A moins que ce ne soit les deux !…
Tout cela mérite réflexion, à laquelle nous vous invitons même s’il est probable… qu’elle ne viendra jamais. Pas en tout cas de nos dirigeants politiques ni de nos médias.
Pour le CER et la Charte de Fontevrault, Jean-Yves Pons, CJA.
Merci Alain d’avoir bien voulu publier ce billet d’humeur qui met le doigt sur des choses simples qui en disent long pourtant sur la gangrène de notre pays comme sur les efforts des imposteurs qui le dirigent pour cacher la réalité de la situation. Comme je ne cesse de le dire, tout cela finira mal, sans doute même très mal. Souhaitons que ce ne soit pas tout simplement par notre propre disparition…
Mais quoi qu’il en soit, je suis sidéré (et le mot est faible) qu’un tel sujet, d’une telle importance par ses diverses significations (état profond de notre société, mensonges de nos responsables politiques et de leurs complices médiatiques, gangrène de notre système judiciaire, manipulations mortifères des instituts de statistique, absence du moindre murmure parmi les citoyens de notre pays, etc.) n’engendre AUCUN COMMENTAIRE PARMI LES LECTEURS POURTANT AVISÉS DE CE BLOGUE. Disons-le tout net, c’est consternant. Il ne faut pas s’étonner que la fin soit siproche.
S’il n’y pas de commentaire, Cher Régent, c’est que , sur un sujet pareil, les risques de condamnation pénale pour incitation à la haine raciale ne sont pas négligables.
Ça s’appelle la domestication.
Il est faux et dangereux de croire que certains milieux en seraient épargnés.
Hélas ! Mais c’est tout de même assez affligeant. Surtout quand on assiste à des discussions sans fin (et peut-être même sans fondement) sur de prétendues prophéties, tenant davantage de l’ésotérisme que du moindre bon sens, qui n’empêcheront évidemment pas de subir les dures réalités du mur que l’on dresse devant nous .
Au sujet de la domestication d’ailleurs, le CER en 2020 2021 réclamait des mesures de l’État pour la protection contre le covid par la picouse pour tous, et s’indignait également de l’éloignement dans le temps de la 3ème dose.
C’en est où ? Ça va mieux ?
Car il nous faut rappeler des faits indiscutables qui devraient interpeller les vaccinophobes : ne pas se faire vacciner, c’est risquer sa vie. On peut l’entendre (après tout pourquoi pas ?) à condition de ne pas prendre aussi le risque d’emboliser les services de réanimation… Mais c’est aussi risquer celle des autres, notamment les patients avec des défenses immunitaires faibles chez qui la vaccination est peu efficace, qui ne peuvent compter que sur les autres ou empêcher certaines personnes plus fragiles d’accéder à la réanimation. C’est enfin prendre le risque de retarder la prise en charge d’autres malades atteints de pathologies chroniques :
c’est tout simplement accepter l’idée que notre choix impose aussi de priver les autres de soins et leur donner ainsi la mort.
Ça mérite réflexion…
Le 22 décembre 2021.
Pour le CER, Hippocrate, Conseiller à la santé publique.
( conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/12/22/covid-19-au-train-ou-la-situation-se-degrade-il-va-bien-falloir-faire-des-choix/ )
Nous n’avons rien à changer à ce que nous écrivions en décembre 2021. La vaccination se poursuit cahin caha, essentiellement chez les personnes âgées particulièrement exposées aux conséquences graves de la maladie (et s’en portent d’ailleurs bien). Les plus jeunes continuent de résister… avec leur lot d’hospitalisation mais l’agressivité des souches virales ayant baissé, la mortalité aussi. Bref, nous vivons avec le Covid comme nous le faisons avec la grippe qui pourtant a des effets bien plus dévastateurs avec un taux de vaccination trop faible.
Éclairez-moi, l’article du CER reprend le ton, la prose et l’argumentation culpabilisatrice et lénifiante des communiqués gouvernementaux et des médecins de plateau TV.
Pour qui se réclame royaliste, donc avisé en politique, comment justifier l’action du gouvernement sur le point du covid, quand on a concience par ailleurs que ce gouvernement est mensonge par essence ? Dans ce cas, la méfiance est mise de côté ?
Ça me sidère.
La gestion du covid a été un exercice de soumission sociale.
Plus incompréhensible encore, pour un catholique, sacrifier la vie sociale de ceux qui ne voulaient ni se plier à ce cirque ni aux injections expérimentales, au prolongement, égoïste donc, de sa vie sur terre ?
Ben merde alors.
Cher Monsieur, nous ne parlons manifestement pas la même langue. La votre s’appuie exclusivement sur des arguments conspirationnistes, recevables bien sûr mais totalement infondés. La mienne sur des connaissances et une très longue pratique scientifique.
Contrairement à ce que vous affirmez, l’article cité ne reprend pas » le ton, la prose et l’argumentation culpabilisatrice et lénifiante des communiqués gouvernementaux et des médecins de plateau TV. » Il dit simplement ce qui est.
Que des âneries aient été commises dans la gestion de ladite pandémie est une évidence et les mensonges de la Sénégalaise de service (celle qui n’était pas « Sibeth que ça ») à l’époque concernant l’usage des masques en sont l’un des avatars à la fois les plus risibles et les plus intolérables. Mais vous ne changerez pas les faits (qui ne sont pas exclusifs de notre pays) : la pandémie au Covid 19 est bien une réalité et non pas un complot (elle avait d’ailleurs été prophétisée – pardon pour le mot ! – bien avant 2019), le confinement aussi problématique qu’il ait été fut la seule réponse logique et efficace du moment et il a porté des fruits positifs, la vaccination aussi déstabilisante qu’elle soit apparue a été une prouesse technique inespérée qui a renversé le cours de cette pandémie, la ramenant à une maladie infectieuse ordinaire (n’oubliez pas les millions de morts causées par le Covid dans le monde et qui ne sont pas une vue de l’esprit ou une spéculation d’ignorants).
Que l’industrie pharmaceutique y ait trouvé une bouffée d’oxygène ne fait pas de doute; que nos dirigeants politiques aient pu exprimer leurs capacités naturelles à l’imposture n’en fait pas davantage. Mais, surtout, remerciez le Bon Dieu de vous avoir épargné !