9 thoughts on “Et si vous demandiez au “bébé” avorté si l’avortement est bien “constitutionnel” ?

  1. Hervé Joseph VOLTO

    Marion Maréchal était l’invitée de l’émission “22h Max” sur BFMTV. Les sujets au programme : la réforme des retraites, la nécessité d’une politique nataliste pour notre pays, notre opposition au projet de répartition des migrants à Callac. Mais aussi sa ligne économique : moins d’Etat, plus de libertés. Enfin, elle est revenus sur les chiffres alarmants du Ministère de l’Intérieur sur l’immigration en 2022 dans notre pays

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  2. Catoneo

    Le texte originel de la loi Veil en faisait une loi d’exceptions. S. Rakotoarison le dit très bien dans son article chez Agoravox.
    Mais on pouvait alors anticiper que la fracturation de la porte de l’interdit appelerait plus tard les pires dérives, comme la division des foetus tardifs (en clair, on démonte le bout de chou membre par membre dans la matrice avant de les extraire). Toutes ces précautions furent balayées, j’en suis témoin, les féministes tenaient enfin la queue de trajectoire de leur revendication. Ce n’était plus qu’une question de temps et de circonstances (mandat Hollande).
    Aujourd’hui on retombe dans la même myopie quand le Sénat (de droite) appelle à constitutionnaliser la liberté d’avortement. De fil en aiguiille le meurtre délibéré des foetus prêts à naître sera protégé un jour par la Constitution.
    C’est une question qui ne mérite pas non plus l’outrance d’où qu’elle vienne. Elle est trop grave.

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  3. Hervé Joseph VOLTO

    En Pologne, l’avortement n’est autorisé que dans 4 cas extrême :

    -Viol.
    -Inceste.
    -Malformation irréversibel du foetus.
    -Mise en danger immédiat pour la santé de la furure maman.

    Hormis ces 4 cas extrême, l’avortement st ne Pologne un crime et un délit.

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  4. Alain Texier Post author

    Lettre hebdomadaire de Bruno Belin N° 313 -Semaine du 6 février 2023

    Suite à la publication du billet « A contresens » de B.Bize le 3 février, je tenais à rectifier :

    Le récit de l’Histoire n’est pas toujours l’Histoire.

    Mercredi soir le Sénat a adopté un amendement de Philippe BAS (LR) que je n’ai pas voté car il se voulait être un pare feu à la demande d’inscrire l’IVG dans la Constitution.

    L’IVG n’est pas menacée en France.

    On a importé des Etats-Unis, un débat qui n’a pas de raison d’être ici.

    La Constitution n’a pas vocation à être un catalogue infini de droits.
    La Constitution est faite pour organiser la vie démocratique du pays. Il ne faut pas se tromper de débat !

    L’amendement de Philippe BAS, mercredi soir, parle de « liberté » de l’IVG. Nous n’en sommes plus là. Celle-ci existe depuis 1975. Elle est même garantie par une jurisprudence du Conseil constitutionnel.

    Le groupe majoritaire au Sénat ne souhaitait pas esquiver la demande de constitutionnalisation du droit à l’IVG par le biais de cet amendement.

    Membre de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes depuis mon entrée au Sénat, élu en charge de toutes les politiques sociales pendant onze ans au Conseil Départemental de la Vienne (2004 – 2015), j’ai systématiquement, comme chacun sait, fait mienne la cause des femmes.

    C’est dit !

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