Corona virus. Le professeur Karine Lacombe , spécialiste de l’actuelle pandémie, a plusieurs fers aux feux dont certains dans des laboratoires pharmaceutiques.

Karine Lacombe : “Il faut généraliser la troisième dose de vaccin à tout le monde”

La professeure Karine Lacombe, infectiologue et cheffe de service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine (AP-HP), est l’invitée de Léa Salamé

https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-7h50/l-invite-de-7h50-du-mardi-09-novembre-2021

Collaborations de recherche avec l’industrie pharmaceutique
De 2011 à 2016, Karine Lacombe, qui s’investit dans la recherche clinique visant à développer de nouveaux médicaments d’infectiologie, mène des essais cliniques en tant que médecin investigateur coordonnateur, participe et intervient dans des réunions d’experts et des conférences professionnelles en collaboration avec des entreprises pharmaceutiques : Bristol-Myers Squibb, Gilead, AbbVie, Janssen et Merck & Co.. Ces interventions portent sur le VIH et les hépatites B et C10.

Le 9 septembre 2021, sur BFM Business, Karine Lacombe présente un traitement préventif de la Covid-19 en cours d’expérimentation au stade préclinique, un anticorps monoclonal développé conjointement par l’entreprise de biotechnologie française SpikImm et l’Institut Pasteur ; Karine Lacombe est membre du conseil d’administration de SpikImm65,66.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Karine_Lacombe#Collaborations_de_recherche_avec_l’industrie_pharmaceutique

 

1 thought on “Corona virus. Le professeur Karine Lacombe , spécialiste de l’actuelle pandémie, a plusieurs fers aux feux dont certains dans des laboratoires pharmaceutiques.

  1. Jean-Yves Pons

    “S’investir dans la recherche clinique pour développer de nouveaux médicaments d’infectiologie, mener des essais cliniques en tant que médecin investigateur coordonnateur, participer et intervenir dans des réunions d’experts et des conférences professionnelles en collaboration avec des entreprises pharmaceutiques…” n’est ni une tare ni la marque obligatoire d’une collusion avec l’industrie pharmaceutique. Car, si les meilleurs d’entre nos médecins ne le faisaient pas, qui pourrait le faire ? Et où seraient les progrès de la science ?
    Un seul pays au monde ne l’a pas permis, l’URSS avant 1990. On sait ce qu’était la médecine là-bas, à cette époque. N’est-ce pas Dr Lissenko ? !!!

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