https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/mort-de-la-reine-elizabeth-premieres-reactions-internationales_2179853.html
Prédécesseurs du porteur du titre nouveau roi d’Angleterre
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Ier_(roi_d%27Angleterre) (Charles I er .1600-1625-1649)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_II_(roi_d%27Angleterre) (Charles II. 1630-1660-1685)
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Charles III. https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_III_(roi_du_Royaume-Uni)
Un portrait géant de la reine Elizabeth II à Picadilly Circus, à Londres, après l’annonce du décès de la souveraine à l’âge de 96 ans, le 8 septembre 2022 afp.com/Ben Stansall
Thank You, Mom.
For all…
Un peu trivial ! Ne préfèrerait-on pas “Thank You Ma’am” ? For all quand même…
Le saviez vous ?
Si, pendant plusieurs siècles, la France et l’Angleterre combattirent avec acharnement pour prendre le pas sur l’autre, ces ennemis héréditaires finirent sous la Révolutuoon dite Français par mettre la hache de guerre de côté. Terre d’Albion, l’Angleterre fut aussi celle de l’exil des têtes couronnées européennes. Et la France ne fit pas exception. C’est cette histoire que raconte un site très interessant
https://www.monarchiebritannique.com/pages/histoire/portraits/membres-de-la-famille-royale/les-tetes-couronnees-d-europe-en-exil-en-angleterre.html
Celle de destins Français exilés en Angleterre.
De sa part, la Reine d’Angleterre aimait la France, parlait parfaitement la langue Française et révait de renforcer les liens en le royaume Uni et la France.
Comment ne pas nous joindre, nous Royalistes Franòais, à la douleur de la Famille Royale et de tout le peuple anglais aujourd’hui ?
God Save the King Charles III !
Le billet du Bottin mondain ( 9 septembre 2022)
Élisabeth II, duc de Normandie
Tandis que du 2 au 5 juin dernier, à Londres, la Grande Bretagne et le Commonwealth célébraient en grande pompe les 70 ans de règne d’Élisabeth II, de l’autre côté du Channel, la Normandie se sentait un peu de la fête.
© A. Leibovitz
Tout cela grâce à Guillaume le Conquérant et à l’amour d’Élisabeth II pour les chevaux. C’est cette passion bien connue de tous qui l’entraîne dans un voyage privé de trois jours, du 26 au 29 mai 1967, dans l’Orne et le Calvados, au pays des haras. Elle séjourne alors au château de Sassy, entre Argentan et Alençon, chez le duc d’Audiffret-Pasquier, lui même éleveur de cracks.
Est-ce au sortir de sa visite au haras du Pin ou du restaurant Le Caneton, à Orbec, où elle a déjeuné ? Les versions divergent. Toujours est-il qu’une petite foule s’est assemblée et, qu’au passage de la reine, elle crie : « Vive la duchesse, vive la duchesse ! » Amusée, Élisabeth II sourit à ses admirateurs et leur répond, en français : « Eh bien, je suis plutôt le duc de Normandie. »
Ce qui est on ne peut plus exact. En 1066, Guillaume, duc de Normandie, s’empare de l’Angleterre et transmet à sa mort son titre ducal à son fils aîné et au troisième la couronne anglaise. Le quatrième et plus jeune fils de Guillaume, Henri Ier Beauclerc, réunira les deux titres. Le contrôle de ce fief continental devient cependant problématique et, en 1202, le roi de France Philippe Auguste le déclare perdu et reconquiert deux ans plus tard la Normandie pour la rattacher à la couronne de France. Ce que Henri III d’Angleterre reconnaîtra en 1259, dans le traité de Paris.
Restent cependant les îles anglo-normandes, ultime partie du duché à être aujourd’hui encore la possession du souverain britannique, à l’exception de Chausey. Mais à Guernesey, comme à Jersey ou à Sercq, Élisabeth II est bien appelée par les insulaires le duc de Normandie, dux Normannorum, un titre médiéval qui n’a jamais connu de féminin. Et lorsqu’ils ont porté un toast en son honneur, à l’occasion de son jubilé de platine, ils ont sûrement levé leur verre au « duc de Normandie, notre reine » !
À travers Elisabeth II, le monde entier pleure, depuis son décès le 8 septembre 2002, tout ce qu’il conspue le reste du temps : tradition, transmission, pays, fidélité, dignité, royauté, pays, honneur, devoir, rang, élégance, bienséance, préséance, famille, Dieu.
Le saviez-vous ?
Le prince de Galles -devenu entretemps Sa Majesté le Roi cahrles III- et son frère Andrew qui ont été les deux successeurs immédiats de leur mère à leur naissance ont fait des mariages renforçant la liste des rois d’Angleterre dans la descendance de leurs enfants.
La feue princesse de Galles, Diana Spencer, descendait par quatre fois du roi Charles I Stuart et de son épouse, Hneiette de Bourbon ou Hneriette de France, fille du Bon Roi Hneri IV, soeur du Roi Louis XIII et tante du Roi Louis XIV.
Sa cousine au 5ème degré, Sarah Fergusson, descend 6 fois de Charles II.
Sources : Le retour du sang des Stuart dans la famille royale britannique
Un original qui est sans doute plus à plaindre qu’à blâmer.
https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/chaillac-indre-lee-prior-un-anglais-que-le-deces-de-la-reine-n-affecte-pas
Le saviez-vous ?
La Reine d’Angleterre n’est pas Anglaise mais Allemande.
Elle détestait la France et appartenait à la franc-Maçonnerie Internationale et au club des 300, la pire organisation Mondialiste.
Elle a trempé dans l’assasinat de Diana…
Il est peut-être temps de s’informer sur les fréquentations pédo satanistes de Charles number III, avant de crier good save the king Charles number III.