Remaniement : une semaine après, Macron et Attal laissent toujours ces ministères vacants
Si certains ministères ont été regroupés avec d’autres, comme le Travail et la Santé, plusieurs secteurs n’ont toujours pas de ministre ou secrétaire d’État « en charge ».
Elle sera complétée « d’ici une dizaine de jours », a assuré la porte-parole Prisca Thévenot mercredi 17 janvier lors de son premier compte rendu de Conseil des ministres, soit quelques jours avant la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre à l’Assemblée nationale. De fait, de nombreux postes sont aujourd’hui vacants. (14 ministres de plein exercice)
Par rapport au dernier gouvernement d’Élisabeth Borne, au moins 13 domaines, périmètre ministériel ou administrations, sont orphelins d’un quelconque ministre, ministre délégué ou secrétaire d’État. Parmi eux, les Transports, le Logement, les Personnes handicapées, la Ville ou encore la Biodiversité.
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Et ce sera variment le vide à la tête de l’Etat, on pourra y mettre le Roi
Et QUAND ce sera vraiment le vide à la tête de l’Etat, on pourra y mettre le Roi !
Plutôt que “toussa” qu’on peut lire partout, il serait intéressant qu’on nous dise quels domaines seraient présents au Conseil du roi, et semaine après semaine, quelles mesures lui seraient proposées: on aurait ainsi une idée concrète de ce qu’il serait à faire maintenant, et vers quoi nous irons. Grand merci aux contributeurs.
Par exemple, pour le ministère des Cultes, il proposerait:
1) l’abrogation pure et simple de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, restaurant un modus vivendi de l’alliance du Trône et de l’Autel, pour le relèvement de l’Eglise en France, indispensable au relèvement du Royaume; et pour le bien temporel et spirituel de tous les sujets, en particulier la protection des fidèles contre les abus éventuels ou avérés des clercs.
2) un premier train de mesures pour aider l’Eglise en France à respecter la Doctrine catholique, les lois canoniques et sa propre discipline: mesures communiquées à chaque Evêque pour son diocèse. Le port de l’habit ecclésiastique au moins aux heures de bureau et dans l’espace public, qui est la soutane selon le dernier texte en vigueur (11/02/2013 et pas seulement le clergyman mondain) : pour les Evêques, prêtres et séminaristes (sous peine d’amende). La suppression des petits autels mobiles par égard pour l’architecture du choeur des églises, et la célébration au maître-autel pour faciliter l’élévation de tous vers Dieu au moment de la célébration du Sacrifice du Christ. L’interdiction de photocopier des feuilles de messe du Dimanche, pour épargner les forêts; et s’en tenir strictement aux rubriques et aux textes du Missel, notamment psaumes ou chants grégoriens, pour rehausser la dignité et la beauté du culte. Un moratoire sur l’autorisation de communier dans la main, pour retrouver le sens de la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie, en s’en tenant à la première forme actuellement en vigueur: sur la langue et possiblement à genoux. Un moratoire sur la présence de filles et de femmes dans le sanctuaire ou à la distribution de l’Eucharistie, comme non conforme au génie féminin tel que vécu en France, et pour la promotion des vocations sacerdotales.
3) les plus zélés à ces réformes se verraient chaque année défrayés d’un certain nombre de dépenses; les récalcitrants sauraient qu’ils s’exposent à un véto du roi en cas de désignation à l’épiscopat ou de promotion à un siège plus en vue, comme fauteurs de division.
4) Dans le même temps, le nonce apostolique en France serait convoqué, pour diligenter à Rome une enquête par le Saint Siège, si possible dans les six mois, sur le modèle de celle qui avait été effectuée sur les communautés chrétiennes de la Tradition, mais cette fois sur chaque diocèse et toutes les paroisses, Evêque compris. Cela pour signifier respectueusement au Saint Père, que le roi de France ne souhaite pas que se fasse ou perdure n’importe quoi en son Royaume.