Hervé Volto. LE ROYALISME EN QUESTION – ou de l’utilité du Royalisme.

Si en Grande Bretagne, il n’existe qu’un seul corps diplomatique, en Belgique il en existe deux: le corps diplomatique ordinaire, qui est le même que celui qu’Outre-Manche, et le corps diplomatique européen. En Italie, il existe quatre corps diplomatiques: le corps diplomatique ordinaire, le corps diplomatique du Vatican, le corps diplomatique de la République de Saint Marin et… le corps diplomatique de l’Ordre Souverain de Malte! un véritable travail d’équilibrisme pour les spécialistes en relations internationales…

Quand, sur le parvis de la Basilique Saint-Pierre de Rome, le Roi et la Reine d’Espagne, le Roi et la Reine des Belges, la Famille Grand-Ducale du Luxembourg au grand complet et le couple Princier du Liechtenstein défilent avec Grâce et naturel devant le Souverain Pontife pour lui présenter leurs hommages, les dames en blanc –privilèges des Souveraines Catholiques- tous et toutes introduits avec élégance par de hauts dignitaires de l’Ordre Souverain de Malte (en tenu de gala et en gant blancs, s’il vous plait !) associés au service protocolaire du Vatican, et que pour représenter la France, c’est un jeune Premier Ministre évasif et guindé, en costume terne (et même pas une Légion d’Honneur à la boutonnière ; NDLRB. Le Premier Ministre n’en a pas encore été décoré.), venu sans madame représenter la République Française, qui salue Sa Sainteté à la volée… on mesure là le degrés de déclassement de notre pauvre France.

INTRODUCTION.

Que la Monarchie Française soit utile ou même nécessaire, cela ne prouve et ne convainc personne. Il faut d’abord, qu’elle soit aimée, a dit votre Georges Bernanos!

Un ami italien, membre de la Garde d’Honneur des Tombes Royale du Panthéon de Rome, a rappelé à votre serviteur cette auguste vérité.

Aussi est-il apparu à votre même serviteur de faire un raisonnement sur l’utilité du Royalisme et de rappeler la nécessité impérieuse de l’action Royaliste, rappelant que pour que la Monarchie soit aimée, il faut bien qu’elle soit… utile, et que beaucoup de lois sociales dont profitent les Français aujourd’hui sont justement des lois Royalistes.

I . DE LA RÉVOLUTION À LA RESTAURATION.

Les résistants Contrer évolutionnaires du Conseil Supérieur de l’Armée Catholique et Royale de Vendée, fidèles de la Tradition Catholique -Testament de Saint-Rémy oblige- militent activement pour tenter de restaurer les principes politiques qui ont façonné la « Chrétienté » : Religion Catholique d’Etat, doctrine et Règne du Christ-Roi, Syllabus (qui sera définit plus tard), et s’opposent à ceux de la Révolution dite Française (de 1789), du libéralisme, du modernisme et du progressisme, dans l’Église.

De plus, au lendemain de la Révolution dite Française, le spectacle de la misère ouvrière a amené un certain nombre de personnalités Royalistes à réfléchir sur un projet global de société qui donne réponse à la question sociale. Ces Contrerévolutionnaires vont élaborer des théories mais aussi proposer des mesures concrètes et des actions à entreprendre.

L’ordre des Chevaliers de la Foi est une société secrète qui a été fondée en 1810 pour défendre le Catholicisme et la Monarchie légitime. Durant la période du Premier Empire, il a pour objectif le rétablissement de la Monarchie Royale Française Très Chrétienne. Celle-ci restaurée, le 18 Novembre 1814, Louis XVIII fait voter la première loi Française sur le repos hebdomadaire.

II. DE1822 A 1871: PREMIERES INITIATIVES, ECHECS APPARENTS.

Des Aristocrates, Catholiques par tradition, vont se pencher sur la question sociale en vertu du devoir des classes privilégiées envers les classes les plus humbles. Dans les années qui suivent l‘exil de Charles X, le Vicomte Albin de Villeneuve-Bergeron, préfet du Nord, dans L’Économie politique chrétienne en 1834, attire l’attention sur la misère des ouvriers et le problème social, suivi, à partir de 1838, par Armand de Meulun, fondateur de la Société d’Économie charitable.

A partir de l’exil de Charles X en 1830, le Légitimisme est le mouvement politique Français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de Droit Divin dans la personne de l’Aîné des Capétiens, donc le chef de la Maison de Bourbon, prévu par les Lois Fondamentales du Royaume de France, et opposé à ce qu’ils voient comme la laïcisation et à un droit non-Divin de l’Orléanisme. Pour beaucoup de ces Catholiques le sceau et l’emblème de la contre-révolution est la dévotion au Sacré-Coeur qu’ils arborent dès les guerres de Vendée sur le Drapeau national avec la devise « Espoir et salut de la France » : le Général de Sonis en fera son drapeau.

Sous le Second Empire, le Comte Henri de Chambord entretient des liens réguliers avec les représentants du parti Légitimiste en France, avec lesquels il échange un courrier clandestin. À partir de 1862, il fait connaître ses positions politiques par des manifestes adressés aux Français, se penchant par exemple sur la question sociale dans sa Lettre sur les ouvriers, du 20 Avril 1865.

III. DE 1871 A 1891: EMERGENCE, AMPLEUR INTERNATIONALE.

Parmi ceux qui ont influencé la pensée du Comte de Chambord, il faut citer Mrg Louis-Edouard Pie, évêque de Poitiers, et Antoine Blanc de Saint-Bonnet qui, jusqu’à sa mort en 1880, dénoncera la démocratie, la politique du grand Capital et le socialisme anti-Chrétien. Le Comte de Chambord rédigera sa Lettre à M. de Mun (28 Novembre 1878) pour expliquer aux vrais Catholiques leurs vrais devoirs, défendant le Syllabus de Pie IX.

Ces exemples vont directement profiter, après l’échec de la Restauration, à deux de ceux que l’on considère comme les fondateurs du Catholicisme Social Français, Albert de Mun (1841-1914) et René de La Tour du Pin (1834-1924).

En 1883, à la mort sans enfants du Comte de Chambord, la majorité des anciens Légitimistes a reconnu comme héritier légitime du Trône de France, l’aîné de la branche cadette d’Orléans, le petit-fils de Louis-Philippe, Philippe d’Orléans, Comte de Paris, Philippe VII, ce qu’on oublie toujours de nous dire. Le Légitimisme cesse d’être un mouvement politique significatif en se fondant avec l’Orléanisme dans le Fusionisme. Une minorité légitimistes de L’Univers tentera d’imposer au Comte de Paris une ligne traditionaliste par la création de la Ligue de la Contrerévolution, mais le flou des positions du petit-fils de Louis-Philippe les incite à se réfugier dans le seul combat Catholique-Social: seul Joseph du Bourg se tournera vers les Bourbons d’Espagne.

René de La Tour du Pin écrira quand à lui:

Il y a trois écoles irréductibles en économie sociale: celle ou l’on considère l’homme comme un chose (communisme), celle où l’on le considère comme une bête (libéralisme), et celle où on le considère comme un frère (Catholicisme-Social).

Vite occupé par son action politique et parlementaire pratiquement ininterrompue de 1876 à 1914 comme député du Morbihan puis du Finistère, son ami Albert de Mun participe à l’œuvre de législation sociale de la III° République soutenant l’existence de syndicats mixtes, la règlementation du travail des femmes en 1888 et leur interdiction de travailler de nuit, l’interdiction du travail des enfants de moins de 13 ans en 1890, les réformes du droit du travail sur les accidents professionnels, l’arbitrage dans les conflits, la législation sociale internationale etc… Sa proposition pour les femmes enceintes d’un arrêt de travail obligatoire et d’une indemnité, rejetée en 1892, est reprise sept ans plus tard.

Cependant, René de La Tour du Pin préconise en précurseur quand à lui la création de caisses d’assurances spéciales alimentées conjointement par les patrons et les ouvriers et propose de substituer à la théorie de la responsabilité délictuelle, le principe du risque professionnel. Il propose également l’organisation de caisses de secours et de retraite pour améliorer le sort des ouvriers âgés. Le Front Populaire reprendra l’idée. Les rencontres de Fribourg, auxquelles participent La Tour du Pin et des Catholiques austro-hongrois et bavarois, inspireront le Pape Léon XIII son encyclique Rerum Novarum: c’est une reconnaissance international des Catholiques Sociaux, dont beaucoup sont des Royalistes Français.

IV. PREMIERE MOITIE DU XX° SIECLE, FLORAISON D’INITIATIVES ET D’ACTIVITES.

Selon Stéphane Rials, il existe une fausse symétrie entre Légitimisme et Orléanisme. Cette tendance poussée à l’extrême, et une désintérêt des Princes Carlistes pour la cause Française, conduira certains Légitimistes au prophétisme et à l’attente du Grand Monarque: de là naîtrons les Providentialistes.

Les liens entre Catholicisme ultramontain et Royalisme ne cessent de se renforcer au XIXe siècle. Née des retombées de la guerre de 1870 et de l’Affaire Dreyfus, l’Action Française, et la démarche maurrassienne est marginale dans la tradition Monarchique: même si Maurras prône un retour à la Monarchie -son nationalisme intégral porte au Royalisme- par bien des aspects son Royalisme ne correspond pas à la tradition Monarchiste Orléaniste, ou à la critique de la Révolution de type Légitimiste. Son antiparlementarisme l’éloigne de l’Orléanisme et son soutien à la Monarchie et au Catholicisme est explicitement pragmatique et non fondé sur une conception traditionnaliste ou religieuse caractéristique du Légitimisme.

Il voulait, disait-il, “maintenir l’héritage pour ramener l’Héritier”.

Le grand mérite de Maurras fut de réintroduire, dans le débat politique du XXe siècle, l’exigence d’une Monarchie autoritaire (autorité suprême du Roi), anti-parlementaire (contre la politique des groupes de pression comme les lobbys capitalistes), décentralisée (réhabilitation d’une autonomie des provinces, des métiers)…

Le Royalisme Social de Firmin Bacconnier est directement inspiré de la pensée maurrassienne.

Enfin, Contre la violence sournoise qui s’exerce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son histoire, contre la sécurité et l’honneur des Français, les jeunes Camelots du Roi opposeront vilement leurs valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques, parfois “à coup de cannes”.

De 1909 à 1912, après de violents affrontements dans les rues, les camelots du Roi font de Jeanne d’Arc leur patronne, parviennent obtenir en 1920 sa canonisation et à imposer son hommage national dont les nationalistes, les Royalistes et les Catholiques maintiennent la tradition jusqu’à aujourd’hui.

V. LE ROYALISME DE L’ENTRE-DEUX GUERRES.

La condamnation après 1934 de l’AF par le Comte de Paris (1908-1999) fera dire à Maurras cette phrase terrible, que beaucoup ont voulu occulter:

Il faut sauver l’héritage contre l’Héritier.

Le mot d’ordre maurrassien sera dès lors: “Politique d’abord !”. Et de là, l’action Catholique et Française, Royaliste et communautariste du jeune abbé Georges de Nantes, fondateur de la Contre-Réforme Catholique au XXI° siècle, qui entend laisser entièrement à Dieu le choix du Roi futur, nous donnant un exemple concret d’action Royaliste qui écarte les querelles dynastiques:

Choisir son Prince, c’est déjà être républicain !

En 1940, le Maréchal Philippe Pétain apparait à Maurras comme une “Divine surprise”.

V. LE ROYALISME APRES GUERRE.

Malgré l’échec de la Révolution Nationale et la condamnation de l’Action Française qui la soutenait, le Providentialiste Marquis de La Franquerie défendra Charles Maurras dans son livre Maurras, grand défenseur des vérités éternelles (Editions de Chiré).

Après la Guerre cependant, l’Action Française disparaît en 1944, compromise par ses liens avec le régime de Vichy. Elle renaît dès 1945 à travers une publication clandestine. Lentement, les partisans de la Monarchie et du Maréchal Pétain reconstruisent leurs réseaux. À la veille de la guerre d’Algérie, l’AF est reconstituée sous le nom de Restauration Nationale., et son organe Aspect de la France, dont les initiales rappellent celles de l’Action Française et en perpétue l’esprit. La RN se range aux côtés des partisans de l’Algérie Française et l’OAS trouve en elle un de ses meilleurs soutiens. Cette réapparition du courant Royaliste sur la scène politique va marquer l’histoire d’après-guerre de l’extrême droite en France.

Dans les années 70, la RN va se fragmenter en Restauration Nationale (plutôt libérale), et une Nouvelle Action Royaliste (de gauche) et dans les années 80, la RN se fragmente à nouveau en Restauration Nationale (de plus en plus libérale) et en un Centre Royaliste d’Action Française (Catholique Social) qui perpétue la pensée de Maurras de la manière la plus authentique. La Cité Vivante de François Marie-Algoud (1920-2012) est une AF n’ayant pas renié ses bases Catholiques. La CRC de l’Abbé-Georges de Nantes (1924-2010), encore lui, qui tient la rubrique de Politique religieuse d’Aspects de la France de 1948 à 1952 sous le nom d’Amicus, soutiendra la cause de l’Algérie Française et s’opposera farouchement à Vatican II.

Après l’éclosion, dans les années 1980, de nombreuses associations culturelles proches des néo-Légitimistes qui abandonnent le Fusionisme à cause du ralliement du Comte de Paris à François Mitterrand en 1983, le Légitimisme, le Survivantisme et le Providentialisme entreprennent chacun de recréer après les évènements du Bicentenaire un grand mouvement politique Royaliste traditionaliste: ce mouvement reprend toute la tradition Catholique défendue par le Comte de Chambord et le Royalisme historique, une tradition qui restaure le droit dynastique de France et qui s’oppose aux idéologies filles de la Révolution, tout en s‘intéressant à la question sociale et à la défense de l’identité Chrétienne de la France, relevant le parallèle existant entre le déclin progressif de la France et l’abandon par celle-ci de sa vocation Catholique.

D’autre part, la Restauration Nationale et le Centre Royaliste d’Action Française fusionnent en 2010, un acte intelligent qui permet la survie de la pensée maurassienne, et à travers elle, de la pensée Française.

VII. LE ROYALISME AUJOURD’HUI.

De nos jours, le blog de notre Charte de Fontevrault, qui s’en remet entièrement à Dieu pour le choix du Roi à venir, a présenté le Groupe Royaliste d’Initiative et de Proposition Politique http://gripp.over-blog.com/ : son objectif est de favoriser la restauration de la Royauté. Le GRIPP s’implique dans une démarche d’unification de tous les Royalistes, sous réserve du respect de quatre conditions : 1) mener le combat contre le mondialisme ; 2) afficher notre vocation Chrétienne ; 3) participer aux luttes que mène le peuple avec les organisations qu’il se donne (Exemple: l’AGRIF !) ; 4) considérer que le changement de pouvoir ne pourra se faire que par les élections (recours à la propagande et aux manifs).

CONCLUSION.

Pour la question sociale, le Royalisme a précisé le but et montré la voie.

Aujourd’hui, le Royalisme entend continuer l’oeuvre des Camelots du Roi et opposer à la décadence générale ses valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques, ce afin de constituer un rempart contre la violence sournoise qui s’exerce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son histoire, contre la sécurité et l’honneur des Français.

Pour ses partisans, consiste avant tout en une ambition pour la France: la volonté de redonner au pays sa position hégémonique qu’elle a eu jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république.

Le Royalisme se pose aussi pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial, par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples.

Non seulement la Royauté restaurée relèverait l’autorité, les libertés, la prospérité et l’honneur de la France, refaisant d’elle au passage la Fille Ainée de l’Eglise, mais elle lui redonnerait aussi… le prestige.

Non seulement la Royauté restaurée relèverait l’autorité, les libertés, la prospérité et l’honneur de la France, refaisant d’elle au passage la Fille Ainée de l’Eglise, mais elle lui redonnerait aussi… le prestige.

Article mis en forme par Hervé J. VOLTO, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué officiel pour l’Italie

A lire: Antoine Murat, Le Catholicisme Social en France (Editions Ulysse)

4 thoughts on “Hervé Volto. LE ROYALISME EN QUESTION – ou de l’utilité du Royalisme.

  1. Hervé J. VOLTO

    Je teien à faire une précision.
    Notre Charte de Fontevrault entend rassembler des Royalistes de toute tendance sous le double mot d’ordre Fidélité-Unité Royale: Fidélité au Prince qu’on a choisi de servir (Orléans, Bourbons, Survivance de Louis XVII, futur Grand Monarque encore inconnu du tous) et Unité autour du principe Royal pour qui le Roi est la seule autorité Légitime émanant de Dieu.
    Soutenue par sa Flotte Providentialiste, notre Charte de Fontevrault conçoit la Royauté autant une fidélité qu’une impérieuse nécessité nationale: avant d’être Légitimistes, Orléanistes, Survivantistes ou Providentialistes, nous sommes ROYALISTES!
    Si c’est Dieu qui choisi les Rois, toute querelle dynastique est inutile: et la maison Capétienne a suffisamment servi la France durant ces derniers 1000 ans pour nous Royalistes, nous portions respect, sympathie et affection à tous les descendants actuels de nos Rois: aujourd’hui, les Bourbons…
    PRIONS POUR NOS PRINCES!
    En attendant, rien n’interdit aux Royalistes de lui aplanir les chemins.
    Charles Maurras a démontré scientifiquement la supériorité de la Monarchie sur toute autre forme de gouvernement. En France, il s’est placé au point de vue profane d’une physique du pouvoir. Le Marquis André Le sage de La Franquerie, quand à lui, s’est attaché à définir la royauté à l’aune et selon l’esprit de la tradition.
    Où Maurras et les néo-monarchistes cherchent à convaincre, le Marquis de La Franquerie, à l’ombre de Joseph de Maîstre, entend faire voir et convertir : Son Royalisme est mystique.
    Le premier réclame à l’expérience historique, le second interroge l’anthropologie religieuse et l’exemplarité du Sacré-Coeur de Jésus, le Christ-Roi.
    Là, la raison des faits, ici la permanence en l’archétype royal, partout, depuis toujours et d’en haut.
    LE XVIII° SIÈCLE ET L’OFFENSIVE NOMINALISTE ONT CONSOMMÉ LE DIVORCE ENTRE FOI ET RAISON. MAIS AU SERVICE D’UNE MÊME CAUSE -ICI LA ROYAUTÉ- ET SELON QUE LE MOMENT SOIT DE FOI OU DE RAISON, IL REVIENT AU ROYALISTE DE PORTER EN AVANT LA FOI OU LA RAISON ET DE PARLER LE LANGAGE COMMUN D‘UNE FRANCE VOULUE CHRÉTIENNE DÈS LES ORIGINES.
    Amitiés Fontevristes !

    Hervé J. VOLTO, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie

    Reply
  2. Pingback: l’Alliance Royale s’intéresse aux travaux du past-président de la Charte de Fontevrault : Hervé Volto. Merci à eux. | chartedefontevraultprovidentialisme

  3. Vons

    super le Royalisme… Mais sincèrement il va falloir bosser dur pour le rétablir… Il faudra déjà changer les mentalités…changer les relations diplomatiques…changer la politique intérieure et extérieure…bref, un boulot monstre !

    Reply
  4. Pingback: Approche d’une liste des ARTICLES D’HERVE J. VOLTO MIS EN LIGNE SUR LE BLOG DE LA CHARTE DE FONTEVRAULT et du providentialisme. | Le blog de la Charte de Fontevrault et du royalisme providentialiste

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 2 Mo. You can upload: image, audio, document, spreadsheet, interactive, text. Links to YouTube, Facebook, Twitter and other services inserted in the comment text will be automatically embedded. Drop file here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.