Hervé Volto : Des différentes preuves de la survivance de Louis XVII

Différentes sources confirment la survivance de Louis XVII :

Le Saint Padre Pio dit un jour qu’ il existe au Vatican un testament « importantissime » qui sera retrouvé l’heure venue. Ecrit par la duchesse d’Angoulême, il révélerait la survivance du roi Louis XVII en dévoilant son identité et la sienne, levant tous les doutes des historiens.

Les historiens officiels nient la survivance de Louis XVII, le fils de Louis XVI , et le font mourir dans la prison du Temple le 8 Juin 1795. Cela arrangeait les républicains et aussi le futur Louis XVIII et Charles X, tous deux espérant succéder un jour à leur frère défunt, après l’abdication de Napoléon.

Il faut noter que Joséphine de Beauharnais rencontra Louis XVII, et en fit part à Napoléon, très au fait de ce secret par Fouché, ministre de l’Intérieur. (Le secret du roi Michel Wartelle).

Le duc de Berry, fils ainé de Charles X, fut assassiné en Février 1820, trois jours après avoir eu une violente altercation avec son oncle le roi Louis XVIII, lui reprochant d’être sur un trône auquel il n’avait aucun droit, le jeune roi Louis XVII étant vivant !

Les domestiques, ayant entendu à la porte les reproches du duc de Berry, dirent « il est perdu! ». trois  jours après il fut poignardé par Louvain à la sortie de l’opéra.

Un humble paysan, le laboureur Martin de Gallardon village situé à 4 lieues de Chârtres, eut de nombreuses apparitions de l’Archange Raphaël, lui intimant l’ordre d’aller voir le roi Louis XVIII pour lui rappeler qu’il n’avait aucun droit au trône de france, Louis XVII étant vivant. Ce qu’il fit livrant à Louis XVIII un secret connu de lui seul : la tentative d’assassinat de son frère Louis XVI au cours d’une chasse.

De même le voyant de Notre-Dame de La Salette, Maximin Giraud, donna au comte de Chambord le nom et l’adresse de Louis XVII encore vivant. Celui-ci décida alors de refuser le trône que l’Assemblée nationale à majorité royaliste lui offrait, prétextant le refus du drapeau tricolore.

Les médecins du jeune roi Louis XVII étaient au nombre de trois, et comme tous les témoins approchant le petit prisonnier, ils étaient soumis au secret absolu.

Or ces trois médecins de Louis XVII, emprisonné au Temple, sont tous « morts » à quelques jours d’écart : le 1er Juin , le 5 Juin, et le 9 Juin 1795 . Morts bien commode pour la Convention : Le Docteur Desault connut le jeune Louis XVII à Versailles avant son incarcération, et eut l’imprudence de dire aux conventionnels « ce n’est pas le dauphin» quand il examina le malheureux enfant enfermé à sa place. Il mourut le lendemain, après un repas offert par les conventionnels. Le docteur Desault fut remplacé 3 jours plus tard par le Docteur Pelletan qui procéda à l’autopsie, et garda le coeur en sa possession.

Louis XVII fut officiellement déclaré mort le 8 Juin 1795.

Fait historique troublant, le lendemain de la mort de l’enfant du Temple, officiellement Louis XVII « fils Capet », la Convention décretait un décret de “chasse générale” (André Castelot)…

Toutes ces citations nous amènent à penser que le roi ne sera ni un Bourbon d’Espagne, tel le Duc d’Anjou et de Cadix, qu’on appelle “Louis XX” en France et “Luis Dos” en Espagne, ni un Orléans qui ne descend pas du roi martyr, et qui est la branche fratricide par Philippe Egalité, cousin de Louis XVI ayant voté la mort du roi, laquelle fut prononcée à une voix près, la sienne duc d’Orléans, …ni un sang mélangé comme Naundorff ou les autres 150 prétendants de la planète.…

LE roi vient : DIRIGEANT
pour sauver les emplois, ils imposent LA LOI.
LE roi vient : GRAND CHRÉTIEN
pour sauver les familles il donne simplement L’EXEMPLE de SA FOI.
IL n’impose pas LA FOI. IL en donne L’EXEMPLE et IL VIT simplement redonnant aux Français
LE RESPECT de L’ÉGLISE LE RESPECT pour CELUI que Dieu a désigné
pour diriger LA France, LUI redonnant Respect pour ELLE-MÊME pour ses gens

HENRI, Henrich, Chiren, Cyrénéen, le Lys qui aide à porter le poid DE LA CROIX (V° Station du Chemin de Croix)

9 thoughts on “Hervé Volto : Des différentes preuves de la survivance de Louis XVII

  1. Jo

    A Hervé Volto..

    Le [vrai] Naundorff était un occultiste. https://www.dbnl.org/tekst/_bzz001198001_01/_bzz001198001_01_0093.php

    https://www.google.com/search?q=was+Naundorff+an+occultist&oq=was+Naundorff+an+occultist&aqs=chrome..69i57j33i160.21640j0j4&client=ms-android-samsung-ga-rev1&sourceid=chrome-mobile&ie =UTF-8

    Comme je l’ai mentionné plus tôt, j’ai le livre de Melito San Miguel sur les derniers sceaux de l’Apocalypse et qui contient des informations sur Louis XVII et comment il a obtenu l’identité de Naundorff. ◇ De plus, j’ai déjà souligné la prophétie de – la sœur de Belley – elle parle de deux rois.

    Dans ce livre de Melito San Miguel, il y a aussi la prophétie de – la sœur de Lyelbe – qui parle d’un ‼️[saint] régent qui est donc le grand monarque, le premier de ces deux rois à venir. Et puis vous avez le pasteur Souffrand… qui mentionne deux rois dans sa prophétie.

    Le Saint Régent est donc au service de son successeur. J’ai l’impression que c’est difficile à accepter pour vous.. ce qui n’est pas vraiment nécessaire.

    Si alors le grand monarque ne sera pas un descendant de “Naundorff” Louis XVII .. mais du roi Louis IX .. cela ne peut être compris qu’à partir des informations que les prophéties ci-dessus nous donnent .. bien qu’il existe d’autres prophéties qui fournissent des informations supplémentaires , tel que le monarque dans ses ancêtres a dû fuir ..donc pas lui-même.
    Jo

    Reply
  2. irene pincemaille

    Marie-Julie Jahenny a dit : “Ne règneront sur la France ni les Bourbon d’Espagne, ni les Orléans, ni les Naundorff” : mais Louis XVII ne s’est appelé Naundorff qu’en 1810, à 25 ans (8 ans avant son mariage bourgeois) ; avant, comment s’appelait-il sinon Louis XVII ? et… n’avait-il pas déjà procréé légitimement ??? !!! Allez savoir …!!!
    Amitiés à tous.

    Reply
    1. Jean DEWEER

      “A ma droite, la terrasse du café était flanquée par deux grandes parois en verre sombre. Je cédai à la peur d’y apercevoir le reflet de mon visage en recherche moi aussi d’un trait familier qui appartiendrait à quelqu’un d’autre. Dans mon souvenir, Louis XVI avait un port de tête précédé par un nez.” (Le sacre de Louis XVII, page 18).
      Hélas! les historiens d’aujourd’hui ne sont pas encore sensibles, de leur inspiration ou de celle des autres, à des détails infimes qui mis bout à bout sont très parlants, sinon la preuve serait déjà faite que Louis XVII n’est pas mort au Temple et on aurait même des indications sur sa descendance…

      Reply
  3. Beauregard

    Dans deux articles publiés récemment sur deux sites différents dont celui-ci, j’observe retrouver de mêmes propos prêtés à saint Padre Pio, présentés dans les deux cas à l’appui de la vocation au trône de France d’un descendant de Louis XVII qui aurait survécu à son séjour à la prison du temple.
    Or, si j’interviens, c’est que dans l’un et l’autre article (vous n’aurez pas de mal à trouver le second…), c’est que ces propos me paraissent être un exemple de ce travers contemporain, trop souvent constaté (sur ce sujet comme sur bien d’autres), où, au contraire d’une recherche active et sans a priori de la vérité, un élément pourtant utile à la manifestation de cette vérité (en l’occurrence les propos prêtés à ce grand saint) est mis au service d’une idée préconçue sans être véritablement exploité quant à ce qu’il pourrait pourtant receler d’intéressant. Et ce, en outre, d’une manière oublieuse de toute tradition, laquelle n’a jamais négligé de glisser sous forme d’omission, ou d’ajout une « singularité » en guise d’indice quant à ce que l’on pourrait bien avoir cherché à dire à mots couverts, de manière voilée : quelque chose de bien plus subtil et à approfondir que ce que je trouve donc repris sans nuance dans un sens a priori qui ne laisse place à aucun questionnement et qui ne risque donc pas de mener à la manifestation de la vérité.
    A ce titre, ces propos prêtés à saint Padre Pio me semblent être une illustration typique de cet écueil qui n’est pas digne de la démarche honnête et dépassionnée que nous gagnerions à adopter au service de la cause royale.
    Voici rapportés ci-après ces propos, présumés avoir été correctement traduits de l’italien :
    « Le Saint Padre Pio dit un jour qu’ il existe au Vatican un testament « importantissime » qui sera retrouvé l’heure venue. Écrit par la duchesse d’Angoulême, il révélerait la survivance du roi Louis XVII en dévoilant son identité et la sienne, levant tous les doutes des historiens. ».
    ” L’Autre” site » écrit : « Le testament secret de la duchesse d’Angoulême dévoilant l’identité de Louis XVII et la sienne, n’est pas encore découvert, il serait au Vatican et a été annoncé par le Padre Pio. »

    Ces phrases sont grammaticalement et syntaxiquement correctes en langue française. Alors ayons simplement l’honnêteté de comprendre et de relever ce qu’elles nous disent de très curieux plutôt que la mettre au service d’un Nième a priori qui ne fait ni avancer le débat, ni approcher de la vérité.
    En langue française, l’expression « la sienne » utilisée dans ces propos ne peut que se rapporter à la duchesse d’Angoulême.
    Or, pourquoi, ne vois-je personne relever cette étrangeté qui doit nécessairement nous interroger puisqu’elle vient dés lors nous dire que la duchesse d’Angoulême aurait une identité cachée qu’il s’agirait alors de découvrir… pour qui prétendrait en savoir plus quant à l’identité de ce dernier roi de France..

    Il ne s’agit pas ici de trancher le débat, ni de savoir si la citation est véritablement authentique, si elle a été mal traduite ou bien si comme je l’évoquais plus haut, parfaitement authentique et bien traduite, elle aurait précisément consisté pour saint Padre Pio à nous donner un indice d’une vérité que lui connaissait parfaitement pour la tenir du Ciel mais que nous n’étions pas encore prêt à concevoir et à accepter. Auquel cas, on peut même se demander si la mention expresse de Louis XVII dans ces propos n’est-pas elle-même une pièce rapportée par quelqu’un animé par ce même a priori et qui, voyant simplement la mention de la duchesse d’Angoulême a pensé que l’on ne pouvait parler que de Louis XVII, s’agissant de ce dernier roi que nous attendons !

    Or, ne serait-ce pas tout le contraire qui nous est dit si l’on prend en compte cet indice car que signifierait pour ce grand saint le fait de nous dire qu’il y aurait à découvrir l’identité – dés lors véritable – de cette duchesse d’Angoulême dont il nous parle et que les lecteurs trop hâtifs, assimilent à la sœur de Louis XVII. Le propos semble pourtant abscons de prime abord car il n’est nulle identité cachée de la duchesse d’Angoulême ! Dés lors, est-ce que le saint n’aurait pas choisi cette manière habile de nous parler d’une autre duchesse d’Angoulême – ou qui mériterait d ‘être appelée telle…. – conduisant à l’identité de ce dernier roi de France…
    On comprend alors qu’il pourrait bien n’être plus question d’un dernier roi issu de la ligné Bourbon mais dés lors d’une lignée royale antérieure : celle des Valois (qui connu au moins une duchesse d’Angoulême) d’où serait issu ce dernier roi de France …. hypothèse rarement soupçonnée avec de tels a priori qui vont jusqu’à s’interdire d’approfondir le sens même de ces propos…
    Pour mémoire, j’ai déjà signalé dans de précédents articles plusieurs éléments qui devraient conduire à nous interroger sérieusement sur une ascendance Valois de ce dernier roi de France…

    ⁎ De même, je déplore un semblable manque de rigueur dans la prise en compte des données qui nous ont été léguées : celles des prophéties qui abordent le sujet et qui parlent de la ” branche cachée” de la royauté dont sera issu ce grand Monarque. Or, on ne s’interroge jamais sur le point de savoir si les prophéties auraient véritablement employé cette expression de « branche cachée » pour parler d’un descendant de Louis XVII (roi alors certes caché) mais issu d’une branche qui n’a jamais été cachée, puisqu’on en a toujours soupçonné l’origine et ce dés aprés l’époque du temple !
    Dès lors, est-ce que cette « branche cachée » si l’on veut bien prendre en compte toute la signification de cette expression ne désigne pas nécessairement une branche dont certes on ignore qui est son descendant contemporain mais dont on ignore également celui/celle/ceux qui en est (sont) à l’origine ? Auquel cas, il ne pourrait s’agir d’un descendant de Louis XVII !

    Et, n’est ce pas précisément ce que, de manière voilée, saint Padre Pio tente de nous faire comprendre depuis plus d’un demi siècle, comme je vous demande à présent d’y réfléchir ?

    Ce sont à de telles questions qu’une réflexion honnête et dépassionnée devrait conduire notre saint amour du roi qui vient ! Ne serait-ce pas même le plus grand service que nous pourrions lui rendre pour – qui sait, même – faciliter son avènement… en commençant donc par envisager que son origine pourrait bien s’écarter sensiblement des réflexions jusqu’à présent étroitement menées à grands coups d’a priori ?!

    ⁎ J’entends déjà le haussement d’épaules de ceux qui, forts de la très pertinente découverte de notre cher Gouverneur relative au linceul de Turin, tiennent mordicus que ce dernier roi de France sera nécessairement un descendant de Louis XVI puisque l’on retrouve nettement son profil sur l’une des taches de sang présentes sur le suaire provenant manifestement de la plaie au côté du Christ.
    Or, là encore c’est aller trop vite en besogne !
    Ce dernier roi de France vient accomplir une étape importante dans le déploiement de l’histoire du Salut, autrement dit, en langage plus contemporain, il vient favoriser le franchissement d’un seuil de conscience à l’échelle de toute l’humanité. C’est la raison de cette référence faite à la royauté française sur le suaire de Turin. Mais que l’on se pose la question de savoir de quelle autre manière subreptice aurait pu être fait ce renvoi à la royauté française autrement que par la référence à ce roi Martyr ? Qui pourrait raisonnablement penser qu’on aurait ainsi pu voir figurer, par exemple, une fleur de lys sur le suaire ?!
    La présence de ce profil de Louis XVI, mort en martyr et aisément reconnaissable sur le suaire signale l’importance de ce rôle dévolu, le moment venu, à la royauté française en la personne de ce dernier roi annoncé par les prophéties ; rien de plus ! C’est faire un amalgame abusif que d’en extrapoler que ce dernier roi de France sera un descendant de Louis XVI.

    ⁎ J’ajoute que ce dernier roi venant « de par Dieu », il serait vain de croire que le ciel aurait négligé quoi que ce soit pour contribuer à légitimer son avènement, y compris sur un plan très symbolique. Ainsi, faut-il s’attendre à ce que soit profondément signifiant le nombre même de générations qui séparent ce dernier roi de son ascendant royal, à l’origine de cette “lignée cachée”. Or, s’il s’agissait d’un descendant de Louis XVII, on en serait sûrement à 6 ou 7 générations tandis que seule une origine Valois permettrait d’atteindre les 12 générations, inscrivant pleinement ce dernier roi de France dans une dynamique et biblique et christique, seule digne de la mission qu’il vient accomplir devant Dieu.
    Au plaisir de vous revoir bientôt pour faire avancer notre cause…

    Reply
  4. Hervé J. VOLTO

    Le Dr Luigi Gaspari (1926-1995), Fils Spirituel de Padre Pio et auteur -au passage- du Cahier de l’Amour, avait un traducteur Français, notre ami Richard Buscato.

    L’Héritier des oeuvres du Dr Gaspari est le Professeur Causo, qui est venu à Fontevrault en 1999

    Le Président (H) de la Charte Hervé Volto nous offre de précieux souvenir de la visite des royalistes italiens lors du Chapître fontevriste du mercredi 25 août 1999

    Richard Buscato était son traducteur là aussi.

    Saint Pardre Pio avait bien parlé du Testament de la Duchesse d’Angoulème concervé à Rome.

    Le fils du Masque de Fer -qui serait un Bourbon inconnu, cousin de Louis XIV- prénommé également Louis, aurait-il grandi en Corse avec sa soeur, placés chez une dame de confiance ignorant tout de leur identité ? Après s’être assuré une descendance, Louis, mis au courant de son origine Royale, serait-il venu à l’âge adulte réclamer sa Légitimité à l’époque du Régent ?

    Ce dernier l’aurait reçut secrètement et lui aurait donné une charge d’Amiral, dans l’attente d’un Sacre promis qui ne viendra jamais. Lorsqu’en pleine mer, l’Amiral apprend le Sacre du petit Louis XV, et qu’il a reçut le titre de Prince de Valois comme dédommagement, il entre en grande fureur et comprenant qu’il a été floué : il deviendra un redoutable corsaire qui s‘en prendra à la marine de Louis XV.

    Le Grand Amiral Louis de Valois avait confié son propre fils, un certain Louis Charles Henri d’Usson d’Auvergne, à un serviteur de confiance, un certain Antonin Guyot Dujol , qui avait un fils du même âge : à partir de là, la descendance des Dujol sera prise pour celle de l’Amiral de Valois et de cette souche incertaine sortiront l’Abbé Félix de Valois et un facteur à Saint-Chamas, qui tentera de faire modifier son état civil de Dujol à Valois . Débouté, il soutiendra sa cause dans un pamphlet incendiaire: Valois contre Bourbons …

    Une confusion entre les VALOIS et les BOURBON-VALOIS auraient ammenée aux Prétentions de l’Abbé Félix de Valois et du facteur de Saint Chamas, qui disaient descendre du Masque de Fer.

    Reply
  5. Hervé J. VOLTO

    La Divine providence permit qu’il soit montré au Marquis de la Franquerie, le 18 décembre 1978, plusieurs lettres adressées par le Docteur Luigi Gaspari à un pieux religieux de ses amis, Mrg Marcel Sorel, de Sainte-Foix la Grande, et publiées dans Ascendances Davidiques des Rois de France

    Hervé Volto. Saint Padre Pio et Le testament de Louis XVI.( Seconde mise en ligne que j’espère correcte).

    Ces lettres ont été publiées par le Marquis de la Franquerie dans son livre ASENDANCE DAVIDIQUE DES ROIS DE FRANCE : Là aussi, il y aura eu un bon traducteur.

    Pour approfondir :

    Liste des ARTICLES D’HERVE J. VOLTO sur LE DR. GASPARI ET LE CAHIER DE L’AMOUR

    Liste des ARTICLES D’HERVE J. VOLTO sur LE DR. GASPARI ET LE CAHIER DE L’AMOUR

    LISTE DES ARTICLES D’HERVE J. VOLTO SUR LE ROYALISME EN ITALIE

    LISTE DES ARTICLES D’HERVE J. VOLTO SUR LE ROYALISME EN ITALIE

    Reply
  6. Hervé J. VOLTO

    Pour l’hypothèes sur le Masque de Fer, nous avons peu de choses mais sur Louis XVII, une abondante littérature pértue la mémoire, la possible Survivance et la possible descendance.

    Reply

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

The maximum upload file size: 2 Mo. You can upload: image, audio, document, spreadsheet, interactive, text. Links to YouTube, Facebook, Twitter and other services inserted in the comment text will be automatically embedded. Drop file here

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.