Hervé Volto. Saint Padre Pio et Le testament de Louis XVI.( Seconde mise en ligne que j’espère correcte).

      Votre serviteur a voulu écrire cet article à l’attention de nos amis transalpins. Les Royalistes Français d’un certain âge seront heureux de se voir conforter dans leurs traditions et dans leur Foi. Les plus jeunes apprendront peut être quelque chose...

Le saviez-vous ? A Gaète,  https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaète  tous les ans pour le 21 Janvier, les Bourbons-Siciles font dire une messe en l’honneur de la mémoire de Louis XVI au Sanctuaire de la Très sainte Trinité de la Montagne Cassée

http://www.nostraitalia.it/fr/la-montagna-spaccata-e-il-santuario-della-ss-trinita/ : la Montagne Cassée en images                                    https://www.tripadvisor.fr/Attraction_Review-g187790-d1382953-Reviews-Santuario_della_Santissima_Trinita_Della_Montagna_Spaccata-Gaeta_Province_of_Lati.html

Les Bourbons Siciles https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Bourbon-Siciles descendent de Marie-Caroline d’Autriche, soeur de Marie-Antoinette, qui épousa le Roi Ferdinand I° de Naples et lui donna des enfants, dont le Roi François I°, grand-père de tous les Bourbons-Siciles actuels.

La Divine providence permit qu’il soit montré au Marquis de la Franquerie, le 18 décembre 1978, plusieurs lettres adressées par  le Docteur Luigi Gaspari à un pieux religieux  (*) de ses amis, Mrg Marcel Sorel, de Sainte-Foix la Grande, et publiées dans Ascendances Davidiques des Rois de France :

Lettre du 25 février 1972 :

« Très cher Père, Padre Pio me disait : ” Sans le soutien du pouvoir Royal de David, l’Église tombe en décadence sous le pouvoir de l’esprit du serpent qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l’Église“. Le Padre Pio disait que ” le pouvoir Royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits-serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l’empêchant de s’élever vers le Dieu du Ciel. C’est aujourd’hui le mal de l’Europe sous les régimes des républiques ” disait le Padre Pio… »

Marie-Thérèse Charlotte de France, portrait par Alexandre-François Caminade en 1827. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/f9/Caminade_-_Duchesse_d%27Angouleme.jpg

Lettre du 5 mai 1972 :

   « Un jour Padre Pio me parla d’un importantissime testament caché au Vatican. Il s’agit du testament de la Duchesse d’Angoulême…Ce testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin, mais encore le sien…Pour le bien de la France, de l’Italie et du monde, un tel testament ne peut rester secret… »

Lettre du 6 novembre 1972 :

« Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélerait à l’heure établie (c’est-à-dire : à l’heure de Dieu)… Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir Royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n’a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd’hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d’Etat et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd’hui dans le cœur de peu d’hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables… »

Lettre du 20 novembre 1972 :

Le Padre Pio stigmatisé. http://www.seraphim-marc-elie.fr/2018/01/photos-du-padre-pio.html

« L’amour du cœur de la France Royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David, ressort ressuscité en ses héritiers… Le pouvoir de Royauté de David doit réveiller dans les cœurs des Français l’amour de la Royauté de Dieu qui a en France son berceau. La vraie grandeur de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette (en effet, Marie Antoinette descendait par son père, François de Lorraine, du Bon Roi René, qui lui, descendait de la Maison d’Anjou issue du frère de Saint Louis et qui régna sur la Royaume de Naples et sur les Royaumes de Hongrie, de Slovaquie et de Bohème).La France fut pardonnée par le grand cœur du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts victimes pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique).Le pardon du Roi Louis XVI (depuis la prison du Temple) a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est Amour et Humilité, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l’amour divin…Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, … pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France. »

Inutile de dire l’émotion intense que l’on ressent à la lecture de ces documents relatant la pensée inspirée et prophétique du Saint Padre Pio ! https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2020/02/01/padre-pio-et-la-royaute/

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    LE PARDON DE LOUIS XVI A CEUX QUI LE FAISAIENT MOURRIR, INSCRIT DANS SON TESTAMENT, A CONSERVE A LA FRANCE LE DROIT A LA GRANDEUR DE LA ROYAUTE QUI REVIENDRA A TRAVERS LE GRAND MONARQUE DES PROPHETIES.

   Le TESTAMENT DE LOUIS XVI est un témoignage de Charité Chrétienne et d’abnégation :  

  “Au nom de la Très Sainte Trinité, du Père, du Fils et du Saint Esprit. Aujourd’hui, vingt cinquième jour de Décembre, moi, Louis XVIe du nom, Roy de France, étant depuis plus de quatre mois enfermé avec ma famille dans la Tour du Temple à Paris par ceux qui étaient mes sujets, et privé de toute communication quelconque, même depuis le onze du courant avec ma famille, de plus impliqué dans un Procès dont il est impossible de prévoir l’issue à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante, n’ayant que Dieu pour témoin de mes pensées, et auquel je puisse m’adresser, je déclare ici en sa présence mes dernières volontés et mes sentiments.

   Je laisse mon âme à Dieu, mon créateur, je le prie de la recevoir en sa miséricorde, de ne pas la juger d’après ses mérites, mais par ceux de Notre Seigneur Jésus-Christ, qui s’est offert en sacrifice à Dieu, son Père, pour nous autres hommes, quelqu’indignes que nous en fussions, et moi le premier. Je meurs dans l’union de notre sainte Mère l’Eglise Catholique Apostolique et Romaine qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de St Pierre auquel Jésus Christ les avait confiés. Je crois fermement et je confesse tout ce qui est contenu dans le Symbole et les commandements de Dieu et de l’Eglise, les Sacrements et les Mystères tels que l’Eglise Catholique les enseigne et les a toujours enseignés.

      Je n’ai jamais prétendu me rendre juge dans les différentes manières d’expliquer les dogmes qui déchirent l’Eglise de Jésus Christ mais je m’en suis rapporté et rapporterai toujours si Dieu m’accorde vie, aux décisions que les supérieurs Ecclésiastiques unis à la Saint Eglise Catholique donnent et donnèrent conformément à la discipline de l’Eglise suivie depuis Jésus Christ. Je plains de tout mon coeur nos frères qui peuvent être dans l’erreur, mais je ne prétends pas les juger, et je ne les aime pas moins tous en Jésus Christ suivant ce que la charité Chrétienne nous l’enseigne.

   Je prie Dieu de me pardonner tous mes péchés. J’ai cherché à les connaître scrupuleusement, à les détester, à m’humilier en sa présence. Ne pouvant me servir du Ministère d’un Prêtre Catholique, je prie Dieu de recevoir la confession que je lui en ai faite, et surtout le repentir profond que j’ai d’avoir mis mon nom (quoique cela fut contre ma volonté) à des actes qui peuvent être contraires à la discipline et à la croyance de l’Eglise Catholique à laquelle je suis toujours resté sincèrement uni de cœur. Je prie Dieu de recevoir la ferme résolution où je suis, s’il m’accorde vie, de me servir aussitôt que je le pourrai du Ministère d’un Prêtre Catholique, pour m’accuser de tous mes péchés, et recevoir le Sacrement de Pénitence.

      Je prie tous ceux que je pourrais avoir offensés par inadvertance (car je ne me rappelle pas d’avoir fait sciemment aucune offense à personne) ou ceux à qui j’aurais pu donner de mauvais exemples ou des scandales de me pardonner le mal qu’ils croient que je peux leur avoir fait. Je prie tous ceux qui ont de la Charité d’unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés.

    Je pardonne de tout mon coeur, à ceux qui se sont fait mes ennemis sans que je leur en ai donné aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner, de même que ceux qui par un faux zèle, ou par un zèle malentendu, m’ont fait beaucoup de mal.

    Je recommande à Dieu, ma femme, mes enfants, ma sœur, mes tantes, mes frères, et tous ceux qui me sont attachés par les liens du sang ou par quelqu’autre manière que ce puisse être. Je prie Dieu particulièrement de jeter de yeux de miséricorde sur ma femme, mes enfants et ma sœur qui souffrent depuis longtemps avec moi, de les soutenir par sa Grâce s’ils viennent à me perdre, et tant qu’ils resteront dans ce monde périssable.

    Je recommande mes enfants à ma femme, je n’ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux, je lui recommande surtout d’en faire de bons chrétiens et d’honnêtes hommes, de leur faire regarder les grandeurs de ce monde-ci (s’ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l’Eternité. Je prie ma sœur de vouloir bien continuer sa tendresse à mes enfants, et de leur tenir lieu de mère, s’ils avaient le malheur de perdre la leur.

   Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu’elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donné dans le cours de notre union, comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle, si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.

  Je recommande bien vivement à mes enfants, après ce qu’ils doivent à Dieu qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissants à leur mère, et reconnaissant de tous les soins et peines qu’elle se donne pour eux, et en mémoire de moi je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère.

      Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu’il doit oublier toute haine et tout ressentiment et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j’éprouve ; qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois (les Lois Fondamentales du Royaume de France ), mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile.

       Je recommande à mon fils d’avoir soin de toutes les personnes qui m’étaient attachées autant que les circonstances où il se trouvera lui en donneront les facultés, de songer que c’est une dette sacrée que j’ai contractée envers les enfants ou le parents de ceux qui ont péris pour moi et ensuite de ceux qui sont malheureux pour moi. Je sais qu’il y a plusieurs personnes de celles qui m’étaient attachées qui ne se sont pas conduites envers moi comme elles le devaient, et qui ont même montré de l’ingratitude, mais je leur pardonne (souvent dans les moments de troubles et d’effervescence on n’est pas le maître de soi) et je prie mon fils, s’il en trouve l’occasion, de ne songer qu’à leur malheur.

    Je voudrais pouvoir témoigner ici ma reconnaissance à ceux qui m’ont montré un véritable attachement et désintéressé. D’un côté si j’étais seulement touché de l’ingratitude et de la déloyauté des gens à qui je n’avais jamais témoigné que des bontés, à eux ou à leurs parents ou amis, de l’autre j’ai eu de la consolation à voir l’attachement et l’intérêt gratuit que beaucoup de personnes m’ont montrés. Je les prie d’en recevoir tous mes remerciements. Dans la situation où sont encore les choses, je craindrais de les compromettre si je parlais plus explicitement, mais je recommande spécialement à mon fils de chercher les occasions de pouvoir les reconnaître.

      Je croirais calomnier cependant les sentiments de la Nation si je ne recommandais ouvertement à mon fils M. De Chamilly et Hue, que leur véritable attachement pour moi, avait porté à s’enfermer avec moi dans ce triste séjour, et qui ont pensé en être les malheureuses victimes. Je lui recommande aussi Cléry des soins duquel j’ai eu tant lieu de me louer depuis qu’il est avec moi. Comme c’est lui qui est resté avec moi jusqu’à la fin, je prie Messieurs de la Commune de lui remettre mes hardes, mes livres, ma montre, ma bourse, et les autres petits effets qui ont été déposées au Conseil de la Commune.

  Je pardonne encore très volontiers à ceux qui me gardaient, les mauvais traitements et les gènes dont ils ont cru devoir user envers moi. J’ai trouvé quelques âmes sensibles et compatissantes, que celles-là jouissent dans leur cœur de la tranquillité que doit leur donner leur façon de penser.

https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2015/09/18/armoiries-de-raymond-de-seze-avocat-de-louis-xvi/

Je prie Messieurs de Malesherbes, Tronchet et de Sèze, de recevoir ici tous mes remerciements et l’expression de ma sensibilité, pour tous les soins et les peines qu’ils se sont donnés pour moi.

Je finis en déclarant devant Dieu et prêt à paraître devant lui que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancées contre moi.

Fait en double à la Tour du Temple le vingt cinq décembre mil sept cent quatre vingt douze (25 décembre 1792).

Louis”.

 

L’amour du cœur de la France Royale, patrie de la Royauté sortie de la descendance de David, ressort ressuscité en ses héritiers actuels… LES BOURBONS, ( Branche aînée visible et invisible)  descendants actuels du VI° fils de Saint-Louis.

Redisons-le : le pouvoir de Royauté Capétienne doit réveiller dans les cœurs des Français l’amour de la Royauté de Dieu qui a EN FRANCE SON BERCEAU. La vraie grandeur de la France est le pouvoir Royal de Saint-Louis qui fut en terre de France, dans le Sang du Roi Louis XVI et de Marie Antoinette. La France fut pardonnée par le grand cœur du Roi Louis XVI, mort victime pour le Christ par la brutalité de la la révolution diabolique. Le pardon du Roi Louis XVI, EXPRIME DANS SON TESTAMENT, a maintenu à la France le droit à la grandeur de la Royauté de Saint-Louis, qui est Amour et Humilité, celui de reconnaître, dans le Roi de France, le pouvoir de l’Amour Divin…

NOUS POUVONS AVOIR A NOUVEAU  LE ROI. Dans le silence et la prière, Dieu choisira Son Elu pour le bien de la France et du monde, Grand Monarque du Sang Royal de France.

Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie.

     * Le pieux religieux, dont parle le Marquis n’est autre que Monseigneur Marcel Sorel de Sainte-Foy-la Grande (proche Bergerac : 33220)  connu par le Docteur d’une manière miraculeuse au Sanctuaire de San Damiano à la fin de 1969, comme le dit le Docteur lui-même à Nice en 1991, à l’occasion de la deuxième conférence tenue dans cette ville, et qui , entre autres,  fut organisée par la Charte de Fontevrault: “ Je veux vous aider à présent à mieux comprendre que ce que je dis n’est pas un fanatisme monarchique à moi, mais seulement la Vérité réaffirmée par Marie dans chacune des ses révélations importantes’.

https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2019/05/05/antonella-pigati-volto-expose-sur-le-cahier-de-lamour-du-dr-luigi-gaspari-fontevraud/

0 thoughts on “Hervé Volto. Saint Padre Pio et Le testament de Louis XVI.( Seconde mise en ligne que j’espère correcte).

  1. Hervé J. VOLTO

    Comme d’habitude, merci à Alain TEXIER pour les illustrations et la mise en page améliorée.

    Cette année 2021, le procès en béatification * du dernier Roi des Deux Siciles, François II, Descendant de Ferdiand I° et de Marie-Caroline – la soeur de Marie Antoinette- a été introduit auprès de la Curie Romaine. Nos amis Néo-Bourbonniens et les princes de Bourbon-Siciles rappellent tous les ans le souvenir Roi François II, dont l’épouse était la soeur de Sissi ( l’impératrice Elizabeth d’Autriche) , le 19 janvier et s’associent à la mémoire de Louis XVI, le cousin Français.

    Le saviez-vous ? lorsque Louis XVI fut décapité, un inconnu prit la tête de du Roi, la leva et la montrant au peuple en criant :

    Jacques de Molay, te voici vengé !

    Pour le faire taire, Dieu répandit immédiatement un miraculeux parfum suave qui embaumât toute la Place de la Concorde, démontrant par là que Louis XVI était Saint à Ses yeux.

    Beaucoup de personnes présentes ce moment là se mirent à pleurer :

    Oui, le Roi était vraiment le Fils de Saint Louis !

    L’histoire du parfum miraculeux se sut et se répandit dans toute la France. La faourouche résistance Contre- révolutionnaire des Vendéens et des Chouans viendrait peut-être de là…

    * https://constantinianorder.net/ouverture-du-processus-de-beatification-de-francois-ii-de-bourbon-des-deux-siciles/?lang=fr

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