Quelques éléments d’actualité à l’occasion de la commémoration – avancée d’un mois –des combats de Cravant (1423)

Chers amis,

     Quelques mots à partir de cette information locale, apparemment bien anodine, sur la commémoration avancée – de presque d’un mois – (je n’en connais pas l’explication « officielle », s’il en est une) des 600 ans de la bataille de Cravant en 1423, infléchissement important du rapport de force au cours de cette guerre de cent ans en faveur des anglo-bourguignons contre les français qui, 5 ans plus tard, allait conduire les anglais à mettre le siège devant Orléans, à l’automne 1428, pour en finir, une bonne fois pour toutes, avec ce « petit roi de Bourges »…

      Plus de 7500 hommes ont perdus la vie dans cette sanglante défaite pour les français https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Cravant

    Je serais, n’est ce pas, dans mon rôle de délégué de la Charte à l’interprétation des temps et de lieux, en vous disant qu’on pourrait simplement voir là un « défaut de résonance » avec la réalité historique à moins qu’il ne s’agisse, au contraire, d’entrer en grande résonance avec l’actualité contemporaine – même si ses ressorts cachés ne sont certes guère perceptible qu’en filigrane – pour signifier très propitiatoirement que l’heure n’est plus à la victoire des ennemis du roi de France et témoigner du fait que ce dernier roi de France et Grand Monarque choisi par Dieu, notre contemporain, est déjà subtilement “à la manœuvre” au regard de l’actualité internationale… 

      Petit retour en arrière, au début de ce mois : pour ma part, en filigrane, à l’interrogation : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir (du déploiement eschatologique de l’histoire du Salut) ? », j’ai clairement entendu cette réponse, le 8 juin : « – Anne : Si ! » (Annecy, l’attentat notamment contre les 4 enfants…) 

       Car, à l’instar de la venue de notre Seigneur (« le fils de l’homme ») qui s’était accompagné du « massacre des saints innocents », ce « massacre contemporain des saints innocents (dont les 4 enfants poignardés), en réponse à la question précitée pourrait bien avoir signalé la naissance opérative dans le monde de quelqu’un ressemblant au « fils de l’homme »  qu’est le Christ ; un presque « fils d’homme », lieutenant contemporain de notre Seigneur et dés lors dernier roi de France et Grand Monarque choisi par Dieu, venant jouer son rôle à l’échelle du macrocosme, figure actualisée et contemporaine de ce précurseur que fut saint Jean Baptiste pour préparer ultimement le retour du Christ en Roi de Gloire. Cette annonce a en effet été faite faite à la manière d’un Phœnix renaissant de ses cendres : au jour de la mort de l’enfant du temple, selon cet heureux dénouement traditionnellement attendu : « Jour de la mort mis en nativité » 

       Pour parvenir à cette compréhension, je me suis notamment appuyé au moment des faits sur des éléments communiqués à l’un de nos membres cf. ci-dessous (1).

     Je précise que, selon moi, l’affirmation de cette renaissance de la royauté en la personne de ce dernier roi de France, au jour anniversaire des 228 ans du martyr de cet enfant royal revêt un caractère éminent symbolique sans pour autant qu’il faille y voir l’indication de la « branche cachée » d’où est issu ce dernier roi. Ce sont deux aspects distincts. L’importance de ce jour là résidait dans le symbole de renaissance de la figure royale dont elle était porteuse.

          Or, n’avez-vous pas été frappés, comme moi, par le fait que deux semaines plus tard, c’est précisément au jour de la saint Jean Baptiste, le 24 juin, que le groupe Wagner qui, depuis la veille, progressait sur Moscou sans quasiment rencontrer la moindre opposition de l’armée régulière a soudainement fait demi-tour en fin de journée, d’une manière totalement improbable, inattendue et encore largement inexpliquée des observateurs, puisqu’aucun des 3 objectifs poursuivis ouvertement par le démon Prigogine n’a été atteint : la mise sur la touche de Guerassimov et Choïgou et le renoncement de l’État russe à enrôler les combattants du groupe Wagner dans l’armée régulière. (cf Pierre Servent https://www.tf1.fr/tf1/jt-we/videos/retrait-de-wagner-je-vois-mal-quil-ait-pu-prendre-cette-decision-sans-avoir-obtenu-la-tete-de-ses-deux-betes-noires-pierre-servent-sur-tf1-50729738.html)

       Par bonheur, une confrontation sanglante pourrait bien ainsi avoir été évitée qui aurait bien pu dangereusement déstabiliser cette puissance nucléaire et déséquilibrer la géopolitique mondiale d’une manière incontrôlée, comme si se manifestait subtilement dans le monde la présence d’ores et déjà véritablement opérative de ce saint Jean Baptiste contemporain, dernier roi de France et Grand Monarque annoncé et ce, le jour même donc, 24 juin, jour de la fête de saint Jean Baptiste, au jour de sa fête, devrais-je presque écrire, puisqu’il est, quant à lui, ce précurseur qui vient par sa présence dans le monde inaugurer des temps nouveaux destinés à préparer ultimement le retour du Christ en roi de Gloire…

         Pour moi, l’événement d’Annecy revêtait donc une portée véritablement eschatologique, venant annoncer par avance la naissance opérative dans le monde de ce dernier roi de France dont on aura vu le premier coup d’éclat, subtil, ce 24 juin au jour de sa fête, la saint Jean Baptiste avec le si improbable demi-tour des troupes de Prigogine qui a permis d’éviter que l’on entre aussi vite dans une zone de grande instabilité. 

On croira m’objecter que le massacre des saints innocents était postérieur à la naissance du Christ, mais justement dans ce monde profondément inversé, au sein d’une humanité structurellement débilitée, faite esclave du péché et des idoles, la miséricorde divine veille à ce que nous soyons préparés par avance, autant que faire se peut, à ce qui va arriver. Regardez ces autres signes qui ont été donnés tout récemment : le 16 juin l’important tremblement terre qui a frappé l’ouest de la France, avec un pic de destruction sur la commune de La Laigne (17170), qui signifie « en lisière » de forêt, puis la semaine dernière, le 21 juin au jour du solstice d’été : l’explosion du 277 rue saint Jacques à Paris qui, quant à elle, a eut lieu « en lisière » du val de Grace…

       Nota : Le jour de la bataille, le 31 juillet est la fête du saint patron d’Auxerre à 15km de là, saint Germain d’Auxerre (378-448), l’évêque du Vème siècle, pourfendeur du pélagianisme

Bien à vous

Alain Beauregard

P: une des dernière interventions de Pierre Servent hier matin sur France Inter https://www.youtube.com/watch?v=KltyxUDR8JM

(1) J’avais alors écrit à un membre de la charte : « Tu as peut-être prêté attention au nom des 6 blessés dont les 4 enfants (je n’ai que leur prénoms) :

– Enio 2 ans, Alba 2 ans, Ettie (GB) 3 ans et Peter (néerlandais) 22 mois pour les enfants ?

– Yusuf et Manuel (portugais) pour les personnes âgées.

     Avec ces 6 initiales, on peut écrire : « A MY EPEE » en franglais, en cohérence avec la portée mondiale de l’événement,  soit en bon français : « À mon épée » !  

     Dés lors, avec au préalable la répétition à deux reprises par l’assaillant de cette invocation : « Au nom de Jésus Christ », le « fils de l’Homme » par excellence, nous voici directement renvoyés à un épisode effectivement inaugural : celui décrit en Apocalypse 1. 16 : « De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants », sachant que saint Jean parle précisément là de : « quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme » Apocalypse 1 ; 13

     Pour ma part, je considère donc comme signifiant le fait que l’assaillant a agit « Au nom de Jésus Christ » pour blesser gravement par arme blanche 4 enfants et 2 adultes dont les initiales des prénoms, seuls communiqués, permettent d’écrire « À mon épée ». 

      Ainsi, se trouve en effet précisé de qui l’on parle, ressemblant à un « fils d’Homme » dont la naissance a été concomitante à ce massacre des innocents. La référence au début du texte del’Apocalypse 1.16 : où « quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme » brandit « de sa bouche une épée aiguë, à deux tranchants » constitue selon moi, l’annonce de ce dernier roi de France et Grand Monarque choisi par Dieu, tel donc qu’on est en mesure de le comprendre grâce à cette verbalisation sur laquelle j’attire ton attention. 

    Car qui d’autre que Saint Jean Baptiste * peut le mieux ressembler à un fils d’homme puisque de lui, le Christ a dit : « Je vous le dis en vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n’est venu personne de plus grand que Jean-Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui. » Matthieu 11.11

  • NDLRB. Saint Patron de la Charte de Fontevrault.

3 thoughts on “Quelques éléments d’actualité à l’occasion de la commémoration – avancée d’un mois –des combats de Cravant (1423)

  1. Jo

    Cet article suppose donc implicitement que le messager de Malachie 3:1 sera le futur monarque… donc tout ce que j’ai dit dans mes commentaires.

    Ainsi Malachie 3 n’est [pas] concerné par la Seconde Venue au Jugement Dernier… mais la venue du Dieu Trine dans le Jugement du Sixième Sceau, Apocalypse 6:12-17.

    Sur le site : https://lecatho.fr/culture/dou-vient-la-croyance-du-grand-monarque-qui-doit-diriger-la-france/ .. il est précisé ce qui suit : Ensuite apparaîtra le grand monarque qui sera un Lys, amené par le Pontife Saint et un prince du nord qui se convertira (alias, nouvellement converti) mais il viendra par le Midi de la France.

    Donc: …. le prince converti du Nord (Pays-Bas) est la brindille mais aussi l’arbre sec dans Ezéchiel 17:22-24. L’arbre sec est ainsi une référence implicite à une conversion nécessaire pour devenir éventuellement un grand cèdre (Nostradamus VIII-97). La montagne haute et élevée fait référence à Hébreux 12:22 et au Psaume 48(47).

    A la venue de l’antéchrist, à la fin de l’âge de paix, le grand monarque transférera sa couronne avec le pape au descendant de Louis XVI et de Louis XVII… un autre grand monarque qui combattra les armées des antéchrist combat. Lui, le grand monarque ne sera plus qu’un prince et servira volontiers son successeur, Nostradamus II:89.

    On peut aussi le lire dans le livre de Melito San Miguel sur la prophétie de saint Angélique et la prophétie de la sœur de Belley.

    La femme qui sauvera le prince a en fait et en fait à voir avec les trois femmes de Nostradamus VIII-97 ..mais ce que vous devez voir en relation avec Nostradamus II:69. De ces trois femmes, il dépend comme un bébé de sa mère… c’est-à-dire qu’il reflétera son moi intérieur à ces trois femmes… sa propre voie, mais en même temps leur voie de repentance, Esaïe 49:8.

    Chacune des jeunes femmes de ces trois femmes rayonnera donc une partie d’elle-même ‼️.. la quatrième sera sa reine, Psaume 45.. cette quatrième femme est comme une autre Bernadette de lourdes. Une référence à ces quatre femmes peut également être trouvée chez l’enseignante stigmatisée Teresa Higginson. J’ai donc mes propres informations cohérentes……..secrets.🤫..🤭

    Le fils de l’homme dans Daniel 7:13-14 .. là il s’agit du grand Monarque, car il est écrit qu’il a marché devant le Très Âgé .. et a été conduit pour Lui ‼️. Cette personne est donc en situation de dépendance. Jésus-Christ en tant qu’Agneau dans Apocalypse 5: 7 se tient seul devant Dieu le Père .. remarquer cette distinction est essentiel.
    Jo

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