Pas de combat politique valable et durable
sans principes et surtout sans racines
Chers amis,
Connaissez-vous Lectures Françaises ? Chaque mois, retrouvez la « revue de la politique française », fondée en 1957 et toujours fidèle au poste.
Plus que jamais, notre civilisation occidentale, notre patrie française sont soumises à l’assaut constant des minorités qui ont juré leur perte. Pour eux, tous les moyens sont bons : désinformation, déconstruction de l’histoire, repentance tous azimuts… Leur mot d’ordre est clair : oubliez qui vous êtes et vous vivez ! Oubliez la France, son histoire, sa langue, sa culture, son art de vivre. Oubliez la religion du Christ qui a fait la France et l’Europe chrétienne. Les saints, les artistes, les hommes de lettres, les inventeurs, les hommes d’Etat qui ont écrit l’Histoire sont supplantés par les faussaires contemporains, porteurs de la sous-culture et des contre-valeurs.
Sans bénéficier des moyens colossaux de la presse subventionnée, Lectures Françaises mène le combat de la réinformation. Mieux encore, Lectures Françaises œuvre à transmettre l’histoire, la culture, l’imaginaire et les principes éternels qui ont fait la France. Dépositaires de ce patrimoine sacré, et travaillant à sa transmission, nous menons le combat le plus fondamental pour les générations montantes et à venir.
C’est pourquoi, chers amis, je vous invite à vous abonner à notre revue Lectures Françaises, pour vous et pour la pérennité de la revue dont vous serez les seuls actionnaires !
TRANSMETTRE OU DISPARAÎTRE
François-Xavier d’Hautefeuille
https://mail01.orange.fr/appsuite/#!&app=io.ox/mail&folder=default0/INBOX
Decouvrez la nouvelle revue ” Lectures françaises”
https://www.chire.fr/lectures-francaises-c-45589
TRANSMETTRE OU DISPARAÎTRE, voici un bon mot d’ordre !
il y a longtemps, quelqu’un m’avait offert gratuitement un abonnement à Lecture Françaises et à Lecture et Tradtion, entretemps, il y a eu un chageent : ce qu’il en reste est une exellante revue, je conseille
https://www.chire.fr/lectures-francaises-c-45589
Tramettre la mémoire :
Le 3 juillet 1315, Louis X le Hutin, père de Jean le Posthume
interdisait l’esclavage dans le Royaume de France :
-Selon le droit de nature (qu’on soit Prélat, Noble ou roturier), chacun doit être franc.
Si l’esclavage a pu réapparaitre dans les territoires d’Outre-Mer, c’est le code Noir de Louis XIV
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_noir
qui, tout en interdissant toujours l’esclavage en Métropole, a voulu légiférer notamment sur la condition des esclaves, alors présents dans les îles du sud de l’Amérique française, et officialise ou édicte un certain nombre de pratiques : les dimanches et fêtes chrétiennes seront obligatoirement chômés ; une nourriture suffisante est exigée, de même pour l’habillement ; interdiction de séparer les époux et les enfants lors d’une vente ; la torture est interdite ; les abus sexuels interdits ; les maîtres ne peuvent tuer leurs esclaves ; et des limites sont fixées aux châtiments corporels (qui sont alors les mêmes qu’en métropole, comme pour toute personne non noble.
1794, 4 février : la Convention nationale, en France, décrète l’abolition de l’esclavage dans toutes ses colonies.
1802 : rétablissement de l’esclavage dans les colonies françaises par Napoléon Bonaparte.
Les Royalistes Légitimistes, en tant que Catholiques étaient en grande majorité abolitionnistes. Ce sujet permettait d’ailleurs de critiquer les « Anglo-Saxons » et l’hypocrisie de leur morale prétendument humanitaire.
1815 : A la fin des 100 jours, le Congrès de Vienne abolit la traite négrière. Talleyrand promet que la France respectera l’abolition.
De façon générale, les Royalistes furent hostiles à la colonisation affairiste d’après 1880. Ils étaient très attachés à la colonisation de l’Algérie, testament de la Légitimité Catholique et Royale selon Tudesq. Les Royalistes étaient surtout favorables à la colonisation à des fins de Christianisation : Pierre-Antoine Berryer ou Louis de Baudicour s’inquiétaient de la résistance de l’Islam arabe. La critique de la colonisation se renforce chez certains auteurs légitimistes comme Barbey d’Aurevilly.
Ce n’est pas un livre mais les armes qu’il faut prendre. Mais bien évidemment vous ne le ferez jamais.
Sur quelle liste de volontaires êtes-vous inscrit ?
M. de La Foncière doit être agé et s’exprime très mal -je le dis comme je le pense !- mais peut-être n’a-t-il pas tort à 100%. En Algérie, mon oncle -mari de la soeur de papa- fit parti du MP13 aux côté de Robert Martel, dont il était un grand ami. A la fin, le dos au mur, ils ont diu prendre les armes.
Mais… c’est bien parce qu’il faut savoir pourquoi on se bat qu’une revue come LECTURE FRANCAISE est utile.
Donc, c’est bien d’en parler ici.
Mais qui est M. de la Foncière Hervé ?
Ben voyons, cher Alain… tout simplement le citoyen Pattier alias “YAKA FOKON” !
Ciel ! Mmis devant cette avalanche nominale scipturale, je m’y perds un peu
PATRICK PATTIER GASSIN DE LA FONCIERE, du moins c’est comme çà qu’il se fait appeler.
Sur le Royalisme en Algérie
Sur le MP13
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_populaire_du_13-Mai
-Notre serment sera tenu, même si nous devons avoir recours à la solution du désespoir. C’est un droit de légitime défense que nous accorde le préambule de la Constitution. Notre complot est public. Il a pour nom : ici la France (Robert Martel) !
Ce que mon oncle, qui a bien connu Pierre Sidos, m’a transmis, c’est que les membres du MP13 étaitent Royalistes Survivantistes et que le MP13 fut infiltré par les membres d’une loge néo-templière. Ils savaient tout sur les pophéties du Grand Monarque ! Voyant qu’aucun Prince caché ne se présentait, ces franc-macs allèrent appeller… le Prince Napoléon (le beau-pèrede Béatrice de Bourbon-Sicciles). Le Comte de Paris y vit une ouverture : c’est lui qui se présenta. Profitant ed la confusion, De Gaulle fit un pas en avant. Mon oncle m’a dit que De Gaulle auuarit voulu non pas appeller le Comte de Pris mais son fils, le Comte de Clermont, jeune prèe de famille dynamique à peine mariée avec une jolie Princesse allamande (la mère de Jean d’Orlèans qui naitra 3 ans parès l’indépendance). Après l’arrété ministériel prononçant la dissolution du MP13, le mouvement devint clandestin et pris le nom de CONTRE REVOLUTION EN ALGERIE.
A lire : Claude Mouton-Raimbault, La Contrerévolution en Algérie – sous-titre : « Le combat de Robert Martel et de ses amis », Diffusion de la Pensée Française, 1972, 675 pages.
Ha encore une chose : selon mon oncle, le Comte de Paris n’aurait pas voulu céder la place à son fils en 1965 et fit capoter le projet de Restauration. Don Juan ne fera pas la même erreur n Espagne, qui en 1976 s’effacera au profit de son fils, Juan Carlos…
Trés interessant tout celà. Et puisé à meilleurs source cher Président.