Interessez vous “Au grand bazar de la sécurité “. Aprés tout c’est de votre peau qu’il s’agit.

Au grand bazar de la sécurité : garde nationale ? réserve opérationnelle ? polices locales ? milices privées ? unités territoriales ? Août 4, 2016 |

Il y en a pour tous les goûts sécuritaires … et pour toutes les interprétations.

Certains voient dans l’activation de la réserve ou la création d’une garde nationale les initiatives bien tardives d’un système à bout de souffle qui n’a pas su anticiper. Pour Jean Dominique Merchet (directeur du remarquable blog « secret défense ») http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense?gclid=CPW2uOG5sc4CFWMz0wodQMYPZg« cela relève de la gesticulation politique ».

D’autres verront dans cette garde nationale un moyen de faire sortir du bois les « fana mili » et autres identitaires qui vont se précipiter pour s’enrôler … et ainsi se désigner à l’attention des fabricants de complots. Mais il y a ceux aussi qui prendront au pied de la lettre le discours public visant à associer les citoyens à la lutte contre des menaces bien réelles. Ces derniers seront d’ailleurs nombreux et leur encadrement est déjà un véritable enjeu de pouvoir.

Vieille comme la révolution française la notion de garde nationale évoque irrésistiblement un ersatz de force armée dont la « politisation » inéluctable est inhérente au système des partis; d’où l’extrême importance de son encadrement. La profonde coupure existant entre les instances gouvernementales et la société civile doit conduire à privilégier les initiatives locales plus faciles à déconnecter des stratégies partisanes (les partis vont s’en donner à cœur joie pour instiller leurs idéologies dans les différents mouvements de mobilisation civique).

Les polices municipales, les élus chargés de la sécurité, les acteurs du quadrillage territorial (paroisses, association à vocation civique, culturelles et cultuelles, presse locale notamment hebdomadaire, …) sont des acteurs qu’il faudra prioritairement associer pour conduire la guerre dont le gouvernement nous annonce tous les matins la réalité.

On se souviendra ici des études de Loeiz Laurent sur « le pays zone élémentaire de défense » dont on aimerait voir les travaux repris par l’IHEDN. Soyons encore conscient du fait que ces appels gouvernementaux, tant à la réserve qu’à la garde nationale visent à purger la société des éléments les plus dynamiques (ou les plus activistes !) qui initient déjà à travers la France des embryons de milices privées ou tout simplement des réseaux de sécurisation (par exemple « voisins vigilants »). Une course de vitesse est engagée entre les facteurs de désagrégation de la société et les capacités de l’Etat à les combattre.

Et si la réponse pertinente venait des collectivités et des corps intermédiaires ?

  • “Carrefour des Acteurs Sociaux” <dircas@cas-france.org>
  •   Note d’information du Carrefour des Acteurs Sociaux du 8 août 2016

1 thought on “Interessez vous “Au grand bazar de la sécurité “. Aprés tout c’est de votre peau qu’il s’agit.

  1. Hervé J. VOLTO

    La sécurité n’est pas un basard : c’est une chose sérieuse.

    LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE
    LE ROI ET LA SECURITE PUBLIQUE

    Pour assurer la sécurité des Français, il faut :

    1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.
    2. Se doter des moyens de répréssion des délinuqnts et des criminels.
    3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.
    4. Punir les crimes et les délits.
    5. Moderniser le système pénitenciaire.

    1. Rétablir les prérogatives du pouvoir judiciaire.

    Assurer l’indépendance des juges, bannir constitutionnellement la politisation de la magistrature, supprimer l’Ecole Nationale de la Magistrature, renforcer les moyens du pouvoir judiciaire, revaloriser le statut des juges, rétablir la justice de paix, permettre au Roi de casser toute décision de justice et de juger en dernier recours, d’arbitrer entre jusitice civile et justice adminsitrative, de présider en personne le Conseil Supérieur de la Magistrature et la Haute Cour de Justice.

    2. Se doter des moyens de repression contre les délinquants et les criminels.

    Uniifier et renforcer le moyens de polices/gendarmerie, améliorer la formation et la rémunération des policiers et des gendarmes, supprimer toute imposition directs aux fontionnaires des forces de sécurité publique car payant déjà l’Impôt du Sang, augmenter les moyens matériels de la police/gendarmerie, multiplier la présence de policiers en civil dans les zones urbaines, décharger les services de police/gendarmerie des tâches adminstratives, libérer les forces de police/gendarmerie de la tutelle des Publics Ministères, accorder soutient et considération aux forces de police/gendarmerie, généraliser les titres légaux infalsifiables, faciliter les contrôles d’identité et le prolongement des gardes à vue.

    3. Assurer la prévention du crime et de la délinquance.

    Inverser les fluxs de l’immigration non-Chrétienne, conforter la famille comme lieu d’éducation, refaire de l’école un instrument d’apprentissage des disciplines sociales, détruire le ZUP, humaniser les zones urbaines à fort taux de délinquence, sanctionner les manifestations publiques d’incitation à la débauche et à le violence.

    4. Punir le crimes et les délits.

    Faire appliquer les lois, réhabiliter la notion de peine prompt, certaine et imconpréssible, réduire les délais des procédures de justice, réduire l’écart entre le minimum et le maximum de la peine, rétablir la peine de mort pour les crimes de sang, ré-échelonner les peine, rendre possible le jugement des ministres et des magistrats par le Roi, faire appliquer les décisions de jutice, expulser les criminels et les délinquants étrangers au second délit.

    5. Moderniser le système pénitenciaire.

    Créer sur le modèle itlaien un statut de POLICE PENITENCIERE pour les gardiens de prison, donner à la police pénitencière le monopole de transport et de transfert de prisonniers, libérer des places de prison, rétablir les quartiers de haute sécurité, séparer les différantes catégories de détenus, revaloriser le statut social et financier des policiers pénitenciaires.

     

    LE ROI ET LA DEFENSE DU ROYAUME

    Pour reconstruire l’armée, il faut:

    1. Réunir les consditions politiques de la Défense.
    2. Se donner les capacité d’intervenir à l’extérieur.
    3. Organiser la défense intérieure du territoire.
    4. Doter les armées des moyens de leurs missions.

    1. Réunir les conditions politiques de la Défense.

    Interdire la carrière militaire aux étrangers non-Chrétiens, à l’execption de la Légion Etrangère, les officiers étrangers non Chrétiens pourront être reclassés au sein de la Légion Etrangère, rendre en compte les nouvelles menaces (la présence à l’Est de stocks d’armes, la monté de l’islamisme, la migration planétaire de populations non-Chrétiennes), assurer le soutient militaire de la politique étrangère, préserver l’indépendance militaire de la France (maintenir une patrie de l’armée pourdéfendre le territoire Français et son domaine Outre-Mer), mettre en oeuvre une alliance militaire européenne (constituer une patrie de la’rme préposée à l’intervention sur le territoire européen), développer l’esprit de défense chez les Français, développer le culte de l’armée, du drapeau, du soldat inconnu et de Sainte-Jeanne d’Arc, honorer toutes les “générations du feu” (nécessité d’une information Royaliste auprès des généraux, amiraux, maréchaux).

    2. Se donner la capacité d’intervention à l’extérieur.

    Trippler le budget de la Défense, adapter nos armes nucléaires à la nouvelle donne stratégique (développement d’emploi antiforce et non plus seulement anticités), créer une force terrestrre d’intervention polyvalente (une dizaine de grande unités, prticulièrement bien équipées en hélicoptères de combat, en missiles anti-char et anti-aérien ainsi qu’en blindés légers, possiblité d’intervention en Europe, en Afrique et en Outre-Mer), renforcer les capacité d’intervention de la marine (dipsoser en permanace de deux groupes aéronavals en ètat de prendre la mer, donc posséder 3 porte-avions au minimum , 5 dans le meileurs des cas, une dizaine de sous-marns nucléaire d’attaque, une soixantaine d’avions de combat de l’aéronavale, des radars aéroportés, des batiements de luute anti-aérienne et anti-soumarine et de sotuient logistique), accroître les moyens opérationels de la force aérienne tactique (avec six escadrons nucléaires et une vingtaine d’escadrons polyvalants, il est possible d’effectuer dignement les missions, à condition de posséder un parce modernisé d’au moins 400 avions de combat en ligne), doter nos forces de moyens aériens de projection à longue distance (possibilité de transporter une brigade à 5.000 kilomètres en 24 heures, puis d’assurer sa logistique; ces mme avions devront posséder de capacité de ravitaillment en vol), développer les moyens de renseignement (un effort imèportant doit être consentit au profit de la DGSE, des satélites de reconnaissance et de tous les systèmes d’information et de commendement, et que des moyens d’écoute et d’analyse des télécommunications).

    3. Organiser le défense intérieure du territoire.

    Créer une défense anti-missile (améliorer la couverture radar sur la Méditérannée, lancer l’étude d’une défense anti-missiles balisitiques mettant sous protection ls cités les plus vulnérables, la défense aérienne sera doté d’une plateforme supplémenraire pour ses intrecepturs, dans ls Sud de la France ou(et) en Corse), constituer une garde de volontaires (composèe d’une cinquantaine de demi-brigade et formés de volontaires, avec pour mission de rendre plus difficile l’accès à notre territoire en métropole en cas d’agression conventionnelle, de participer aumaintient de l’ordre en renfort de la gendrameire -sur le modèle des Sentinelles à améliorer- servir de réservoir de personnel déjà formé pour compléter ls forces d’intrevention en cas d’urgence), restaurer la gendarmerie -à qui l’on peut redonner son nom originel de Maréchaussée- dans ses missions de sécurité publique d’une part et de police militaire d’autre part (décherger la gendarmerie des des taches administratives), créer un organisme de contrôle des frontière et de contrôle de populations étrangères (à l’image du service des douannes, à renforcer, regrouper certaines compétances aujourd’hui Police de l’Air et les Frontières, les Renseignements Teritoriaux (ex-Renseignements Généraux), la DGSI et les Douannes volantes, avec mission de rendre les fontières étanches à l’immigration clandestine et de controler les étrangers présents sur le territoire national), réhabiliter la potection des populations civiles (lui donner les moyens de lutter contre les catastrophes naturelles, les risques industriels majeurs, chimiques, nucléaires, bactériologiques, les accidents divers -aériens, férovières, routiers et autoroutiers- les actions hostiles de terrorisme et d’espionage ), supprimer constitutionnellement toute imposition directe aux membres des forces armées, de gendarmerie et aux forces de protection civile qui paient déjà l’Impô du Sang.

    4. Doter les armées des moyens de leurs missions.

    Tripler le budget actuel de la Défense, soutenir l’industrie de l’armement, rendre à l’Armée la considération qui lui est due (augmenter les soldes et les compétences, punir tout acte d’anti-militarisme), interdire consitutionellement toue conscirption et maintenir le volontariat, doter d’un statut les personnels de réserve (la création de la garde de volontaire évoquè plus haut redonnera utilité et intéret aux réserves), rétablir les Ordres du Roi et l’anoblissement des officiers.

     

    LE ROI ET LE RENSEIGNEMENT

    Comment renforcer le Renseignement?
    1.Développer les moyens de renseignements.
    2. Réunir les conditions politiques du renseignement.
    3. Se donner les capacités d’intervention à l’extérieur.
    4. Organiser la sécurité nationale.

    1. Développer les moyens de renseignement.

    Développer les moyens concrets (trippler le budget de la DGSE et doubler le budget de la DGSI, effort consentit au profit des satélites de reconnaissance, et tous les systèmes d’information et de commendement, ainsi que des moyens d’écoute et d’analyse), crééer un organisme de défense des frontières et de contrôle des populations étrangères (regrouper certaines compétances aujourd’hui Police de l’Air et les Frontières, les ex-RG, l’ex DST et les Douannes), redonner aux RT (ex-RG) leurs compétances en matière de contrôle politique, placer la lutte anti-terroriste sous le contrôle de la DGSI, renforcer la notion de Secret Défense, rétablir les Lettres de Cachet uniquement à usage Royal et uniquement pour les cas de crime de lèse-majesté, d’atteinte à la sureté de la nation, le terrorisme et de tout problème regardant la sécurité du territoire (le Roi s’engagera à n’utiliser en aucun cas les Lettres de cachet pour des affaires de droit commun).

    2. Réunir les conditions politiques du renseignement.

    Prendre en compte les nouvelles menaces (la présence à l’Est de stocks d’armes, la monté de l’islamisme, la migration planétaire de populations non-Chrétiennes), assurer le soutient financier de la politique du renseignement (passer des paroles aux faits, donner plus de moyens humains, technogiues et… financiers à nos services, revaloriser les Fonds Secrets), préserver l’indépendance du renseignement (Le SGDN doit relever directement du Chef de l’Etat et non plus du I° Ministre), honorer les hommes de l’ombre (Bond! James Bond!).

    3. Se donner les capacité d’intervenir à l’extérieur.

    Adapter nos résaux de renseignement à la nouvelle donne stratégique (Nos Services sont très bons au Levant, au Maghreb, et dans certaines parties de l’Afrique, il faut développer un regard vers l’Amérique Latine et l’Asie du Sud-Est), renforcer le service action de la DGSE (Nous possédons d’exellants Commendement d’Opérations Spéciales (COS), Commendos de Recherche et d’Action en Profondeur (CRAP), Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMA), commendos de de renseignement des Recherches Humaines et autres Dragons, qui valent bien les Delta Force américains: il faut leur donner plus de moyens, plus de budjet! ), créer une force d’action polyvalente (sur le modèle du Commendement des Opérations Spéciales, créer des Commendos d’Opérations Spéciales pouvant agir indiféremment sur terre, sous la mer et dans les airs, sélectionant les meilleurs marsoins, les meilleurs paras et les meilleurs fantômes des Recherches Humaines), créer une unité fantôme pour le travail « bagnato » si la lutte anti-terroriste sur le terrain recquiert une action directe en situation extrême, ce qui n’exclue pas en tenps ordinaire l’emploi des forces spèciales en uniforme de l’Armée Française.

    4. Organiser la sécurité nationale.

    Réunir le Conseil de la Sécurité Interieure et le Secrétariat Général de la Défense Nationale en un conseil unique dit Conseil de la Sécurité Nationale, CSN rattaché directement et exclusivement au Chef de l’Etat, modifier la directive « Télévision sans Frontière » afin d’y inclure une disposition relative à la lutte contre la propagande terroriste, cette exigence technologique s’appliquant tout particulièrement aux communication électroniques, certaines données techniques doivent pouvoir être transmises plus rapidement au services spécialisés.

    PS : merci à Jean Réno d’avoir rendu hommage à nos officiers traitants dans « Godzilla »…

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